Loffre

commune française du département du Nord

Loffre
Loffre
Blason de Loffre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Éric Gouy
2020-2026
Code postal 59182
Code commune 59354
Démographie
Gentilé Loffriens
Population
municipale
714 hab. (2021 en diminution de 3,64 % par rapport à 2015)
Densité 275 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 25″ nord, 3° 10′ 12″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 39 m
Superficie 2,6 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aniche
Législatives Seizième circonscription
Localisation
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Loffre
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Loffre
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Loffre
Liens
Site web www.commune-loffre.fr

Loffre est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

 
Loffre dans son canton et son arrondissement

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Loffre
Montigny-en-Ostrevent
Guesnain  
Lewarde Masny

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 684 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Loffre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,2 %), prairies (25,2 %), zones urbanisées (21,8 %), mines, décharges et chantiers (11 %), forêts (7,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie par la ligne 12 du réseau de transport Évéole.

Histoire modifier

Les origines modifier

Dès 1186, la plus grande partie des terres appartenait à l’Abbaye d'Anchin de Pecquencourt qui y exerçait la juridiction[13] Loffre fut longtemps un hameau dépendant de Lewarde situé dans la châtellenie de Bouchain en Hainaut. C’est en 1790, après la Révolution que Loffre devient une commune indépendante[14]

Apparemment le village ne comportait pas d’église au début du XVIIe siècle. Sur le plan du dessiné par Deforest, il apparaît qu’il existait à Loffre une très importante zone marécageuse. On dénombrait 17 habitations dans le hameau.[réf. nécessaire]

En 1820, sur le plan cadastral de la commune, il apparaît que les marais ont été asséchés et que la zone de terres labourables est importante. L’étude effectuée à partir de la matrice cadastrale montre que le village possède 34 habitations, de nombreux jardins, près et vergers ainsi que des bois et de la lande. À cette époque deux sablières étaient en exploitation : une au lieu-dit « La croisette » et l’autre au « Mont Quennelez ». On dénombrait dans la commune : 16 fermiers, 4 cabaretiers, un sabotier, un tonnelier et quelques ouvriers (des piqueurs de grès qui travaillaient dans les sablières). Le village possédait aussi un moulin situé au lieu-dit le Moulin qui était exploité par Nicolas Brabant de Montigny[15].

Époque moderne modifier

1880 : le village comptait 48 habitations, quelques bâtiments ruraux, trois moulins à vent étaient en activité sur le territoire ainsi que huit sablières. 188 personnes habitaient Loffre à cette époque.

Dans la commune on dénombrait 21 agriculteurs, 4 cabaretiers, un chiffonnier, un forgeron, un meunier, un couvreur, un charron, un marchand de levure et quelques ouvriers dont des tailleurs de grès qui travaillaient dans les carrières.

1921 : à cette époque, 222 personnes habitaient le village.

Loffre comptait 12 agriculteurs, 10 estaminets, un cordonnier, un épicier, un tourneur en bois, un menuisier, un couvreur.
3 sablières étaient en exploitation sur le territoire.

1978 : D'après l'étude effectuée à l'époque par Peter Ritschel, étudiant allemand de Karlsruhe, Loffre était une commune de 620 habitants se répartissant en 150 familles environ. L'évolution de la commune a été extrêmement lente. En effet, toutes les communes qui l'entouraient se sont développées grâce à l'exploitation du charbon.
Aux environs de 1900, la population ouvrière du douaisis se déplaçait à proximité des mines et des usines.
Loffre restait épargnée par ces implantations, ce qui explique que pendant la première moitié du XXe siècle il n'y eut que quelques constructions nouvelles dans le village. Loffre conservait ainsi son aspect rural, le cadre y restait agréable. Malgré sa situation au sein du bassin minier le paysage très campagnard continuait à contraster avec les rudes paysages industriels des environs. C'est avec la modernisation des moyens de communication, après 1950, que les habitants des communes voisines plus industrialisées ont cherché à s'éloigner du cadre de leur lieu de travail, préférant les zones rurales aux paysages plus rieurs.
En vingt ans la population a doublé. Dix familles travaillaient dans la commune.

En 2009, dans la commune une sablière est en cours d’exploitation et deux agriculteurs éleveurs continuent leur activité. Au fil du temps, Loffre a changé, cette commune à vocation agricole s’est transformée en village pavillonnaire.

Héraldique modifier

Les armes de Loffre se blasonnent ainsi :"D'azur semé de fleurs de lys d'or, au cerf d'argent passant sur le tout."

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Lors du premier tour des élections municipales le , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 585 inscrits, dont 241 votants (41,20 %), 4 votes blancs (1,66 %) et 232 suffrages exprimés (96,27 %). Tous les sièges sont pourvus dès le premier tour, ce qui inclut le maire sortant Éric Gouy, qui toutefois récolte le plus faible nombre de suffrages exprimés avec 217 voix[16],[17].

Liste des maires modifier

Seize maires se sont succédé à Loffre depuis la Révolution française[18].

Titulaires de la fonction de maire de Loffre 
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Hubert Manin (d)1 an
Pierre Miens (d)1 an
Pierre-Michel Caron (d)24 ans
Pierre Miens (d)1 an
Pierre-Antoine Caron (d)17 ans
Guislain Legrand (d)13 ans
Pierre-Joseph Caron (d)
(mort le )
22 ans
Aimable Blanchart (d)
( - )
17 ans
Pierre-François Debève (d)1 an
Charles Grimbert (d)[19]
( - )

(mort en cours de mandat)
7 ans, 4 mois et 11 jours
Jules Poutrain (d)9 ans
Philippe Poulet (d)
(né le )
15 ans
François Fauqueux (d)10 ans
Alphonse Poulet (d)
( - )
48 ans
Jean-Marie Chœur (d)[20]12 ans
Yves Brillon (d)[21],[22]25 ans
Éric Gouy (d)[23],[24]
(né le )
En cours10 ans et 21 jours indépendant

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 714 habitants[Note 3], en diminution de 3,64 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
120114128141185186161168181
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
202208217204188198208222248
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
236249222236248248319311284
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
357388511611702726760758755
2014 2019 2021 - - - - - -
747714714------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 359 hommes pour 363 femmes, soit un taux de 50,28 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,4 
8,7 
75-89 ans
8,4 
20,0 
60-74 ans
24,5 
25,9 
45-59 ans
23,4 
15,5 
30-44 ans
14,2 
13,8 
15-29 ans
15,6 
15,2 
0-14 ans
12,5 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Folklore modifier

Loffre avait pour géant le moine Guillaume mais il a disparu[32].

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Loffre et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Eugène Mannier, Etudes etymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages de département du Nord, Auguste Aubry, , 395 p. (lire en ligne), p. 1186 LOFFE titre de l abbaye d Anchin 1195 LOFFES id 1254 LOFFRE id LAUFFE LOFFE documents divers Bullet fait venir Loffre du celtique le bord et auf rivière étymologie toute de fantaisie et peu satisfaisante Loffe Lauffc est plutôt un mot d'origine germanique c est le Lauffen ou Loffen des Allemands nom commun à plusieurs localités et rivières de ce pays Lauffen Loopen a signifié chez les anciens peuples du Nord couler courir fluere currere de fluviis aut fluviorum cataractis Lauffen cataracta Inde oppida dicta Laufen ubi Birsa Liufenberg ubi Rhenus prœceps mit Scherzius C'est un nom qui a été donné à certaines villes pour marquer un endroit où l'eau se précipitait ce qui peut s'entendre d'une cataracte pour les fleuves ou d'une cascade d'une chute d'eau pour les rivières et ruisseaux. Le nom de Loffre pourrait également venir de loof en hollandais feuillage verdure laube en teuton obumbra culum in forestis ombrage lieu ombragé. C'est en tous cas un nom d'origine germanique et la première étymologie est la plus probable.
  14. Victor Derode, Histoire de Lille, Volume 1, (lire en ligne), À partir de 1783 les villages et territoires de Dechy Erchin Férin Fles quières Guesnain Lallaing Loffre Masny Roucourt qui faisaient partie de la châtellenie de Bouchain furent réunis à la Flandre wallonne ainsi que les terres qui en dépendent et qui sont enclavées dans les villages de Waziers Sin le Noble Montigny Lewarde et Gœulzin par contre Erre Abscon Marquette furent cédés à la châtellenie de Bouchain Ainsi réduite elle contenait 44,223 bon niers. Elle se divisait en deux parties l'une au Midi sèche marneuse produisant de bons grains l'autre au Nord plus grosse et fertile donnant toute sorte de récoltes.
  15. « moulins », sur loffre-toussaintdomise.fr (consulté le ).
  16. « Élections municipales, Loffre », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 34.
  17. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Loffre », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 9.
  18. « Les maires », sur loffre-toussaintdomise.fr.
  19. « D’hier à aujourd’hui Loffre : À Loffre, les premiers conseils municipaux se sont tenus dans un bistrot », La Voix du Nord,  : « Élu en 1888, Charles Grimbert fait adopter le projet de construction d’une mairie pour des raisons d’indépendance mais aussi de prestige. Inaugurée en 1889, elle sera financée par un don personnel du maire. Le bâtiment devient le cœur du village. Il est aménagé puis transformé sous les mandats de Jean-Marie Chœur (1977-1989) et Yves Brillon (1989-2014) successeurs d’Alphonse Poulet (dont le père Philippe fut maire de 1904 à 1918). »
  20. « Loffre : Jean-Marie Chœur appelle au regroupement des anciens combattants », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Nous diviser c’est nous affaiblir, insiste l’ancien maire de Loffre de 1977 à 1989. »

     
  21. « Loffre : Yves Brillon, maire honoraire, reçoit cette distinction « avec fierté » », La Voix du Nord,  : « Premier adjoint de 1983 à 1989 puis maire jusqu’en 2014, Yves Brillon sera élevé ce vendredi à l’honorariat, une distinction qui récompense trente-et-un ans de dévouement à ses concitoyens, dont un quart de siècle comme premier magistrat. »
  22. « Cérémonie des vœux à Loffre : c’était la « der » pour Yves Brillon », La Voix du Nord,  : « De nombreux loffriens étaient réunis salle polyvalente pour assister aux derniers vœux du maire, Yves Brillon. »
  23. « Loffre : Yves Brillon passe l’écharpe tricolore à Éric Gouy », La Voix du Nord,  : « Dimanche 30 mars, Éric Gouy a pris la succession d’Yves Brillon qui se retire après trente ans au service des collectivités locales. »
  24. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Loffre : sans étiquette »

     
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Loffre (59354) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  31. Didier Margerin, « L'autre Victor Hugo, peintre oublié, en exposition ce week-end », La Voix du Nord, no 25103,‎ , p. 14 (lire en ligne)
  32. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15