Méharicourt

commune française du département de la Somme

Méharicourt
Méharicourt
Mairie de Méharicourt
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes Terre de Picardie
Maire
Mandat
Claire Fournet
2020-2026
Code postal 80170
Code commune 80524
Démographie
Gentilé Méharicourtois, Méharicourtoises
Population
municipale
564 hab. (2021 en diminution de 2,59 % par rapport à 2015)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 58″ nord, 2° 43′ 58″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 94 m
Superficie 7,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Méharicourt
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Méharicourt
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Méharicourt

Méharicourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Cartographies de la commune
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
1 : carte OpenStreetMap ; 2 : carte topographique ; 3 : avec les communes environnantes

Localisation modifier

Méharicourt est située dans une des parties les moins accidentées du Santerre.

Communes limitrophes modifier

 
Cliquer sur la carte pour agrandir.

Nature du sol et du sous-sol modifier

Le sol de la commune est constitué du limon des plateaux sous lequel on trouve la craie.

Relief, paysage, végétation modifier

Son territoire est situé sur un plateau dont le point culminant est à 87 m. Au centre se trouve une légère dépression occupée en partie par le village . Cette dépression continue vers l'ouest par un vallon presque toujours à sec : c' est la continuation de la vallée supérieure de la Luce. Le point le plus bas de ce vallon est à 78 m d'altitude.

La superficie du territoire communal est de 701 ha.

Hydrographie modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 692 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-EN-SANTERRE (80) - alt : 95m, lat : 49°45'54"N, lon : 2°41'53"E
Records établis sur la période du 01-09-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,7 3,1 4,4 8 10,6 12,3 12,3 9,8 7,5 4,1 2 6,4
Température moyenne (°C) 3,8 4,6 7,2 9,8 13,3 16,2 18,3 18,4 15,1 11,5 7,1 4,4 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,5 11,2 15,2 18,5 21,8 24,3 24,4 20,5 15,6 10,1 6,7 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,5
07.01.09
−11,6
12.02.12
−12,5
13.03.13
−4,8
08.04.03
−2,3
05.05.1996
2,2
05.06.12
2,8
03.07.11
3,7
02.08.15
−0,9
25.09.03
−6,1
24.10.03
−9,2
24.11.1998
−14,4
18.12.10
−17,5
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
09.01.15
18
24.02.21
24,4
31.03.21
27,2
15.04.07
30,2
27.05.05
35,3
18.06.22
41,6
25.07.19
39,1
12.08.03
34,2
09.09.23
28,1
01.10.11
19,9
06.11.18
16,2
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 45,6 43 44,1 39,4 61,3 55,3 63,8 62,4 45,1 58,1 52,4 65,3 635,8
Source : « Fiche 80682001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Méharicourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,2 %), zones urbanisées (6,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat modifier

Le village reconstruit pendant l'entre-deux-guerres présente un habitat groupé.

Voies de communication et transports modifier

  • Transport en commun routiers : la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 59, Harbonnières - Péronne)[13].

Toponymie modifier

Comme toutes les communes, Méharicourt a vu son nom évoluer au fil des siècles. En 1135, on trouvait « Mahéricourt », puis , ce nom a évolué vers « Maharicourt »[14]. Au cours des siècles suivants, on est passé de « Méhatincourt » à « Méharicours en Sangter », la forme définitive n'était plus très loin.

Méharicourt est un terme de formation germano-romane. Le radical « court », dérive du terme latin Curtis désignant une cour de ferme, une ferme puis un village. Le préfixe « Méhari » serait dérivé du nom germanique d'un des propriétaires du lieu après les Invasions barbares des Ve siècle et VIe siècle[15].

Histoire modifier

Antiquité modifier

L'histoire de Méharicourt remonte à des temps très anciens car on a trouvé entre le village et Lihons des cercueils romains. Il devait probablement y avoir un camp romain sur le plateau nord-est de la commune[14].

Dans les temps un peu moins éloignés, la légende dit que les Huns sont venus jusque Méharicourt mais, de cela, il ne reste aucune trace[14].

Moyen Âge modifier

Le village a sûrement souffert de la Guerre de Cent Ans, qui a subi les ravages des Anglais et des Bourguignons, surtout au XVe siècle[14].

Époque moderne modifier

Aux XVIe et XVIIe siècles, la guerre de la Ligue et les invasions espagnoles touchèrent Méharicourt[14].

Méharicourt est un ancien lieu de pèlerinage à saint Candide et saint Flamidien, martyrs de la Légion thébaine. Leurs reliques furent rapportées de Rome par le comte de Marcellus en 1688 qui les donna à M. de Blicourt, comte de Tincourt qui lui-même en fit présent à l'église Saint-Martin de Méharicourt. Ces reliques furent cachées pendant la Révolution française[14].

Le XVIIIe siècle est une époque de prospérité et dès 1719, les habitants furent autorisés à travailler la laine.

Époque contemporaine modifier

En 1790, Méharicourt fut chef-lieu de canton mais il perdit ce titre au profit de Rosières[réf. nécessaire].

XIXe siècle modifier

Au terme de l'épopée napoléonienne, le XIXe siècle débuta par l'invasion des Cosaques qui atteignirent Méhéricourt en 1814-1815.

En 1830, lors de la conquête de l'Algérie par la France, un dénommé Dumont de Méharicourt planta le drapeau français sur les ruines fumantes d'Alger[14].

1840 est une année de grande disette mais c'est à cette date que furent élaborées les rues du village au moyen d'une souscription de 3 000 F en faveur des ouvriers sans travail. À cette même époque, l'église est restaurée. Elle était jusqu'alors composée de différentes constructions élevées successivement et sans harmonie, selon le besoin progressif de la population. En 1842, le clocher, qui avait été bâti en 1607, est reconstruit. En 1863, une école de filles et une salle d'asile sont établies de façon définitive à Méharicourt.

À la fin du XIXe, il n'y avait pas de bois ni de friche car chaque petit bout de terre était cultivé. Le gibier était peu abondant. Le village était surtout industriel et avait l'aspect d'un petit bourg. Il n'y avait pas de cours d'eau, on comptait tout au plus quelques mares qui étaient bien souvent à sec tandis que les eaux sauvages (pluie, neige) s'écoulaient vers Vrely par un petit ravin, causant notamment une inondation en 1856.

En 1899, Méharicourt comptait trois usines à vapeur pour le tissage de la laine. Elles occupaient 500 ouvriers et produisaient des bas, des chaussettes et des gilets de chasse[14].

Première Guerre mondiale modifier

Le village de Méharicourt est touché par la Première Guerre mondiale et subit d'importantes destructions[16],[17],[18],[19],[20],[21],[22].

Entre-deux-guerres modifier

La commune fut décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [23]. La reconstruction du village et de son église se déroula durant l'entre deux guerres.

Seconde Guerre mondiale modifier

Un terrain d'aviation militaire avait été construit pendant la Première Guerre mondiale entre Méharicourt et Rosières. Il fut réaménagé en 1939 par l'armée anglaise et utilisé durant la Seconde Guerre mondiale par l'armée allemande comme « Flugplatz Rosières En Santerre » sous le n° de code 510, et de à sous le n° 281. Les pistes furent aménagées avec les briques et les pierres de l'hôtel de ville de Rosières.

Les Allemands y construisent :

  • trois pistes de 1620 m, bétonnées, balisées et équipées de rampes d’approche Lorenz et de moyens de percée ;
  • deux zones de dispersion totalisant 59 abris pour avions ;
  • un bataillon de Flak comprenant une batterie de 6 canons de 88 mm et 8 sections de 4 à 6 canons de 20 et 37 mm, pour assurer la défense antiaérienne du terrain[24],[25],[26].

Politique et administration modifier

Rattachement administratifs et électoraux modifier

La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[27]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Rosières-en-Santerre[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

Intercommunalité modifier

La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[29].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[30],[31],[32]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [33], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [34].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[35].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[36]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 M. Claude Lasalle    
mars 2008[37] 2020 Françoise Deflandre   Réélue pour le mandat 2014-2020[38]
2020 En cours
(au 4 août 2020)
Claire Fournet    

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

En 2021, la commune comptait 564 habitants[Note 2], en diminution de 2,59 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0051 1619591 0771 0911 0901 1021 1601 140
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0211 0501 0521 0251 0061 0311 0931 1701 123
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0981 028888400479447422366393
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
424429485512480538586570585
2021 - - - - - - - -
564--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Le village dispose d'une école primaire de 156 élèves à la rentrée 2017[42].

Économie modifier

Activités économiques et de services modifier

L'agriculture reste l'activité dominante de la commune.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, rue Gaillandre. Une niche abrite une statue de saint Pierre et la tête de saint Martin, issue de la démolition de l'église en 1914[47].
  • Monument aux morts : situé en face de l'église, il fut offert par un couple d'Américains amis de la France ; il s'agit d'une fontaine sous forme d'obélisque entouré d'un bassin octogonal. Il honore la mémoire des morts de la commune au cours des deux guerres mondiales.
  • Mairie : reconstruite après la Première Guerre mondiale, en brique sur deux niveaux.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Pierre-Charles Étévé, né en 1782 à Méharicourt, sergent au 6e régiment de la garde impériale, chevalier de la Légion d'honneur.
  • Emile-Irénée-Léon Lefèvre, né en 1838 à Méharicourt, sous-lieutenant et porte-étendard du 5e régiment de hussards sous le Second Empire, chevalier de la Légion d'honneur.
  • Philippe-Ambroise-Lucien Dumont, né en 1878 à Méharicourt, sous-lieutenant de tirailleurs marocains, Afrique du Nord de 1896 à 1912, campagne contre l'Allemagne 1914-1918, chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre avec palme et étoile d'argent.

Bibliographie modifier

  • Olivier Garcin, Le Santerre à l'amont de la Luce, histoire des origines à 1900, tome second : Rosières-en-Santerre et ses alentours, Mortagne-au-Perche, La Vague verte, 2016 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 081 - 5).

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Méharicourt et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  14. a b c d e f g et h Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Delahaye, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens.
  15. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969 pp. 71-72
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. La poste », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Un coin du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  18. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. La mairie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  19. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Une rue ; ruines », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  20. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Soldats au cantonnement », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  21. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Un poste de commandement », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  22. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Un tissage incendié », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17583.
  24. « Rosières-en-Santerre », Anciens aérodromes (consulté le ).
  25. « Aérodrome de Rosières/Méharicourt », B87 Rosières-en-Santerre, sur geocaching.com (consulté le ).
  26. (en) « Rosières/Méharicourt », Abandoned, Forgotten & Little known airfields in Europe, (consulté le ).
  27. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  30. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  32. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  33. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  34. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
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  47. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 246 (ASIN B000WR15W8).