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Liste des maîtres de la province d'Aquitaine de l'ordre du Temple

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Cet article présente une liste des maîtres de la province d'Aquitaine de l'ordre du Temple.

Province d'Aquitaine modifier

 
La France en 1154.

(la): « Præceptor (magister) Domorum Militiæ Templi in Aquitania »

La province de Poitou-Aquitaine est une des premières provinces de l'ordre. C'était une très grande province incluant (du nord au sud) le duché de Bretagne, le comté du Maine, le comté d'Anjou (Touraine incluse) et en grande partie le duché d'Aquitaine[1](Comté de Périgord, comté de Poitou), à l'exception des comtés à l'est (La Marche, Limoges, Auvergne) qui formeront un peu plus tard la province d'Auvergne et de l'ancien duché de Gascogne qui a fait partie de la province de Provence et parties des Espagnes avant d'être intégré dans les possessions en Aquitaine. Son territoire est comparable à l'Aquitaine seconde[1]. Hugues de Payns visita le Poitou en 1128[2] juste avant de se rendre en Angleterre puis dès 1139[3] Aliénor d'Aquitaine leur fit don de biens à La Rochelle.

Comme pour la province d'Auvergne (où les maîtres portaient parfois le titre de maître du Limousin), les maîtres désignés comme maître en Poitou (Magister in Pictavia) étaient maîtres d'Aquitaine (Aquitania). Giraud Brochard au début du XIIIe siècle est mentionné comme étant maître du Poitou et de Gascogne (Magister in Pictavia et Wasconia)[4].

La province d'Aquitaine intégra également la baillie du Duché de Bretagne, lors d'un accord établi en 1225 entre Giraud des Bruyères (Girardus de Breies), alors maître provincial d’Aquitaine, et les seigneurs de Retz[5]. Il s'était adjoint les services d'un lieutenant, Pierre de Langan, cité en 1245 comme "commandeur des maisons de la chevalerie du Temple en Bretagne"

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonctions
fr. Guillaume Guidaugier c. 1141[6]
fr. Hugues 1151[6],[7] (la): Hugo
fr. Pierre Levesque c. 1166[6],[7] (la): P. Episcopus[8], Petrus Episcopus[N 1]
« magister Pictavie »
fr. Guillaume Pavet 1166 - 1173[6],[8] (la): Guillelmus Panel, Willelmus Pavet
(en): William Pavet
(fr): Guillaume Panet, Ponet
1173: « minister Templi in Acquitania »[10]
Autres sources : [11]

Maître de la province de France (1160-1161)
fr. Humbert Boutiers 1180[6],[7],[8] (la): Hymbertus Boters
1180: « magister de Pictavia »[12]
c. 1180: « humilis minister Templi in Aquitania »[8]
fr. Aimery de Sainte-Maure 1189 - 1190[6] (la): Aimericus de Sancta Mora
(fr): A. de Sainte-Maure
non daté: « magister fratrum milicie Templi per totam Aquitaniam » [8]
fr. Guillaume Arnaud 1201[6],[8] (la): Guillelmus Arnaldus
1201: « magister fratrum milicie Templi in Aquitania »[8]
fr. Témeric Boez c.1205[6] (la): Lemerius Boez, Temerius Booz
sans date (1205?)[N 2]: « magister militie Templi pictavensis, magister militiæ Templi pictaviensis »[13]

Commandeur de La Rochelle (1207)[14]
Guillaume "Œil de Bœuf"
 1207[15] [Erreur][N 3]
Maître cismarin (1207,1209,1211)[18]
Maître de la province de France (1209)[19]
Giraud Brochard 1210 (1214)[7] - (1220)[7] 1222[20] (Girardus brochardi)
Guy de Tulle 1222 - 1223[7] (Guido de Tullo)
Gérard de Breies 1224 - 1231[7] (Girardus de Breies, Girard des Brières)
1225: « frater Girardus de Breres, militie Temple in Aquitania preceptor humilis ; fratris Girardi de Breies tunc temporis milicie Temple in Aquitania preceptoris »[21]
1231: « fratre G. de Breis, domorum Templi militiæ in Aquitania preceptore »[22]
Giraud de Brosses 1232[7] (Giraudus de Brosses)
fr. Guillaume de Sonnac 1236-1246[23] (la): Guillelmus de Sonaio, de Sonayo, Willelmus de Sounaio, de Sonayo
(en): William of Sonnac
(fr): Guillaume de Saunhac
: « preceptori fratrum milicie Templi in Aquitania »[24]
1239: « Humble précepteur des maisons du Temple d’Aquitaine »
1242: « domorum militie Templi in Aquitania preceptor humilis »[25]
: « magister milicie Templi in Aquitania »[26]
fr. Garin de Sonariis 1243 [Guillaume de Sonnac][23],[N 4]
(la): Warinus de Sonariis
(en): William of Soum'
1243 x 1247: « domorum militiæ Templi in Aquitania preceptor humilis », lettre adressée au roi Henry III d'Angleterre[27]
Autres sources : [7]
Témeric Boez 1244[7] [Erreur de date]
(la): Temerius Boez
Début XIIIe siècle
Foulques de Saint-Michel 1250 - 1252[7] (la): Fulco de Sancto Michaele
: « Ge frère Foques de Saint Michea, commanderers adonques dau maisons de la chevalerie dau Temple en Aquitaine »[28]
1251: « ? »[29]
: « venerabilis vir frater Fulcho de Sancto Michaele, preceptor militie Templi in Aquitania »[30]
(Guido de bona Camierna)[31] 1252
Hugues Grisard (Hugo Grisardi) 1254 - 1258[7] : « fratre Hugone Grisart, tunc preceptore militie Templi in Aquitania »[32]
François de Bort 1259 (?)[33] - 1261[8],[34],[6] : « fratri Franconi de Borno praeceptori et locum praeceptoris Templi in Aquitania tenenti »[35]
Guy de Bazainville 1262 - 1264[36] (Guido de Basenvilla, Gui de Basenville)

Maître de la province de France (1249-1255)
Commandeur de la terre et du royaume de Jérusalem (1256)[37]
Visiteur cismarin (1258-1260/61)
Humbert de Pairaud 1266 - 1269[38]
Jean le Français 1269 - 1276 [39],[40],[41] (la): Johannes Franciscus, Johannes dictus le Franceis
: « frater Johannes dictus le Franceis magister militiae Templi in Aquitania »[42]
Humbert de Pairaud 1274 - 1278[N 5] [Incertain]
Amblard de Vienne 1278 - 1295[43],[44] (1288)[7] (Amblardus de Vienesio)
Pierre de Villiers 1292 - 1300[7] (Petrus de Villaribus, Petro de Villaria)[45],[46]
Geoffroy de Gonneville 1302 - 1303[7] (1307)[47] (la): Galfridus, Gaufredus, Gaufridus de Gonavilla, Guaufredo de Gonavala
Galfride de Gonavilla, Geoffroy de Goneville[48]
, procès: « Galfridus de Gonavilla, Miles Ordinis Templi, preceptor Aquitaniæ & Pictaviæ »[49]

Reçu vers 1279 au Temple de Londres par Robert de Turville, maître d'Angleterre[49]
Autres mentions au cours du procès:[50]

Baillie de Bretagne modifier

(la): « Preceptor domorum militie Templi in Brittania »

Article détaillé : Liste des commanderies templières en Bretagne.
Commandeur Période Commentaires
fr. Guillaume Faucon 1141[51] (la): Guillelmus Faucon, magister militum Templi
fr. Guillaume Ferron 1170[52]
fr. Pierre de Langan 1245[53],[54]

Baillie de Périgord modifier

(la): « Preceptor domorum militie Templi in Petragoricensis »

Commandeur Période Commentaires
fr. Raymond Aiz 1246 (la): « Raymundo Aiz, magistro Militiae Templi in Petragor. dioc. »

Notes modifier

  1. ↑ Émile-Guillaume Léonard n'indique pas le prénom et ne donne pas de date pour ce maître du Poitou (Pictavie), vers le milieu du XIIe siècle (« Tempore incerto, medio aut exeunte XIIe sæculo »). Même constat concernant le prénom chez Jean-Claude Bonnin[6] et pour l'abbé de La Boutetière[7]. Il figure pourtant parmi les témoins du traité de paix entre Henri II d'Angleterre et Louis VII le Jeune en 1160 sous le nom de Petro Episcopo mais sans titre particulier (Templi fratribus, frères du Temple), seul Guillaume Pavet y étant désigné comme maître du Temple (Willelmo Pavet magistro Templi) mais sans précision géographique (il est en fait maître de la province de Gaule donc de France). Quatre autres noms de dignitaires templiers apparaissent également parmi les témoins: Otton de Saint-Omer (Ottone de S. Audom[aro]), Gilbert de Lacy (Giliberto de Laci), Richard de Hastings (Ricardo de Hasting) et Robert de Pirou (Roberto de Piro), tous frères du Temple[9].
  2. ↑ La charte n'est pas datée. Émile-Guillaume Léonard ne s'est pas prononcé et le plaçait avant Guillaume Arnaud (1201), au XIIe siècle tout au moins. Il mentionne un autre document non daté lui aussi où le titre est : « magister in Aquitania »[8].
  3. ↑ Figure dans la « Liste des maîtres templiers en Aquitaine et des prieurs hospitaliers du prieuré de Poitou-Aquitaine » établie par Alain Jacquet, l'auteur précisant qu'il est maître en France[15]. Attesté comme maître de la province de France en 1209. Pas de charte avec le titre de « magister in Aquitania », uniquement « magister cis mare » en 1207 (actes relatifs à la Commanderie de La Rochelle[16] et à la commanderie de Coudrie au sujet de Pornic, seigneurie de Rays[17]).
  4. ↑ Marie Luise Bulst-Thiele propose 1236-1246 comme période en tant que commandeur d'Aquitaine (Bulst-Thiele 1974, p. 217) avec comme preuve à l'appui des documents de l'année 1236 et 1242 (note 3) ainsi que cette lettre datant de 1243 x 1247 où on trouve Warinus de Sonariis (note 4). Le prénom en latin correspond à Garin et non à Guillaume. Une lettre d'Isabelle d'Angoulême du 02 juin 1246 montre que Guillaume était encore maître d'Aquitaine (Teulet et Laborde 1866, p. 622-623 (n°3524)). Néanmoins il est enregistré sous le nom de William de Soum' par les archives du Royaume-Uni (Public Record Office 1968, p. 54).
  5. ↑ Dates établies par déduction, les maîtres étant nommés pour 4 ans.

Références modifier

  1. ↑ a et b Bibliothèque de l'École des Chartes. Tome 164, fascicule 2. sur Google Livres, 2006.
  2. ↑ (en)Hugues de Payns La naissance des Templiers sur Google Livres, Thierry P.F Leroy, 2004, Thebookedition.
  3. ↑ Tables des Manuscrits de D. Fonteneau, conservés à la Bibliothèque de Poitiers. sur Google Livres
  4. ↑ (la) Sir Thomas Duffus Hardy, Rotuli litterarum patentium in Turri londinensi asservati, G. Eyre and A. Spottiswoode, , 355 p. (lire en ligne), p. 152-153, 249
  5. ↑ Philippe Josserand, « Les Templiers en Bretagne au Moyen Âge : mythes et réalités », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, vol. 119, no 4,‎ , p. 7-33 (présentation en ligne), page 22, avec référence aux Archives départementales de la Vienne, 3H1 784.
  6. ↑ a b c d e f g h i et j Jean-Claude Bonnin, Les Templiers et leurs commanderies en Aunis, Saintonge, Angoumois, 1139-1312, La Rochelle, Rumeur des âges, , 95 p. (ISBN 978-2-903974-04-6, présentation en ligne), p. 14-15
    « Chronologie des précepteurs du Temple en Aquitaine »
  7. ↑ a b c d e f g h i j k l m n o et p Société des archives historiques du Poitou, « Cartulaire de Coudrie », dans Archives historiques du Poitou, t. II, , p. 151, lire en ligne sur Gallica
    « Liste "inédite" des Maîtres des chevaliers du Temple en Aquitaine ». A été étoffée depuis par d'autres auteurs.
  8. ↑ a b c d e f g h et i E.G Léonard, « Tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs », dans Introduction au Cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale, E. Champion, , xv-259, p. 96
  9. ↑ M. de Bréquigny, « Observations sur un traité de paix conclu en 1160, entre Louis VII, roi de France & Henri II, roi d'Angleterre, duc de Normandie », dans Mémoires de littérature, tirés des registres de l'académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres, t. XLIII, (lire en ligne), p. 383, 401, lire en ligne sur Gallica
    Texte intégral du traité en latin p. 399-401
  10. ↑ La Boutetière 1873, p. 163 (doc. 8)
  11. ↑ Charles Darras, « Les commanderies et leurs chapelles dans la région charentaise », Mémoires de la Société Archéologique et Historique de la Charente,‎ (présentation en ligne), p. 39, 41
  12. ↑ La Boutetière 1873, p. 164 (doc. 9)
  13. ↑ Société historique des archives de la Saintonge et de l'Aunis, « Chartes de la commanderie magistrale de La Rochelle (1139-1268.) », dans Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, (lire en ligne), p. 34-35 (doc. 8) ; (fr + la) Louis-Étienne Arcère, Histoire de la ville de la Rochelle et du pays d'Aulnis composée d'après les auteurs & les titres originaux, & enrichie de divers plans., (lire en ligne), p. 502
  14. ↑ Arcère 1757, p. 502
    Emile-Guillaume Léonard indique frèreBos pour 1207
  15. ↑ a et b Alain Jacquet, Templiers et hospitaliers en Touraine : sur les traces des moines chevaliers, 1193-2001, Sutton, coll. « Histoire et archéologie », , 160 p. (ISBN 978-2-84253-739-5, présentation en ligne), p. 143
  16. ↑ (fr + la) Meschinet de Richemond et Société des archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, « Chartes de la commanderie magistrale de La Rochelle (1139-1268) », dans Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, (lire en ligne), p. 35-36 (doc. 9)
  17. ↑ La Boutetière 1873, p. 172-174 (doc. 19)
  18. ↑ Léonard 1930, p. 16
  19. ↑ Trudon des Ormes 1894, p. 296-297 (doc. 1)
  20. ↑ Ivy-Stevan Guiho, L'Ordre des Templiers : petite encyclopédie, L'Harmattan, , 292 p. (ISBN 978-2-296-23087-3, lire en ligne)
  21. ↑ La Boutetière 1873, p. 206-207 (doc. 57
  22. ↑ Meschinet de Richemond 1874, p. 43-44 (n°16)
  23. ↑ a et b Bulst-Thiele 1974, p. 217
  24. ↑ (fr + la) M. de La Boutetière, « Dons d'hommes en Bas-Poitou au XIIIe siècle », Archives historiques du Poitou, vol. I,‎ , p. 105-106, lire en ligne sur Gallica
  25. ↑ M. Redet, « Chartes concernant les commanderies de Château-Bernard et d'Angles près Cognac », Bulletin de la société archéologique et historique de la Charente, 4e série, t. V,‎ , p. 70 (n°3), lire en ligne sur Gallica
  26. ↑ Alexandre Teulet et Joseph de Laborde (dir.), Layettes du trésor des chartes : de l'année 1224 à l'année 1246, t. II, , p. 622-623 (n°3524), lire en ligne sur Gallica
  27. ↑ Waddington Shirley 1866, p. 31 (n°437), lire sur Google Livres ; Public Record Office, List of Ancient Correspondence of the Chancery and Exchequer Preserved in the Public Record Office, coll. « List and Indexes, n°15 », (présentation en ligne), p. 54, consulter sur discovery.nationalarchives.gov.uk
    Les documents publiés par Waddington Shirley et le Public Record Office sont les mêmes et non deux lettres distinctes.
  28. ↑ Meschinet de Richemond 1874, p. 44-46 (n°17)
  29. ↑ Louis Douët d'Arcq, Collection de sceaux, vol. III, Plon, (lire en ligne), p. 242 (n°9867)
  30. ↑ La Boutetière 1873, p. 210 (doc. 61-2)
  31. ↑ Claude Mansuet Jeune, Histoire critique et apologétique de l'ordre des chevaliers du temple de Jérusalem dits Templiers, (lire en ligne), p. 27, 70-89
  32. ↑ La Boutetière 1873, p. 212-213, 215 (doc. 61-3)
  33. ↑ Guiho 2009, p. 42
  34. ↑ Roger & Anne-Marie Sève, Le procès des templiers d'Auvergne, Éd. du CTHS, , 322 p. (présentation en ligne), p. 275
  35. ↑ Reinhold Röhricht, Regesta regni Hierosolymitani (MXCVII-MCCXCI), (lire en ligne), p. 341 (n°1303)
  36. ↑ (en) Jochen Burgtorf, The Central Convent of Hospitallers and Templars : History, Organization, and Personnel (1099/1120-1310), Leiden/Boston, Brill, , 761 p. (ISBN 978-90-04-16660-8, lire en ligne), p. 548-551
  37. ↑ Burgtorf 2008, p. 274
    1256: « frater Guido de Basainuilla domorum militiae Templi praeceptor in regno Hyerosolimitano ».
  38. ↑ E.G Léonard, « Tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs », dans Introduction au Cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale, E. Champion, , xv-259, p. 16, 96
  39. ↑ Forey 2015, p. 207 ; Léonard 1930, p. 96,115
  40. ↑ Alain Demurger, Les Templiers, une chevalerie chrétienne au Moyen Âge, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », (1re éd. 2005), 664 p., poche (ISBN 978-2-7578-1122-1).
  41. ↑ Histoire de la ville de la Rochelle et du pays d'Aulnis, Tome II. sur Google Livres, Louis-Étienne Arcère, Académie royale des belles-lettres de la Rochelle, 1757.
  42. ↑ (fr + la) D. Massiou, Histoire politique, civile et religieuse de la Saintonge et de l'Aunis, t. II (lire en ligne), p. 461-462 (n°14)
  43. ↑ Burgtorf 2008, p. 474-477
  44. ↑ (en) Alan J. Forey, « The careers of Templar and Hospitaller Office-Holders », dans Philippe Josserand,Luís F. Oliveira,Damien Carraz, Élites et ordres militaires au Moyen Âge : rencontres autour d'Alain Demurger, Casa de Velázquez, , 478 p. (ISBN 978-8-4156-3688-5, lire en ligne), p. 206
  45. ↑ Carraz 2005, p. 485
  46. ↑ (la) Georges Digard et al., Les registres de Boniface VIII : recueil des bulles de ce pape, vol. 1, E. de Boccard, , p. 547-548 (pièce n° 1508), lire en ligne sur Gallica
    Liste des principaux dignitaires présents pendant le chapitre général de l'ordre en 1296 à Arles
  47. ↑ Monumen(t)s historiques, relatifs à la condamnation des chevaliers du Temple et à l'abolition de leur ordre. sur Google Livres, François-Just-Marie Raynouard, 1813.
  48. ↑ Demurger 2002, p. 193,265,267
  49. ↑ a et b Nicholson 2011, p. 188-190 ; Pierre Dupuy, Histoire de l'Ordre militaire des Templiers, ou Chevaliers du Temple de Jérusalem, (lire en ligne), p. 313-316 (doc. 79)
  50. ↑ Michelet 1841, p. 88, 120, 514, 604
  51. ↑ Abbé Amédée Guillotin de Corson, Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem dits Chevaliers de Malte en Bretagne, Laffitte Reprints, (1re éd. 1902), 306 p. (ISBN 978-2-7348-0065-1, OCLC 17723952, présentation en ligne), p. XIII
  52. ↑ Guillotin de Corson 1982, p. XV, XVIII, XX, XXX, extraits en ligne sur http://www.infobretagne.com
  53. ↑ Josserand 2012, p. 19
  54. ↑ Guillotin de Corson 1982, p. XX,124,190, extraits en ligne sur http://www.infobretagne.com
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