Marenla

commune française du département du Pas-de-Calais

Marenla
Marenla
L'église Saint-Aubin.
Blason de Marenla
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté de communes des 7 Vallées
Maire
Mandat
Pascal Pocholle
2020-2026
Code postal 62990
Code commune 62551
Démographie
Gentilé Marenlois
Population
municipale
246 hab. (2021 en diminution de 2,38 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 26′ 51″ nord, 1° 52′ 06″ est
Altitude Min. 6 m
Max. 96 m
Superficie 10,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Marenla
Liens
Site web marenla.com

Marenla est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune, située dans la vallée de la Canche entre les communes d'Étaples et d'Hesdin, se trouve à 10 km à l'est de Montreuil-sur-Mer (chef-lieu d'arrondissement).

 
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 10,04 km2 ; son altitude varie de 6 à 96 mètres[1].

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[2].

Paysages modifier

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[3]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[4].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 951 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Radinghem à 21 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés et gérés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11].

Dans ce cadre, le territoire de la commune fait partie de trois espaces protégés et gérés (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France :

  • la cavité du Flayer d’une superficie de 4,983 hectares[12] ;
  • le marais de Beaurainchâteau d’une superficie de 62,371 hectares[13] ;
  • le marais du Planty d’une superficie de 9,542 hectares[14].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 2[Note 2] :

  • la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin[15] ;
  • les vallées de la Créquoise et de la Planquette, d’une superficie de 15 157 hectares et d'une altitude variant de 13 à 181 mètres. Ces deux vallées se situent aux confins de deux régions naturelles : le Haut Pays d’Artois et le Ternois et constituent un des paysages ruraux traditionnels du Nord-Pas-de-Calais les mieux conservés[16].
 
Carte des ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Marenla est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,5 %), prairies (29,1 %), forêts (5,1 %), zones urbanisées (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

  • Le But de Marles est un hameau de Marenla.
  • La Justice,
  • les Côtes et les Bois du Bus,
  • le fief du Gros Fay et le fief de Machy, tenus de l'abbaye de Sainte-Austreberthe et situés à Marenla, appartenaient au XVIIIe siècle au comte de Lascaris.

Voies de communication et transports modifier

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Malenchy (1142), Balentiacum lire Malentiacum (1170), Malenchi (1225), Malenla (1295), Meurenla (1520), Merœula (1679), Marenla (1789)[23], Marenla (depuis 1793 et 1801)[1].

Histoire modifier

Historique du village[Note 4] :

Marenla est mentionnée dans le diplôme d'Erkembode, évêque de Thérouanne en 637. Elle appartint ensuite (à partir du XIIe siècle, en 1170) à l'abbaye de Sainte-Austreberthe qui y établit un bailli chargé d'exercer la justice. Ces fonctions étaient remplies en 1750 par messire Claude Septier, sieur de Verdure.

Le bailliage comprenait les seigneuries de :

  • Marenth,
  • Marenla,
  • Humbergt,
  • Saint-Deneu,
  • Bouberck,
  • Aix-en-Sihart,
  • Sainte-Austreberthe-lès-Hesdin.

Les appels relevaient du bailli d'Amiens, tenant ses assises à Montreuil.

En 1311, Robert Cointeriaux tenait de Williaume de Maintenay, le fief de la Canche à Malenla.

Pendant le séjour du roi Henri II, à la chartreuse de Neuville, le , les Écossais de la Garde, s'étant imprudemment écartés, furent maltraités par les Impériaux aux environs de Marenla.

La ferme de Marenla (ferme des Dames qui date de 1651) a été reconstruite en 1761, sous l'administration de l’abbesse de Sainte-Austreberthe, Anne-Marie de Jouanne d'Esgeigny.

Adrien Fresnaye, ancien élève de l’École centrale (1847) a créé en 1852 la papeterie de Marenla dans un ancien moulin à huile. L'entreprise ferma en 1895, la liquidation amiable n'était pas terminée en 1901. Adrien Fresnaye fut aussi maire de 1870 à 1896[24].

Archéologie modifier

Le clocher de l'église fut rebâti en 1675. La fabrique et l'abbaye de Sainte-Austreberthe supportèrent la dépense par moitié.

Une statue de sainte Austreberthe décore le fronton du retable de l'autel.

En 1849, M. Leroy trouva à Marenla, plus de 10 000 pièces d'argent des règnes de Louis XIII et de Louis XIV.

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune a fait partie, de 1996 à 2013, de la communauté de communes du val de Canche et d'Authie et, depuis le , elle fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées (7 Vallées comm) dont le siège est basé à Hesdin.

Circonscriptions administratives modifier

La commune faisait partie du canton de Campagne-lès-Hesdin, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[1].

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée, ainsi que toutes les communes de l'ancien canton de Campagne-lès-Hesdin, au canton d'Auxi-le-Château qui passe de 26 à 84 communes[25].

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1870 1896 Adrien Fresnaye[26]   Industriel du papier
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 ? Eugène Secrétin    
mars 2001 2008 Jacqueline Rouze    
mars 2008 En cours
(au 28 mars 2022)
Pascal Pocholle   Réélu pour le mandat 2014-2020[27],[28],[29]
Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31],[32]

Équipements et services publics modifier

Espaces publics modifier

La commune est labellisée « 1 fleur » au concours des villes et villages fleuris[33].

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de la commune sont appelés les Marenlois[34].

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 246 habitants[Note 5], en diminution de 2,38 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
403211403356359325342320327
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
366380468434446438452427421
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
340295262272248248252261252
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
272263236222244222217216245
2018 2021 - - - - - - -
238246-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 115 hommes pour 123 femmes, soit un taux de 51,68 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,7 
90 ou +
2,4 
3,5 
75-89 ans
8,9 
23,5 
60-74 ans
17,1 
13,9 
45-59 ans
18,7 
27,0 
30-44 ans
20,3 
16,5 
15-29 ans
11,4 
13,9 
0-14 ans
21,1 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie modifier

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Revenus de la population et fiscalité modifier

Emploi modifier

Entreprises et commerces modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Aubin, toute en craie.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Marie Fresnaye (1856-1936), sculptrice et céroplaste, née et morte dans la commune. On lui doit les bustes et médaillons commémoratifs de plusieurs personnalités de la région.

Héraldique modifier

  Blason
D'argent à la molette de gueules accompagnée de quatre flanchis du même[40].
Détails
La molette de l'abbaye de Sainte-Austreberthe, imposée par d'Hozier (édit de 1696), tant de fois déclinée, vient aux armes de cette commune, dont l'abbaye était seigneur.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. D'après les notes et documents recueillis dans les archives de la ville, des hospices de Montreuil-sur-Mer et dans les divers ouvrages historiques du Pas-de-Calais. Auteur : A. Pontier, ancien secrétaire, en . Cet historique fut classé par M. Beaussart, secrétaire-greffier et sûrement déposé aux Archives départementales d'Arras.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Marenla et Radinghem », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
  12. « espace protégé FR4505938 - Cavité du Flayer », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « espace protégé FR4505950 - Marais de Beaurainchâteau », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « espace protégé FR4505989 - Marais du Planty », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310013699 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013285 - Les vallées de la Créquoise et de la Planquette », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 244.
  24. « Papeterie de Marenla », sur calameo.com (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant le canton d'Auxi-le-Château (6206) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  26. Sophie Léger, La papeterie de Marenla, Comité d'histoire du Haut Pays, (lire en ligne)
  27. Caroline Fauquembert (CLP), « Bilan du maire Pascal Pocholle à Marenla : « Si je me représente ce sera avec le même élan (...) mon mandat n’est pas fini » : Marenla est un village de près de 220 habitants qui se situe entre la Canche et la « falaise » du plateau. Après avoir siégé vingt-quatre ans au conseil municipal, Pascal Pocholle, agriculteur retraité de 69 ans, a été élu maire en 2008. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Marenla : Pascal Pocholle, réélu à l’unanimité : « Je suis très heureux de la confiance que l’on m’a accordée à nouveau », souligne Pascal Pocholle qui commence un deuxième mandat. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598579
  33. « label de la commune », sur concours des villes et villages fleuris (consulté le ).
  34. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marenla (62551) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  40. « 62551 Marenla (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).