Liste des bornes milliaires de France protégées aux monuments historiques

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Cet article recense − de façon non exhaustive − les bornes milliaires et leugaires romaines, dont des groupes de colonnes itinéraires et des tronçons de voies, sites ou objets immobiliers et mobiliers juridiquement protégées au titre des monuments historiques et actuellement localisées en France. Historiquement, cette liste est le complément des bornes déjà protégées pour être dans les collections publiques.

Des milliaires supplémentaires ou hypothétiques sont aussi mentionnés dans au moins seize autres notices de l'Inventaire général du ministère, mais ne bénéficient pas de mesures de protections juridiques particulières à ce titre. De plus, certaines bornes ayant été christianisées depuis l'Antiquité, et parfois martelées ou transformées, elles sont alors parfois protégées à ce titre (croix de chemins ou de carrefour, base monumentale), ou pour partie (colonne, bénitier, sarcophage, etc.). Dans un cas au moins, le milliaire de Limoges, la borne a été détruite avant l'arrêté de classement.

À propos du choix par le conservatoire des sites et monuments historiques modifier

Les raisons de leur protection modifier

Les raisons de leur protection, et de la constitution du dossier, ont pu être multiples : exposition au vandalisme, au tourisme, attention portée sur elles par une actualité, parfois savante, propriété privée ou de l'Église, vieillissement ou dégradation naturelle impliquant une intervention, risque de déplacement ou de destruction par le propriétaire, par un service de l'État, transformations diverses de l'environnement, etc.

Comme pour les autres monuments, ces raisons ne correspondent donc pas strictement à l'importance historique et géographique, ou esthétique et patrimoniale, qu'ils pourraient avoir, ni à la lecture que l'on en fait aujourd'hui, que ce soit vis-à-vis d'autres bornes ou de toute autre inscription épigraphique et vestige du passé.

Les catégories de protection modifier

De même, les raisons distinguant le classement ou l'inscription du monument, d'une part, et la qualité d'édifice, de site ou d'objet mobilier, d'autre part, ainsi que ce qui justifie que certaines bornes soient uniquement recensées dans l'Inventaire général, semblent particulièrement floues, voire défient la logique.

En plus des nombreux changements dans ce qui constitue les priorités du patrimoine culturel au fil des siècles, la bonne volonté des rédacteurs des dossiers de protection et le caractère aléatoire ou obscur de leur traitement par les multiples administrations qui s'en sont chargées (sous diverses attributions : municipale, ministérielle, délégation auprès de sociétés savantes, etc.) pourraient en partie expliquer que ce chantier soit si peu avancé et chaotique.

On notera, en conséquence, que les statuts juridiques ne sont indiqués ici qu'approximativement : les informations disponibles n'étant pas suffisamment sûres et à jour pour être fiables (identification, bornes en dépôts, ou versées dans des collections publiques, par exemple).

Les autres bornes modifier

Les inscriptions recensées dans le CIL modifier

Le nombre de milliaires protégés est à comparer avec l'ensemble des bornes routières romaines connues sur certaines parties du territoire antique des Gaules, des Alpes, de la Belgique et de la Germanie, qui sont partiellement répertoriées dans le CIL XVII-2[1], soit au minimum pour celles portant une inscription épigraphique :

Toutefois, nombre d'entre elles ont, depuis leur première publication ou « découverte » (parfois avant le XIXe siècle), disparu, ont été réemployées ou sont dans des dépôts archéologiques et des musées (et sont alors, de fait, protégées). Dans certains cas, une réplique a été installée sur place ou dans les environs.

Les bornes anépigraphes modifier

De très nombreuses bornes anépigraphes, sans inscriptions lisibles, ne sont pas dans les recueils de textes mais sont recensées dans les inventaires archéologiques, comme la Carte archéologique de la Gaule [CAG]. Celles-ci, comme pour la stèle de Loc-Eguiner-Saint-Thégonnec, parfois elles-mêmes remplois de pierres plus anciennes (menhir néolithique, stèle protohistorique, etc.), sont généralement considérées comme colonnes itinéraires hypothétiques.

Bornes classées ou inscrites au titre d'édifice ou de site modifier

Carte des bornes modifier

Sont données ici, les coordonnées de la localisation d'origine connue de ces bornes.

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Bornes classées ou inscrites au titre de monument historique (Base Mérimée) modifier

 

Les coordonnées de cet article :

Sont données ici, en priorité, les coordonnées de la localisation actuelle de ces bornes, souvent après un ou plusieurs déplacements, sauf si elles ont disparu. Dans ce dernier cas, il est alors indiqué leur première localisation connue ou son emplacement hypothétique.

Monument Département Commune Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration
Borne itinéraire de Biozat
CIL 17-02, 00343
Allier Biozat Borne leugaire[2] trouvée en 1841 sur la pelouse, et toujours in situ, place de l'église Saint-Symphorien[3]. 46° 04′ 43″ nord, 3° 16′ 16″ est « PA00093006 » Inscrit 1946
 
Borne itinéraire de Vichy
CIL 17-02, 00341
Allier Vichy Borne[4] leugaire[2] trouvée en 1880 dans l'angle Nord-Est du mur d'enceinte de l'ancien cimetière du Moûtier[5], puis déplacée dans le hall du centre thermal des Dômes. Elle est, à tort, mentionnée comme classée au titre objet le 5 juillet 1916 dans la base Palissy[6]. 46° 07′ 35″ nord, 3° 25′ 07″ est « PA00093338 » Classé 1916
 
Borne milliaire de Gréolières
CIL 17-02, 00007
Alpes-Maritimes Gréolières La borne[7] a été descendue de l'ancien chemin du Haut-Gréolières[8] en 1810 et installée devant la récente chapelle Sainte-Anne, à gauche de la route sortant du bourg, en direction d'Andon. Elle a été christianisée, réemployée comme le piédestal d'une croix en fer. 43° 47′ 45″ nord, 6° 56′ 13″ est « PA00080743 » Inscrit 1935
 
Borne milliaire de La Turbie Alpes-Maritimes La Turbie route de la Corniche à géolocaliser « PA00080889 » Inscrit 1926

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Bornes milliaires de Cruas
CIL 17-02, 00175 et CIL 17-02, 00177 ?
Ardèche Cruas Deux bornes[9] localisées place de l'Église, devant l'Abbatiale Sainte-Marie, parmi sept ou huit différents milliaires découverts sur le territoire de Cruas (dont au moins trois après 1903). 44° 39′ 25″ nord, 4° 45′ 46″ est « PA00116699 » Classé 1903
 
Borne milliaire de Pont-de-Labeaume
CIL 17-02, 00190
Ardèche Pont-de-Labeaume Borne[10] trouvé en 1857 dans un champ situé au bord de la rivière, non loin de son emplacement actuel. Déplacée de l'autre côté de la route et posée sur un petit socle, sur le trottoir de la place, devant l'église paroissiale, près de la mairie. 44° 39′ 55″ nord, 4° 17′ 21″ est « PA00116742 » Classé 1932
 
Borne milliaire de Rochemaure dite aussi de Privas
CIL 17-02, 00180
Ardèche Rochemaure, à Privas, aux XIXe & XXe siècles Anciennement à la Croix de la Lauze, où elle avait roulé en bas de la colline, la borne[11] devait être placée, selon L. A. Pelet (1853-1854), en deçà de la station des Fonts-de-Collarion[12]. Déplacée au XVIIIe siècle au château de Joviac, puis au XIXe siècle à la préfecture et dans la cour du lycée de Privas. Depuis 1999, elle est conservée à la Chapelle Notre-Dame-des-Anges de Rochemaure, et a une copie devant la mairie. 44° 35′ 16″ nord, 4° 42′ 05″ est « PA00116748 » Classé 1903
 
Borne milliaire de Saint-Germain
CIL 17-02, 00191
Ardèche Saint-Germain Borne[13] toujours in situ, au carrefour de la D 103 avec le chemin de l'église, près de l'ancien cimetière, au nord-est du village. La borne était christianisée, surmontée d'une croix, dans le passé. 44° 33′ 22″ nord, 4° 27′ 14″ est « PA00116786 » Inscrit 1935
 
Borne milliaire de Vagnas
CIL 17-02, 00201
Ardèche Vagnas La borne[14], aujourd'hui pratiquement illisible, est in situ, au lieu-dit La Pierre Plantée, au carrefour de la D 579 avec le chemin se rendant au lieu-dit La Rochette, à 2 km au nord de Vagnas. Elle a été christianisée en 1717 par une croix fixée à son sommet. Elle aurait été renversée par un tracteur en 1958, puis sommairement redressée. 44° 21′ 05″ nord, 4° 21′ 54″ est « PA00116840 » Inscrit 1974
 
Bornes milliaires de Roquefort-des-Corbières
CIL 17-02, 00290, CIL 17-02, 00291, CIL 17-02, 00292 et CIL 17-02, 00293
Aude Roquefort-des-Corbières Trois bornes[15] sont mentionnées (dont une ayant un fragment anépigraphe supplémentaire) dans la combe de la Clotte. On fait l'hypothèse qu'elles ont été déplacées et regroupées pour la construction d'un bâtiment (aujourd'hui en ruine) au Moyen Âge. 42° 58′ 33″ nord, 2° 55′ 24″ est « PA00102879 » Classé 1974
 
Colonne de la forêt de Weitbruch
CAG-67-1, p. 659-660
Bas-Rhin Weitbruch Stèle[16] anépigraphe découverte en 1859. Au district 39 de la forêt communale, à cent vingt mètres depuis la route, sur un chemin forestier partant de la D139 vers le sud. 48° 46′ 04″ nord, 7° 46′ 52″ est « PA00085221 » Inscrit 1934
 
Borne milliaire de la Calanque, dite d'Aureille
CIL 17-02, 00062
Bouches-du-Rhône Aureille, à la frontière avec Saint-Martin-de-Crau Borne à peu près in situ, à quelques centaines de mètres au nord-ouest du mas d'Archimbaud-en-Crau, à la frontière avec le territoire de la commune de Saint-Martin-de-Crau (où elle a parfois été localisée par erreur). Brisée en deux parties, elle est actuellement en cours de remontage par Michel Poguet[17]. 43° 39′ 39″ nord, 4° 57′ 41″ est « PA00081433 » Classé
Classé
1945
2006
 
Borne milliaire de Caseneuve
CIL 17-02, 00056
Bouches-du-Rhône Lançon-Provence Borne au lieu-dit Caseneuve, sur la D17 de Pélissanne à Éguilles[18]. 43° 35′ 51″ nord, 5° 12′ 33″ est « PA00081309 » Classé 1942
 
Borne itinéraire de Bidoussanne
CIL 17-02, 00059
Bouches-du-Rhône Pélissanne Borne anépigraphe. Chemin de Gigery, au lieu-dit Bidoussanne[19]. 43° 36′ 29″ nord, 5° 10′ 26″ est « PA00081399 » Inscrit 1941
 
Borne milliaire de Bruère-Allichamps
CIL 17-02, 00489
Cher Bruère-Allichamps Route de Bourges à Montluçon ; à l'intersection de la R. D. 2144 et de la R. D. 92 (« IA00011004 », notice no IA00011004) 46° 46′ 10″ nord, 2° 25′ 59″ est « PA00096747 » Classé 1909
 
Pierre du Marteau
CIL 17-02, 00355
Creuse Le Donzeil La borne[20] est, in situ, au carrefour de chemins communaux, au lieu dit La Pierre du Marteau. En 1880, elle était plantée la tête en bas, d'où son nom. 46° 03′ 13″ nord, 2° 00′ 43″ est « PA00100055 » Classé 1929
 
Borne milliaire de la mairie de Saillans
CIL 17-02, 00094 ou de l'église Saint-Géraud de Saillans CIL 17-02, 00095 ?
Drôme Saillans Borne[21] sur la place de la Daraise[22] et soutenant une croix, avant 1835, puis transportée à la mairie en septembre 1952. La notice Mérimée manquant de précision, la borne est identifiée, ici, sans certitude : deux autres milliaires ayant été trouvés sur la commune[23]. Henri Desaye a fait l'hypothèse que les deux milliaires du XVIe mille étaient dans l'Antiquité localisés au hameau de la Maladrerie[24], près du gué sur la Drôme. 44° 41′ 52″ nord, 5° 11′ 50″ est « PA00117044 » Classé 1905
 
Stèle de Croas ar Peulven dite borne milliaire de Quillidien
CIL 17-02, 00417
Finistère Plouigneau Stèle protohistorique, peut-être remployé en borne (anépigraphe), près du hameau de Croas ar Peulven, sur le bord Est du chemin menant anciennement à Quillidien (lieu-dit distant de plus de cinq cents mètres au Nord), et à environ deux cents mètres au Nord-Ouest du lieu-dit Keranfors. 48° 34′ 17″ nord, 3° 40′ 51″ ouest « PA00090254 » Inscrit 1956
 
Colonnes de César
CIL 17-02, 00210, CIL 17-02, 00211, CIL 17-02, 00212 et CIL 17-02, 00213
Gard Beaucaire ou Jonquières-Saint-Vincent Trouvées en bordure de la Via Domitia entre Beaucaire et la Jonquières-Saint-Vincent (où certains spécialistes les localisent). Ces quatre bornes milliaires[25], dont une base anépigraphe classée deux ans après les autres[26], sont toujours in situ au lieu-dit Peyrous Plantadous ou Peires Plantades au Clos des Mélettes, en bordure du chemin rural (C.R.) 56. Elles ont été dégagées et redressées en novembre 1962, à l'occasion du premier classement. 43° 48′ 58″ nord, 4° 35′ 57″ est « PA00102974 » Classé
Classé
1963
1965
 
Borne milliaire de Caveirac
CIL 17-02, 00256
Gard Caveirac Borne[27] qui aurait été trouvée à Galargues[28] avant 1640. Transformée en borne-fontaine de la place du Château avant 1892. 43° 49′ 33″ nord, 4° 15′ 38″ est « PA00103038 » Classé 1911
 
Borne milliaire de Manduel
CIL 17-02, 00223
Gard Manduel Le Village[29] 43° 49′ 08″ nord, 4° 28′ 25″ est « PA00103071 » Classé 1973
 
Borne milliaire d'Uchaud
CIL 17-02, 00257
Gard Uchaud Borne[30] à l'angle du chemin venant de Bernis et de la route de Nîmes à Narbonne. 43° 45′ 59″ nord, 4° 17′ 18″ est « PA00103249 » Classé 1912
 
Tronçon du bassin du Thau de la Via Domitia (dont la borne milliaire de Monplaisir)
CAG-34-2, p. ?
Hérault Mèze ? (ou Loupian ?) D'après la notice de la base Mérimée, près du fossé dit de Mon Plaisir (?), point où se dresse la borne milliaire[31] marquant le 35e mille (probablement depuis Nîmes). 43° 27′ 25″ nord, 3° 34′ 57″ est « PA00135390 » Inscrit partiellement 1995

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Borne milliaire de Saint-Aunès
CIL 17-02, 00277
Hérault Saint-Aunès Borne[32] trouvée au hameau d'Auroux[33], sur la commune de Mauguio, puis déplacée à droite de la façade de l'église de Saint-Aunès, sous un abri. 43° 38′ 12″ nord, 3° 57′ 57″ est « PA00103687 » Classé 1911
 
Colonnes de Locmeltro
CAG-56, p. 143
Morbihan Guern Deux bornes anépigraphes[34], hypothétiquement romaines, sont dans l'enclos paroissial de la chapelle Saint-Meldéoc de Locmeltro (ou du lieu-dit Loc Meltro, selon l'IGN). Devant l'entrée de la chapelle, la base d'une des deux borne, tronquée, a été réemployée en bénitier. Sa partie supérieure étant à proximité. 48° 02′ 50″ nord, 3° 08′ 44″ ouest « PA00091248 » Inscrit 1946
 
Borne itinéraire de Brossel
CAG-63-2, p. ?
Puy-de-Dôme Le Broc Borne anépigraphe[35], hypothétiquement romaine, au lieu-dit de la Pierre-Fichade (cad. D 335), à quelques centaines de mètres à l'est du hameau de Brossel. 45° 29′ 29″ nord, 3° 16′ 12″ est « PA00091923 » Classé 1951
 
Colonne milliaire de Saint-Hippolyte
CIL 17-02, 00296
Pyrénées-Orientales Saint-Hippolyte Borne[36] trouvée en 1847 sous la table du maitre-autel de l'église qu'elle soutenait. Déplacée dans le porche, où elle était surmontée d'un chapiteau roman. 42° 47′ 05″ nord, 2° 58′ 02″ est « PA00104119 » Classé 1892
 
Borne milliaire de Solaize
CIL 17-02, 00148
Rhône Solaize Borne[37] découverte en 1603, au carrefour de la rue de Chantabeau et de la rue du Rhône (D 36), probablement à l'origine 4 km plus au sud, aux environs de Communay[38]. Elle était la base d'une croix en 1880. Une copie est au musée gallo-romain de Saint-Romain-en-Gal[39] (photo ci-contre de cette dernière). 45° 38′ 28″ nord, 4° 50′ 15″ est « PA00118067 » Classé 1910
 
Borne milliaire de Cenon-sur-Vienne
CIL 17-02, 00441
Vienne Cenon-sur-Vienne Borne[40] portant une dédicace à Hadrien, de . Elle est trouvée en 1928 par Gabriel Rimbault « à gauche sur le bord de la route qui va de Cenon à Vouneuil-sur-Vienne, à une cinquantaine de mètres de la gare des tramways[41] » (site archéologique 16 131 046 AH ?). Déplacée dans la cour de la mairie[Quand ?][Où ?], puis avec d'autres vestiges dans le jardin du « château de La Bonde[42] », mairie entre 1953 et 1990, elle est dorénavant dans le hall de la nouvelle mairie, place Michel Gaudineau. 46° 46′ 25″ nord, 0° 32′ 11″ est « PA00105373 » Inscrit 1938
 

Bornes parties d'édifices ou de sites classés ou inscrits modifier

Ces bornes peuvent être intégrées ou remployées dans un monument historique, sans être spécifiquement mentionnées dans l'arrêté.

Monument Département Commune Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration
Borne milliaire de Vic-sur-Aisne
CIL 17-02, 00506
Aisne Vic-sur-Aisne Borne trouvée vers 1700 « dans une terre près de Vic-sur-Aisne » (...), et déplacée avant 1724 dans la cour du château. Au moins depuis le XIXe siècle, à l'entrée du parc, en vis-à-vis du perron, face au donjon[43]. 49° 24′ 20″ nord, 3° 06′ 52″ est Partie d'un site classé (mais ne semble pas classé au titre objet) « PA00115974 », notice no PA00115974
 
Borne milliaire de Chadenac
CIL 17-02, 00428
Charente-Maritime Chadenac Borne de l'empereur Claude (en l'an 46 ap. J.-C.), remployée en cuve de sarcophage dès l'Antiquité tardive, après avoir été retaillée, ce qui l'a amputée des premières lignes de l'inscription. Au vu de la distance indiquée depuis Mediolanum (Saintes), on suppose qu'elle a été déplacée d'environ 4 km _bien que le nom de l'agglomération de référence soit discuté. Trouvée en 1863 lors des fouilles du cimetière gallo-romain du « terrier de la chapelle de Sainte-Sône » (chapelle détruite au XVIIIe siècle), à environ 600 m à l'est-sud-est du bourg, elle est d'abord déplacée au bord de la route près du lieu de découverte. Au XXe siècle, elle est installée avec d'autres vestiges sous un abri, auprès de l'église Saint-Martin[44]. 45° 32′ 31″ nord, 0° 26′ 38″ ouest Partie d'un site classé (mais ne semble pas classé au titre objet) « PA00104638 », notice no PA00104638
 
Croix du mur de l'enclos de Ploulec'h
CAG-22, p 251 ou 252 ?
Côtes-d'Armor Ploulec'h Cette croix, intégrée au mur de clôture (« inscrit », notice no IA22002379) de l'enclos paroissial (côté rue, face au transept Nord), était peut-être un réemploi christianisé vers le XVIIe siècle (stèle de l'âge du fer ? colonne romaine ?). Bien que certains auteurs aient envisagé, lors de l'inscription du site en 1926, que ce soit une ancienne borne anépigraphe, du fait de la proximité avec la « voie romaine », notice no IA22002470 menant au Yaudet, l'hypothèse ne semble plus envisagée par les archéologues au moins depuis 1978[45],[46]. 48° 43′ 06″ nord, 3° 30′ 14″ ouest « IA22002397 » Partie d'un site inscrit (mais ne semble pas classé au titre objet) « IA22002379 », notice no IA22002379 1926
 
Borne milliaire de Pommiers-en-Forez
CIL 17-02, 00346
Loire Pommiers Borne trouvée en 1880 dans l'assise de construction de l'église Saint-Julien (« classé », notice no PA00117544). En 1987, elle a été installée devant l'abside par les Amis du Vieux Pommiers[47]. 45° 49′ 45″ nord, 4° 03′ 52″ est Partie d'un site classé (mais ne semble pas classé au titre objet)
 
Borne milliaire du mont Aurélien
CIL 17-02, 00051
Var Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (anciennement à Pourcieux) Borne trouvée en 1858 près de la via Aurelia, dans le lit d'un petit ravin du mont Aurélien[48], à environ 4 km de Saint-Maximin, sur la commune de Pourcieux. Elle est rapidement déplacée dans le cloître de la basilique Sainte-Marie-Madeleine, mais une copie serait sur place[49]. 43° 27′ 11″ nord, 5° 51′ 50″ est Partie d'un site classé (mais ne semble pas classé au titre objet) « PA00081710 », notice no PA00081710 1858
 
Borne milliaire du gué des Chirets
CIL 17-02, 00383
Vienne Chauvigny (ex Saint-Pierre-les-Églises) Fragment semi-cylindrique d'une borne[50], creusé en sarcophage au centre de l'inscription, trouvé près du gué des Chirets. Celui-ci a été déplacé dans le cimetière de Saint-Pierre-les-Églises après 1863, pour être adossé au sud-est du chevet, puis assemblé à d'autres éléments et orné d'un chapiteau antique vers la fin du siècle[51]. C'est probablement à cette dernière occasion que la partie manquante a été comblée par une reconstitution hypothétique contestée[52]. 46° 33′ 16″ nord, 0° 38′ 06″ est « IA00045934 » Partie d'un site classé : le cimetière et l'église (mais ne semble pas classé au titre objet) « PA00105414 », notice no PA00105414 1934 (?) et 1952
 

Bornes classées au titre d'objet mobilier (Base Palissy) modifier

Monument Département Commune Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration
Borne milliaire de Barsac
CIL 17-02, 00091
Drôme Barsac Borne[53] placée sur le trottoir extérieur de la place de l'église. Elle est remployée comme socle d'une croix. 44° 43′ 54″ nord, 5° 17′ 23″ est « PM26000009 » classé 1950

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Borne milliaire d'Érôme
CIL 17-02, 00157
Drôme Érôme Borne[54] portant une double inscription. Précédemment remployée comme support du bénitier placé à droite en entrant dans l'église, elle a été déplacée dans le jardin du presbytère Saint-Martin, mais n'y était plus visible ces dernières années[55]. 45° 07′ 14″ nord, 4° 49′ 16″ est « PM26000099 » classé 1905

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Borne milliaire de la cathédrale Saint-Apollinaire
CIL 17-02, 00160
Drôme Valence Borne[56] formant le tambour d'une colonne dans le chœur de la cathédrale Saint-Apollinaire (classée en 1862). 44° 55′ 54″ nord, 4° 53′ 22″ est « PM26000317 » classé au titre immeuble avec la cathédrale « PA00117085 », notice no PA00117085 1869
 
Bornes milliaires de l'église Notre-Dame-des-Pommiers
CIL 17-02, 00207 et CIL 17-02, 00208
Gard Beaucaire Bornes[57] trouvées dans le cloître de l'église Saint-Martin (selon Peiresc) à l'occasion de la construction de l'église collégiale[58] sur son emplacement, et installées dans la cour de l'hôtel de ville en 1735 (site classé en 1925[59]). Elles ont été déplacées (ou des répliques[60] ?) à une date indéterminée (au plus tard dans le dernier quart du XXe siècle) sur le chemin des Romains (correspondant à la Via Domitia), au carrefour des Cinq Coins ou des Cinq Cantons, aux abords d'un jardin public[61]. 43° 48′ 35″ nord, 4° 37′ 46″ est « PA00102986 » classé au titre objet « PM30000111 », notice no PM30000111 1911
 
Borne milliaire de l'église Saint-André
CIL 17-02, 00255
Gard Bernis Borne[62] remployée comme colonne engagée dans le mur Nord du collatéral de l'église paroissiale. 43° 46′ 01″ nord, 4° 17′ 19″ est « PA00103025 » classé au titre objet « PM30000112 », notice no PM30000112 1906

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Borne milliaire de la chapelle de Mons
CIL 17-02, 00371
Gers Crastes (sur l'ancienne commune de Mons) Borne[63] remployée comme support du bénitier dans la chapelle de Mons (ancienne église Saint-Blaise). 43° 43′ 30″ nord, 0° 42′ 10″ est « PM32000508 » classé 1997
 
Borne milliaire d'Ayguesvives
CIL 17-02, 00304
Haute-Garonne Ayguesvives Milliaire dressé à l'abri d'un auvent contre le mur du chœur[64], à l'extérieur de l'église Saint-Loup d'Ayguesvives. 43° 26′ 18″ nord, 1° 35′ 45″ est « PM31000004 » classé 1914
 
Borne milliaire de Baziège
CIL 17-02, 00303
Haute-Garonne Baziège Borne[65] conservée dans l'église Saint-Etienne, et dite aussi « la Sainte Pierre ». 43° 27′ 19″ nord, 1° 36′ 49″ est « PM31000034 » classé 1906

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Borne milliaire de Montgaillard-Lauragais
CIL 17-02, 00302
Haute-Garonne Montgaillard-Lauragais Borne[66] milliaire, très abîmée, dressée sur la place de la Garrigue, au bout de la rue de la Pierre Milliaire, servant de socle à une croix de fer. Provenant probablement de la voie de Narbonne à Toulouse, Michel Labrousse a réussi à y déchiffrer le nom de l'empereur gaulois Tétricus (271-274). 43° 25′ 50″ nord, 1° 42′ 01″ est « PM31000423 » classé 1915
 
Borne milliaire de Saint-Jean-d'Aubrigoux
CIL 17-02, 00319
Haute-Loire Saint-Jean-d'Aubrigoux Cette borne[67] semble être aujourd'hui illisible, mais n'est pas identifiée avec certitude. Elle se trouverait toujours in situ, à environ 500 m (mais 1 500 m selon Payrard) au sud du bourg, sur la route du village de Trivis. 45° 21′ 22″ nord, 3° 48′ 50″ est « PM43000634 » classé 1918
 
Borne milliaire du pont de la Géline
CIL 17-02, 00107
Haute-Savoie Annemasse Borne[68] trouvée en 1869 à droite du pont de la Géline (canalisée depuis 1920), sur la route de Genève à Bonneville, et conservée dans les locaux techniques de la mairie. 46° 11′ 36″ nord, 6° 14′ 03″ est « PM74000095 » classé 1939

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Borne itinéraire de Limoges
CIL 17-02, 00361
Haute-Vienne Limoges Cette pierre[69], détruite avant le 29 août 1893 par le Service des travaux publics de la ville, était probablement une colonne itinéraire romaine. Elle était anciennement localisée place de la Règle, dite petite place du Séminaire, devant la porte de l'ancienne abbaye de la Règle. Elle n'aurait jamais été classé comme immeuble (contrairement ce qui est indiqué sur la fiche Mérimée). 45° 49′ 44″ nord, 1° 16′ 04″ est « PA00100331 » classé au titre objet « PM87000625 », notice no PM87000625 1894 (après destruction)
 
Borne milliaire de Vollore-Ville
CIL 17-02, 00348
Puy-de-Dôme Vollore-Ville Borne[70] portant une dédicace à Claude de ou apr. J.-C. Elle est signalée avant le XVIIIe siècle « au bout de cent pas, à l'est de la ville » (1856) au lieu-dit la Croix de Saint-Roch[71], peut-être christianisée dès le Moyen Âge et assemblée à d'autres éléments (« élevée sur cinq gradins »), puis pratiquement détruite en 1793. Les deux fragments restants de la colonne et l'inscription mutilée en forme d'écusson sont dans le jardin en façade de la mairie. Une reconstitution approximative du monument original a été installée sur son lieu d'origine, en face d'une croix monumentale élevée en 1826. 45° 47′ 10″ nord, 3° 36′ 00″ est « PM63001472 » classé 1904 (fragments)
 

Autres statuts modifier

Bornes versées dans les collections publiques modifier

Bornes de France dans les collections françaises modifier

Les bornes faisant partie des collections publiques de biens culturels, c'est-à-dire propriété d'une entité publique (État, collectivités territoriales, établissement public, etc.) et conservées dans un dépôt archéologique, un musée, les archives, etc., sont protégées au titre du régime spécial de propriété publique ou du statut spécifique donné par le label Musée de France[72] (ce dernier statut pouvant concerner des collections privées, associatives, etc.).

Certaines bornes ont été versées dans les collections publiques après leur classement ou inscription.

Monument Département Commune Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration
Borne milliaire de la ferme de Salignac
CIL 17-02, 00079
Alpes-de-Haute-Provence Riez, anciennement à Saint-Jeannet Borne du quinzième mille depuis Riez, dédiée à Aurélien en 275, trouvée en 1905, à environ 500 m à l'ouest de la ferme de Vaumène-le-Bas[73], dans la commune de Saint-Jeannet. Elle est conservée au musée lapidaire du baptistère de Riez depuis 1929[74]. 43° 48′ 44″ nord, 6° 05′ 24″ est « PM04000331 » classé au titre objet 1932

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Tronçons de la Turbie et du vallon de Laghet de la Via Julia Augusta (dont plusieurs bornes)
de CIL 05, 08099 à CIL 05, 08107 et CIL 17-02, 00004 ?
Alpes-Maritimes La Turbie Au moins neuf milliaires[75] (mais seuls cinq sont classés) ont été trouvés : à Languissa, à côté des anciennes « Carrières de la Justice » (deux 603e ?) ; à la Turbie, Cours Albert Ier (604e[76]) ; au Mont Sembola, quartier de l'Espéraille (deux 605e[77]), près de l'ancienne chapelle de Saint-Pierre (deux 606e[78]) ; au lieu-dit Peira Longa (607e) ; dans le quartier de Garquier (deux 607e). Plusieurs d'entre eux sont conservés au musée du Trophée des Alpes de la Turbie[79] et au musée archéologique de Nice. 43° 43′ 10″ nord, 7° 16′ 31″ est « PA00080898 » Classé 1922
 
Borne milliaire de Golfe-Juan (Tibère)
CIL 17-02, 00023
Alpes-Maritimes Vallauris Borne[80] portant une dédicace à Tibère de ou , et trouvée par Antoine Guiol en 1856 sur sa propriété à Golfe-Juan (sur la commune de Vallauris), à 50 m environ de la route impérial, au Nord, et à trente mètres d'une maisonnette, en allant vers l'Ouest. Elle est conservée dans la cour du musée municipal. 43° 34′ 48″ nord, 7° 03′ 12″ est « PM06001205 » classé au titre objet avec celle dédiée à Constantin 1910

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Borne milliaire de Golfe-Juan (Constantin)
CIL 17-02, 00024
Alpes-Maritimes Vallauris Fragment de borne[81] portant une dédicace aux empereurs de la seconde Tétrarchie, entre et (selon Chastagnol ?), ou à Constantin Ier et daté entre et (selon Walser). Ce fragment est trouvé vers 1834, près du rivage, à côté de l'ancienne tour de la Gabelle de Golfe-Juan (sur la commune de Vallauris) et actuelle villa dite « de M. Roux », sur le parcours de la Via Aurelia. Il semble être conservé dans la cour du musée municipal, avec une borne dédiée à Tibère. 43° 34′ 48″ nord, 7° 03′ 12″ est « PM06001205 » classé au titre objet avec celle dédiée à Tibère 1910

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Borne milliaire des carrières de Chaise-l'Évèque (Maximin Ier)
CIL 17-02, 00004
Alpes-Maritimes Vence Borne[82] portant une dédicace à Maximin Ier de , et trouvée à sept kilomètres de Vence, dans les carrières de Chaise-l'Évèque[83] avant 1869, comme d'autres inscriptions. Après plusieurs déplacements[84], elle est actuellement conservée à la chapelle Sainte-Anne où une partie de l'ancienne collection lapidaire municipale est regroupée. 43° 43′ 13″ nord, 7° 06′ 27″ est classé au titre objet « PM06002265 », notice no PM06002265 1910
 
Borne milliaire du chemin de Bézaudun
CIL 17-02, 00002 ?
Alpes-Maritimes Vence Borne[85] portant une dédicace à Maximin Ier de , et trouvée par Edmond Blanc en 1872, à cinq kilomètres de Vence, sur la route de Coursegoules, à l'embranchement du chemin de Bézaudun[86] (peut-être déplacée avant, depuis les carrières de Chaise-l'Évèque, par les cantonniers). Après de plusieurs déplacements[84], elle est actuellement conservée à la chapelle Sainte-Anne.
L'identification n'est toutefois pas certaine, du fait du manque de précision de la notice Palissy. Au moins cinq milliaires originaires de Vence, sont documentés[87].
43° 43′ 13″ nord, 7° 06′ 27″ est « PM06001236 » classé au titre objet (avec une inscription funéraire ?) 1910
 
Borne milliaire d'Arras-sur-Rhône
CIL 17-02, 00173
Ardèche Arras-sur-Rhône Anciennement dans le cimetière désaffecté entourant l'église[88] (après avoir servi de support, près de la grande porte, à l'angle d'une tribune), la borne[89] est déplacée en 1939 à l'entrée de la cour d'honneur au château-musée de Tournon-sur-Rhône. 45° 04′ 06″ nord, 4° 49′ 55″ est « PA00116628 » Inscrit 1926

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Borne milliaire de Mélas
CIL 17-02, 00183
Ardèche Le Teil Borne[90] découverte dans la vallée de Mélas, au pied du coteau des Combes, près de la route[91]. Déplacée, en 1990, sous le balcon du dépôt de fouilles du Centre de documentation archéologique d'Alba-la-Romaine. Une reconstitution (image ci-contre) du milliaire se trouve depuis sur une aire de pique-nique[92], près de deux km au nord-ouest de son emplacement original. 44° 33′ 20″ nord, 4° 35′ 53″ est « PA00116823 » Classé 1932
 
Borne milliaire de Mirabel
CIL 17-02, 00189
Ardèche Mirabel, conservée à Saint-Germain-en-Laye Borne[93] découverte à Mirabel en 1897 par Longin Ducros, au-delà d'un ravin, à 150 m de sa ferme[94], et acquise l'année suivante par le musée de Saint-Germain-en-Laye (Inv. n° 35588). 48° 53′ 52″ nord, 2° 05′ 46″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France) 1898
 
Borne milliaire d'Alairac
CIL 17-02, 00297
Aude Carcassonne, anciennement à Alairac Ancienne colonnette, réutilisée en milliaire[95], signalée en 1724 sur la commune d'Alairac, peut-être dans un champ nommé Saintose, au hameau de Villesèque-Basse (actuel Rougeats). Elle a, depuis, été déplacée dans le jardin de la préfecture, puis versée dans la collection du musée lapidaire du château comtal de Carcassonne. 43° 12′ 27″ nord, 2° 21′ 47″ est « PM11001862 » classé au titre objet 1960
 
Borne milliaire de Barbaira
CIL 17-02, 00299
Aude Carcassonne, anciennement à Barbaira Borne[96] signalée en 1888 sur la commune de Barbaira, à 12 ou 13 km à l'Est de Carcassonne, à la limite de Capendu, sur l'ancienne nationale 113 (actuelle route D 6113) vers Narbonne. Elle a depuis été versée dans la collection du musée lapidaire du château comtal de Carcassonne. 43° 12′ 27″ nord, 2° 21′ 47″ est classé au titre objet (arrêté absent de la liste départementale) « PM11002140 », notice no PM11002140 1960
 
Borne milliaire du Rieu de Treilles
CIL 17-02, 00294
Aude Narbonne, anciennement à Caves (précédemment rattachée à Treilles), à la frontière avec La Palme Borne du vingtième mille depuis Narbonne, dédiée à Cnaeus Domitius Ahenobarbus après l'an 121 av. J.-C.[97], trouvée en 1949 sur la commune des Caves, après avoir été dégagée pendant la guerre, sur la rive gauche (coté La Palme ?), « à une vingtaine de mètres en amont du pont » de la route D 6009 enjambant le Rieu de Treilles[98]. En 1949, Joseph Campardou faisait l'hypothèse qu'à quelques mètres plus en amont, un « radier a dû être construit pour l'établissement du gué aménagé par lequel la voie Domitienne primitive franchissait le torrent » (voir sa carte, fig. 1). Paul-Marie Duval, en 1968, indique que le milliaire « est la plus ancienne pierre inscrite en latin trouvée en Gaule et la plus ancienne borne romaine datée trouvée à l'Ouest de l'Italie ». Il[99] sera conservé au NarboVia, après 2020. 43° 10′ 52″ nord, 3° 00′ 15″ est classé au titre objet « PM11001199 », notice no PM11001199 1954

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Borne milliaire de Hautepierre
AE 1986, 00521
Bas-Rhin Strasbourg Borne[100] probablement en bordure de la voie reliant Strasbourg à Saverne, mise au jour lors de la construction des établissements Leroy-Merlin[101] à Hautepierre, dans la zone industrielle ouest. Transférée à la suite de sa découverte au musée archéologique de Strasbourg, en 1986. 48° 34′ 52″ nord, 7° 45′ 08″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France) 1986
 
Borne milliaire de l'Hôtel de Laval
CIL 17-02, 00053
Bouches-du-Rhône Arles Borne[102] en marbre blanc élevée en 435 par Auxiliaris (alors préfet des Gaules), trouvée en 1573 dans l'Hôtel de Laval-Castellane[103] (actuel Museon Arlaten), puis partagée en deux morceaux qui furent arrondis vers 1648 pour servir de borne d'angle d'immeuble, lors de la transformation du bâtiment en collège Jésuite. Transférés dans la collection lapidaire du musée de l'Arles antique avant 1884, les deux fragments sont maintenant réunis. 43° 40′ 21″ nord, 4° 36′ 59″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France) Inv. P 380.
 
Borne milliaire du château d'Estoublon
CIL 17-02, 00067
Bouches-du-Rhône Fontvieille Borne connue dès le XVIIe siècle et trouvée près du mas de Grille-Roubiac, dans le domaine d'Estoublon, auprès du mont Paon[104]. Transférée aux Baux-de-Provence puis au musée de l'Arles antique. 43° 40′ 21″ nord, 4° 36′ 59″ est « PA00081205 » Classé 1927
 
Colonne milliaire du Paradou
CIL 17-02, 00065
Bouches-du-Rhône Paradou (partie b) et Maussane-les-Alpilles (partie a), actuellement conservée à Arles Borne[105] trouvée en deux morceaux. Partie a supérieure : trouvée en 1899, dans le moulin à blé de Manville, au nord du village de Maussane, elle a été creusée pour servir d'auge. Partie b inférieure avec le chiffre des milles (aussi « classée au titre objet en 1936 », notice no PM13000363) : connue dès le XVIIe siècle, localisée alors au quartier du Caladat, dans le Bas-Paradou. Les deux parties ont été réunies ensemble, en 1936, par le musée de l'Arles antique où elles sont déposées. 43° 40′ 21″ nord, 4° 36′ 59″ est « PA00081383 » Classé 1909
 
Borne milliaire du Petit Merle
CIL 17-02, 00060
Bouches-du-Rhône Salon-de-Provence Borne[106] trouvée au lieu-dit le Petit Merle par Robert de Lamanon. Cependant, en 1876, Auguste Véran la localisait plus à l'Est, « entre le logis du Merle et le château de Bois-Vert[107] » (peut-être celui des Bernardes, sur la commune de Grans). Lamanon la fait expédier en 1874 à l'hôtel de ville, où elle sera conservée dans une petite cour, puis sera déplacée aux abords d'une porte du château de l'Empéri, et enfin versée dans la collection du musée de Salon et de la Crau. 43° 38′ 23″ nord, 5° 05′ 50″ est « PA00081459 » Partie d'un site classé (mais ne semble pas classé au titre objet) 1956

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Borne milliaire du Manoir
CIL 17-02, 00449
Calvados Le Manoir, conservée à Bayeux Borne trouvée sur le bord de la route de Bayeux à La Délivrance[108] et transportée au musée Baron Gérard après 1819. Une réplique (ci-contre) est sur place depuis 2010, et a remplacé une première copie du XIXe siècle détruite (elle-même recensée dans l'Inventaire). 49° 16′ 29″ nord, 0° 42′ 14″ ouest « IA00121945 » régime spécial de propriété publique (Musée de France) après 1819
 
Borne milliaire de Rom (Tetricus)
CIL 17-02, 00432
Deux-Sèvres Niort, anciennement à Rom Borne leugaire[109] datée de Tetricus, provenant du « cimetière gallo-romain » de Rom, « employée depuis des siècles aux plus vils usages de la vie domestique », et signalée en 1840 par Bonnet. L'inscriptions est rapidement acquise par le musée lapidaire (une des collections du musée du Pilori) de la Société de statistiques des Deux-Sèvres. Cette collection est la propriété de la commune depuis 1943. 46° 19′ 31″ nord, 0° 27′ 41″ ouest régime spécial de propriété publique (Musée de France) après 1840

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Borne milliaire de Die
CIL 17-02, 00093
Drôme Die Borne[110] trouvée dans le ravin des Bonnettes. Elle a été versée dans la collection du musée municipal d'histoire et d'archéologie de la ville. 44° 45′ 18″ nord, 5° 22′ 12″ est classé au titre objet « PM26000078 », notice no PM26000078 1947

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Borne milliaire de Mathay (Trajan)
CIL 17-02, 00485
Doubs Mathay, actuellement conservée à Besançon Borne[111], portant une dédicace à Trajan, trouvée sur la commune de Mathay, et conservée au musée des beaux-arts et d'archéologie de Besançon. 47° 14′ 24″ nord, 6° 01′ 23″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France)
 
Borne milliaire de Mathay (Hadrien)
CIL 17-02, 00486
Doubs Besançon, anciennement à Mathay Borne[112], portant une dédicace à Hadrien, trouvée sur la commune de Mathay, et conservée au musée des beaux-arts et d'archéologie de Besançon. 47° 14′ 24″ nord, 6° 01′ 23″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France)

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Borne milliaire de Saclas
CIL 17-02, 00498
Essonne Orléans, anciennement à Saclas ? Borne[113] probablement trouvée sur la commune de Saclas, où une reconstitution hypothétique a été installée sur une place[114] (image ci-contre). L'original est conservé au musée historique et archéologique de l'Orléanais. 47° 54′ 03″ nord, 1° 54′ 17″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France)
 
Bornes milliaires du musée Auguste-Jacquet (non identifiées) Gard Beaucaire Trois bornes non identifiées[115] dans les sources, dont un fragment, sont signalées dans la base Palissy et dites « non étudiés ». Elles proviendraient de la chapelle Saint-Pierre (ancien musée lapidaire[116] ?) et seraient conservées au musée Auguste-Jacquet[117]. Peut-être un classement, à tort car déjà classés au titre objet en 1911, des deux bornes milliaires de l'église Notre-Dame-des-Pommiers, lors de l'intermède entre leur conservation à l'hôtel de ville et leur installation au carrefour des Cinq Coins (resterait le fragment), ou bien d'autres bornes non signalées de la région. 43° 48′ 36″ nord, 4° 38′ 40″ est classé au titre objet « PM30000088 », notice no PM30000088, « PM30000089 », notice no PM30000089 et « PM30000090 », notice no PM30000090 (fragment)
régime spécial de propriété publique (Musée de France)
1962

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Borne milliaire de Labarthe-Rivière
CIL 17-02, 00306
Haute-Garonne Bagnères-de-Luchon, anciennement à Labarthe-Rivière Borne[118] trouvée à Labarthe-de-Rivière parmi les vestiges de la vieille ville, et transférée au musée archéologique de Luchon de Bagnères-de-Luchon. 42° 47′ 21″ nord, 0° 35′ 30″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France)
 
Borne milliaire de Sévrier ou du château d'Annecy
CIL 17-02, 00102
Haute-Savoie Sévrier, conservée à Annecy Borne[119] trouvée dans la partie inférieure du ruisseau-limite au Nant de la Creuse (ou Nant de la Crousa), dans le hameau de Létraz[120], au-dessus de Sévrier, par l'architecte P. Dunand en 1816. Elle est conservée au musée du château d'Annecy (inv. 9.520-1). 45° 53′ 51″ nord, 6° 07′ 35″ est classé au titre objet « PM74000065 », notice no PM74000065 1935
 
Borne milliaire de Moingt
CIL 17-02, 00317
Loire Montbrison (ex commune de Moingt) Borne[121] trouvée en 1858, sur l'ancienne commune de Moingt dans les faubourgs de Montbrison (à laquelle Moingt est rattachée depuis 1973), et conservée dans la collection lapidaire du musée archéologique de La Diana, dite aussi salle des États du Forez (« classé », notice no PA00117528). 45° 36′ 20″ nord, 4° 04′ 00″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France)
 
Borne milliaire de Notre-Dame de Chambriac
CAG-42, p. 233
Loire Usson-en-Forez Borne trouvée dans les années 1950 près de la chapelle Notre-Dame de Chambriac[122], où elle était utilisée comme abreuvoir public. Déposée dans la ferme du Mary avec la collection d'Alexandre Folléas, elle a été transportée à l'écomusée des Monts du Forez[123]. 45° 23′ 28″ nord, 3° 56′ 31″ est « IA42000414 » régime spécial de propriété publique (Musée de France)

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Borne milliaire des Trois-Piliers
CIL 17-02, 00503 = CIL 13, 09029 = CAG-51-02, p 223
Marne Reims Borne[124] dédiée à l'empereur Maximien et trouvée au faubourg de Reims, au lieu dit les Trois-Piliers[125]. Elle est conservée au musée Saint-Remi de Reims. 49° 14′ 36″ nord, 4° 02′ 29″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France)
 
Borne milliaire de Brimont
CIL 17-02, 00509 = CIL 13, 09040 (4, p 146) = CAG-51-01, p 254
Marne Brimont Borne[126] dédiée à l'empereur Victorin trouvée à proximité de Brimont (Marne), correspondant au pays des Rèmes dans l'Antiquité. Elle est conservée au musée Saint-Remi de Reims. 49° 14′ 36″ nord, 4° 02′ 29″ est régime spécial de propriété publique (Musée de France)
 
Borne milliaire de Anse
CIL 17-02, 00525
Rhône Anse Borne[127] qui porte une dédicace à Claude datée de apr. J.-C. Elle a été trouvée à Anse en 1937, au coin d'une maison, en chasse-roue. Elle est conservée avec les collections archéologiques du Château des Tours, dans l'ancienne salle du conseil. 45° 56′ 04″ nord, 4° 43′ 08″ est classé au titre objet « PM69000039 », notice no PM69000039 1979

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Bornes étrangères dans les collections françaises modifier

Borne Département Commune Adresse Coordonnées Protection Date Illustration
Borne milliaire d'Offenbourg
CIL 17-02, 00654
[...] Offenbourg (Allemagne) Fragment d'une borne[128] leugaire[2] de la voie d'Argentoratum (Strasbourg) à Raetia, trouvé en 1840 à Schwabentor[129] et conservé au Dominikanermuseum de Rottweil (Allemagne). La borne a probablement été fendue longitudinalement au Moyen Âge, pour servir à la construction d'un bâtiment. Une réplique (ci-contre) est au musée archéologique de Strasbourg[130]. 48° 10′ 09″ nord, 8° 37′ 35″ est Pour la réplique : régime spécial de propriété publique (Musée de France) [...]
 
Borne milliaire de la Via Egnatia au Louvre
IG-10-02-01, 01018
NB : Les coordonnées sont celles du Musée du Louvre Thessalonique (Grèce) Borne[131] trouvée sur la route de Thessalonique à Monastir, ancienne via Egnatia, près du pont sur le Galiko (de)[132] (mais déplacée, vers le temps de Constance Chlore et de Galère, du IVe au IXe mille, selon Georges Daux), et comportant au moins trois inscriptions dont une en grec et une autre bilingue (ci-contre). Elle est envoyée en France en 1917, au musée du Louvre, par les armées alliées en Orient. 48° 51′ 40″ nord, 2° 20′ 09″ est régime spécial de propriété publique (musée du Louvre : Inv. MND 1070, Cat. marbres ant. n° 3392) « APOR134577 », notice no APOR134577 1917
 

Bornes recensées dans l'Inventaire général modifier

Les bornes recensées dans l'Inventaire général ne bénéficient pas de mesures de protection juridique particulières à ce titre, mais sont reconnues comme faisant partie du patrimoine culturel français. Ce statut peut être un préalable à un classement ou une inscription.

Borne Département Commune Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration
Croix Saint-Martial de Serbannes
CIL 17-02, 00342b
Allier Serbannes Cette croix de chemins, dont le socle est un fragment anépigraphe[133] en grès fin de colonne ou de borne milliaire trouvée dans la forêt de Randan, est de la limite du XVIIIe siècle et du XIXe siècle. Elle est mentionnée sur le cadastre de 1839 à côté du domaine disparu de la croix Saint-Martial[134]. 46° 05′ 30″ nord, 3° 21′ 38″ est « IA00063398 » [...] [...]

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Borne milliaire de Soleilhas
AE 1996, 00966
Alpes-de-Haute-Provence Soleilhas Cette borne[135], aujourd'hui située dans un petit jardin public, se trouvait au bord d'une voie antique qui reliait Salinae (Castellane) à Glannatena (Glandèves, près d'Entrevaux). 43° 51′ 26″ nord, 6° 39′ 03″ est « IA04000234 » [...] [...]

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Borne milliaire de Fontenouille
CIL 17-02, 00183a
Ardèche Le Teil La borne[136] pratiquement in situ (déplacée de 10 à 20 mètres au XXe siècle, elle est actuellement au sommet de l'allée qui mène à la villa moderne) porte trois inscriptions successives à la gloire de la dynastie constantinienne.
La fiche de la base Merimée note par erreur que le milliaire « indique le 6e mille au nord d'Alba » (ce qui correspondrait plutôt au milliaire CIL 17-02, 00182 de Rochemaure - mais qui aurait été déplacé depuis Le Teil - considéré comme perdu depuis le XIXe siècle).
44° 32′ 50″ nord, 4° 40′ 23″ est « IA00059430 » [...] [...]

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Grande Borne de Gensac-la-Pallue
CIL 17-02, 00373
Charente Gensac-la-Pallue Pierre trouvée au carrefour des Quatre-Chemins (aujourd'hui les Six-Chemins) sur une voie romaine, allant de Périgueux à Saintes, et détruite depuis. François-Marie Bourignon, en 1801, y aurait lu TOD... C I... Elle est décrite en 1844 par Jean-Hippolyte Michon qui hasardait T... I T... M, mais doutait beaucoup que ce soit un milliaire. 45° 38′ 56″ nord, 0° 17′ 21″ ouest « IA00042111 » détruite après 1844 [...]
 
Croix de Kerhervrec
CAG-22, p 49
Côtes-d'Armor Ploulec'h Cette pierre cylindrique anépigraphe[137] de provenance inconnue, base d'une « croix de chemin », notice no IA22002434 dressée à l'angle d'un mur de clôture (au 10, route de Kerhervrec), et retrouvée à proximité à la fin du XXe siècle, était peut-être un réemploi christianisé vers le XVIIe siècle (stèle de l'âge du fer ? colonne romaine ?). Bien que certains auteurs[138] aient envisagé que ce soit une ancienne borne milliaire, du fait de la proximité avec la « voie romaine », notice no IA22002470 menant au Yaudet, l'hypothèse ne semble plus envisagée par les archéologues au moins depuis 1978. 48° 42′ 57″ nord, 3° 28′ 02″ ouest « IA22002437 » [...] [...]

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Croix du Puy des Meules
CAG-23, p ?
Creuse La Villetelle Pierre anépigraphe déplacée à l'ancien cimetière lors de la réfection de la route à la fin du XIXe siècle. Elle aurait été christianisée vers 1960 par l'abbé Soulier, curé de la Villetelle, qui la réutilise comme socle d'une croix de chemins à l'ouest du village, au sud du Puy des Meules[139]. Jean-Michel Desbordes, directeur régional des antiquités dans les années 1970, envisageait que la base soit du XVIIe siècle, plutôt qu'une borne romaine[140]. 45° 55′ 09″ nord, 2° 19′ 33″ est « IA00031118 » [...] [...]

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Stèle de l'Arche de Candé
CAG-37, p. ?
Indre-et-Loire Savigny-en-Véron Stèle[141] quadrangulaire, contenant cinq rectangles creusés, trouvée en 1924 aux environs du bac de Candes[142], et déplacée devant la mairie avant 1935. Du fait de la proximité avec une voie romaine, certains ont fait l'hypothèse qu'elle ait été une borne milliaire, aujourd'hui anépigraphe. 47° 12′ 02″ nord, 0° 08′ 42″ est « IA00011740 » [...] [...]

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Croix monumentale de Sainte-Mère-Église
CIL 17-02, 00460
Manche Sainte-Mère-Église Croix sur le parvis Sud de l'église (« classé », notice no PA00110593), connue depuis 1862. Son fût est constitué, entre autres, d'une borne milliaire[143]. 49° 24′ 31″ nord, 1° 18′ 59″ ouest « IA00001253 » [...] [...]
 
Croix de la Maillère
CAG-50, p. ?
Manche Turqueville Le fût de la croix de chemins, constituée d'éléments du XVIIIe au XXe siècles, serait, selon la tradition (!), une borne milliaire anépigraphe. 49° 24′ 43″ nord, 1° 16′ 37″ ouest « IA00001271 » [...] [...]

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Borne du château de Collongue
ILN-03, 00229 = CAG-84-02, p 218
Vaucluse Cadenet Borne[144] romaine trouvée dans le parc, à environ 400 m au Nord-Est de la demeure, sur laquelle on lisait peut-être le nom de la propriété à laquelle le chemin appartenait, mais aucune indication milliaire. Elle a été relevée et placée sur un socle. 43° 45′ 23″ nord, 5° 23′ 40″ est « IA00057740 » [...] [...]

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Notes et références modifier

  1. D'après Epigraphik-Datenbank Clauss / Slaby, reprenant le CIL XVII-2. Il faudrait cependant consulter les autres recueils et publications, dont la Carte archéologique de la Gaule [CAG] ou L'Année épigraphique [AE], pour être plus exhaustif.
  2. a b et c Dite par assimilation « milliaire », mais indiquant une distance en lieues gauloises (soit env. 2415 m dans notre cas) et non pas en milliers de pas romains (1482 m).
  3. La borne de Biozat, à la XVIIe lieue depuis Lyon (soit env. 41 km), a été posée en 121 sous Hadrien.
    Voir les photographies sur archeolyon.araire.org et en caméra de rue
    Bibliogr. :
    • Gilbert Décoret, Une Page sur Vichy et ses environs. Les hospices et leurs fondateurs, t. 2, Vichy, éd. A. Wallon, , 180 gravures, 554, p. 27.
    • Lucien Fanaud, Voies romaines et vieux chemins en Bourbonnais, Moulins, (réimpr. éd. de Borée, 2005), 330 p. (ISBN 978-2-84494-006-3), p. 19 et 193 (?). Avec 2 gravures entre les pages 21 et 22
    • Jacques Corrocher, Vichy antique (thèse soutenue sous le titre : « Vichy antique, des origines à l'époque mérovingienne », faculté des Lettres et Sciences Humaines, Université de Clermont-Ferrand II), Clermont-Ferrand / Aurillac, Institut d'études du Massif central / Impr. moderne, coll. « Publications de l'Institut d'études du Massif central », , 425 p. (résumé, lire en ligne), tableau p. 87.
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 343 p. 132-133 (en ligne partiellement).
    • J. Corrocher, M. Piboule et M. Hilaire, CAG-03. L'Allier, 1989.
  4. Cette borne de la XXIe lieue depuis Lyon (soit env. 50,7 km), a été posée en 248 ou au début 249 sous Philippe II.
    Bibliogr. :
  5. À l'emplacement actuel de l'entrée des thermes Callou 46° 07′ 41″ N, 3° 25′ 09″ E, à une centaine de mètres plus au nord de sa localisation actuelle (et non pas square du Général Leclerc, comme indiqué dans la base Mérimée). Corrocher 1981, citant Décoret 1899, précise « posée horizontalement, le côté fruste en dehors ». L'ancienne voie romaine de Clermont à Autun correspondait à l'actuelle avenue Victoria.
  6. Le site archeolyon.araire.org, signale la Notice no PM03000569 du 23/07/1993 de la base Palissy, qui fait référence à la même borne (« Fiche documentaire absente. Pas d'arrêté »).
  7. Voir « Borne de Gréolières », sur archeolyon.araire.org et « vue en caméra de rue », sur maps.google.com (consulté en ).
    Une deuxième borne est devant la « chapelle Notre-Dame de Verdelaye » (consulté en ), peut-être CIL 17-02, 00006.
    Certains auteurs du XIXe siècle ont nommé cette voie Via Vintiana (Jules René Bourguignat).
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 7 p. 2-3 (en ligne).
  8. Localisation originale hypothétique 43° 47′ 53″ N, 6° 56′ 49″ E
  9. Mais la CAG-07 (p. 238-241) indique au moins sept différentes bornes milliaires localisées à Cruas, dont CIL 17-02, 00176 CIL 17-02, 00177 CIL 17-02, 00178, ILN-06, 90, ILN-06, 92 et ILN-06, 112. Voir patrimoine-ardeche.com et antique.mrugala.net. Voir aussi sur Street View.
    Bibliogr. :
    • CAG-07, 2001, p. 238-241.
    • René Rebuffat, Joëlle Napoli, Les milliaires ardéchois d'Antonin le Pieux, dans Gallia, 49, 1992, p. 54, 70 et 78, Fig. 1 et 2 p. 55 (en ligne)
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 175 à 178 p. 67 (en ligne).
  10. Voir archeolyon.araire.org et Street View.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 190 p. 71 (en ligne).
    • CAG-07, 2001, p. 306, item 178.
  11. Voir rochemaure.fr, et la copie sur Street View.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 180 p. 68 (en ligne).
  12. Localisation originale hypothétique 44° 35′ 29″ N, 4° 42′ 32″ E
  13. Voir archeolyon.araire.org et sur Street View.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 191 p. 71 (en ligne).
  14. Voir archeolyon.araire.org, sur Street View et des détails sur bibliovagnas.free.fr.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 201 p. 73 (en ligne)
  15. Indiquées sans certitude de localisation. De plus, deux autres inscriptions possibles sont mentionnées dans les recueils.
    Voir une image sur lindependant.fr et une traduction de CIL 17-02, 291 sur arbre-celtique.com. Campardou 1949, indique que CIL 17-02, 292, du XVIe mille, n'aurait pas été déplacé, alors que CIL 17-02, 293, du XVIIe mille aurait eu comme localisation originale 42° 58′ 42″ N, 2° 56′ 37″ E.
    Bibliogr. :
    • Joseph Campardou, « Un milliaire de Cneus Domitius Ahenobarbus Imperator découvert à Treilles (Aude) », dans Gallia, 7, fasc. 2, 1949. p. 195-205, part. p. 203 et la localisation sur la Via Domitia fig. 1 (en ligne).
    • Perrine Ournac, Michel Passelac et Guy Rancoule, CAG-11-02. L'Aude, 2009, p. 450.
  16. Voir l'article de wikipedia et vérifier dans CAG-67-1.
  17. Borne indiquant le quatrième (IIII) mille depuis le sud de Mouriès (au lieu-dit La Figuière), marquant la frontière entre le territoire antique de la Crau d'Arles avec celui de Salon (Cf. Pelletier Poguet 1993, p. 192). Il porte une dédicace à l'empereur Auguste, de l'an av. J.-C.. Voir le fragment fouillé en 1998 par « Michel Poguet ».
    Bibliogr. dans l'article.
  18. Voir des photographies sur via-aurelia.net, dans Notice no MHR93_04136073, Notice no MHR93_04136072, Notice no ARR93_20071301224ZA et Notice no ARR93_20071301223ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    Bibliogr. :
    • Henry de Gérin-Ricard et Gustave Arnaud d'Agnel, Les antiquités de la Vallée de l'Arc en Provence, Aix, typogr.-lithogr. B. Niel, (réimpr. 1979), 99-100 p. (lire en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 56 p. 18 (en ligne).
    • Fabienne Gateau (dir.), Frédéric Trément et Florence Verdin, Carte archéologique de la Gaule. 13 - Bouches-du-Rhône, vol. 1 : L'Étang-de-Berre, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres (no 13), , 379 p. (ISBN 978-2-87754-041-4), p. 208-209.
    • C. J. Kooiker, « Deux milliaires retrouvés entre Aix-en-Provence et Tarascon », dansZeitschrift für Papyrologie und Epigraphik, Bd. 124, 1999, p. 276-278 (en ligne payant).
  19. Voir des photographies : « Borne de Bidoussanne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur via-aurelia.net ; Notice no MHR93_04134557 et Notice no MHR93_04134558, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    Bibliogr. :
  20. Voir le-donzeil.fr
  21. Voir des images sur archeolyon.araire.org.
    Bibliogr. :
    • Jacques Planchon, Michèle Bois et Pascale Conjard-Réthoré, CAG-26, 2010, p. 532.
    • Fabienne Gateau et Olivier Colas, CAG-13-2. Les Alpilles et la Montagnette, 1999, p. 405.
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 94 p. 37-38 (en ligne).
    • Henri Desaye, « Une inscription inédite de Saillans (Drôme) », dans Gallia, 42-2, 1984, part. p. 240-241 (en ligne).
    • Joseph Sautel, Carte archéologique de la Gaule romaine. 11 - Drôme (collection dir. par Adrien Blanchet), Paris, éd. Ernest Leroux, , p. 75, 151 (à propos de CIL-17-02, 95).
  22. 44° 41′ 47″ N, 5° 11′ 48″ E.
  23. * CIL 17-02, 00095 : milliaire du XVIe mille, aussi ; dans l'église Saint-Géraud de Saillans 44° 41′ 48″ N, 5° 11′ 56″ E, « bâtiment classée en 1919 », notice no PA00117045. Le site archeolyon.araire.org semble identifier le monument classé plutôt avec cette borne creusée en bénitier (Cf. dans FOR-11 ?)
  24. 44° 41′ 45″ N, 5° 11′ 10″ E
  25. Milliaires du XIIIe mille depuis Nîmes, se rapportant à des campagnes de réfection de la voie sous Auguste, Tibère, Claude et Antonin.
    Voir de nombreuses illustrations et réf. bibliographiques sur archeolyon.araire.org et la figure 28 de Hubert Gallet de Santerre 1964 (p. 498).
    Bibliogr. :
    • Hubert Gallet de Santerre, « Montpellier », dans Gallia, 22, fasc. 2, 1964, p. 498 (Beaucaire, b) et 499 (fig. 28) (en ligne).
    • Jean-Claude Bessac, Michel Christol, J.-L. Fiches, Y. Gasco, M. Janon, A. Michelozzi, Cl. Raynaud, A. Roth-Congès et D. Terrer, Ugernum, Beaucaire et le Beaucairois à l'époque romaine, Caveirac, Association pour la recherche archéologique en Languedoc oriental, 1987, p. 73.
    • Jacques Gascou, « La présence de Tibère en Narbonnaise : les portraits et les inscriptions. II, Les témoignages épigraphiques », dans Revue archéologique de Narbonnaise, 29, 1996. p. 60 (inscription n° 29 de l'époque de Tibère, marquant le XIIIe mille depuis Nîmes = CIL XVII-2, 211) (en ligne).
    • Michel Provost, CAG-30-2. Gard, 1999, p. 221-222 (en ligne).
    • André Michelozzi, La Voie Domitienne entre Beaucaire et Nîmes, Éditions de la Société d'histoire et d'archéologie de Beaucaire, 2002 (ISBN 2910270092).
  26. (« classé », notice no PA00102975, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Borne de l'époque d'Auguste.
    Voir des photographies sur petit-patrimoine.com et sur Street View.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 256 p. 95 (en ligne).
  28. Localisation originale très hypothétique 43° 46′ 17″ N, 4° 01′ 19″ E
  29. Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 223 p. 85 (en ligne).
  30. Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 257 p. 95-96 (en ligne).
  31. Probablement sur la commune de Mèze, d'après la description de la notice d'inscription le localisant à l'extrémité nord-est du tronçon. Il y a effectivement deux toponymes « Monplaisir » à Mèze, indiqués par l'IGN, l'un à quelques centaines de mètres plus au nord du point indiqué ici arbitrairement, l'autre à trois km à l'ouest. En toute hypothèse nous avons noté les coordonnées d'un emplacement où la carte IGN indique une borne (Bne) géodésique (?), près du lieu-dit Puèch Badieu, ainsi que des dénivelés importants (un fossé ?). En tout cas, Gabriel Thiollier-Alexandrowicz signale bien un milliaire « au nord de Mèze, trouvé en 1987 » sur le site itineraires-romains-en-france. Cette borne reste toutefois à identifier dans la documentations ci-dessous.
    On trouve aussi d'autres milliaires de la voie, sur la commune de Pinet (?) et à Loupian (AE 2004, 00902, du Le mille depuis Narbonne).
    Bibliogr. :
    • Daniel Rouquette, « Un milliaire de la République Romaine trouvé in situ sur la Domitienne à Mèze (Hérault) », dans Archéologie en Languedoc. Revue de la Fédération archéologique de l'Hérault - Lattes, 28, 2004, p. 7-10 (en ligne).
    • Marc Lugand, La voie domitienne [Via domitia] : tronçon "Bassin de Thau", Loupian : Ed. Villa-Loupian (Mairie de Loupian), 2002 (ISBN 2951742304).
    • Marc Lugand, Iouri Bermond et al., CAG-34-2. Agde et le Bassin de Thau, 2002.
  32. Milliaire de l'époque de Tibère sur la Via Domitia, à 63 milles de Narbonne.
    Voir la fig. 14 dans Jacques Gascou 1996 (cliché Ph. Foliot) ou, mais illisible sur les images suivantes, carlig.typepad.fr et Street View.
    Plusieurs autres bornes sont localisées à Saint-Aunès : CIL 17-02, 00275, CIL 17-02, 00276 et, mentionné par erreur à Auroux (Lozère) au lieu du hameau d'Auroux à Mauguio, CIL 17-02, 00274 (perdu).
    Bibliogr. :
    • Jacques Gascou, « La présence de Tibère en Narbonnaise : les portraits et les inscriptions. II, Les témoignages épigraphiques », dans Revue archéologique de Narbonnaise, 29, 1996. p. 63 (inscription n° 39) et 64 (fig. 14) (en ligne). Jacques Gascou signale une relecture de Michel Christol.
  33. Localisation approximative 43° 37′ 39″ N, 3° 58′ 26″ E.
  34. On considère, habituellement, qu'une voie romaine allant de Vannes à Carhaix passe non loin du hameau, entre Ménorval et Kergoff.
    Voir des photographies sur le site des Mégalithes du Monde
    Bibliogr. :
  35. Voir des photographies sur beaulieu.blogzoom.fr et panoramio.com.
    Bibliogr. :
    • Pierre-François Fournier, « La Borne milliaire de Brossel », dans Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, 65, 1945, p. 206.
    • Pierre-François Fournier, « Circonscription de Clermont-Ferrand », dans Gallia, 21, fasc. 2, 1963, p. 495 (en ligne).
    • M. Provost et Ch. Jouannet, CAG-63-2. Le Puy-de-Dôme, 1994.
  36. Voir une photographie sur picasaweb.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 296 p. 106 (en ligne).
  37. Voir archeolyon.araire.org et Street View (invisible, car en travaux).
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 148 p. 57 (en ligne).
    • Gabriel Chapotat, « La Croisée de Vienne, II. la voie romaine de Vienne à Lyon par la rive gauche du Rhône », dans Évocations. Bulletin du Groupe d'études historiques et géographiques du Bas-Dauphiné, Crémieu, 1972, p. 46-65 (ISSN 1149-2031) (tracé repris par André Pelletier en 1999).
    • Antoine Jean Baptiste d'Aigueperse, « Recherches sur les quatre grandes voies romaines de Lugdunum, annotées par A. Vachez », dans Revue du Lyonnais, 3e série, t. 15, 1873, p. 325-341, part. p. 337 note 1 (en ligne).
    • Florian Vallentin du Cheylard, « La voie d'Agrippa de Lugdunum au rivage massaliote », dans Revue du Dauphiné et du Vivarais, 4, 1880, p. 373-393, part. p. 383 avec bibliogr. note 2 (en ligne).
  38. Localisation originale hypothétique d'après la distance depuis Vienne indiqué sur la borne (7e mille, soit environ 10,4 km) et le tracé de la voie proposé par Gabriel Chapotat en 1972, passant par la « Montée du Télégraphe », non loin du lieu-dit « Grande Borne » 45° 36′ 51″ N, 4° 50′ 10″ E.
  39. Localisation approximative de la copie 45° 31′ 46″ N, 4° 52′ 15″ E.
  40. Dix autres bornes ont été trouvées à Cenon : CIL 17-02, 00435, CIL 17-02, 00436, CIL 17-02, 00437, CIL 17-02, 00438, CIL 17-02, 00439 aussi d'Hadrien, CIL 17-02, 00439a anépigraphe, CIL 17-02, 00440 CIL 17-02, 00442 CIL 17-02, 00443 CIL 17-02, 00444. Il faut attendre la publication de la Carte archéologique de la Gaule du département pour avoir un bilan synthétique. On peut lire un texte présentant la borne sur le « site de la mairie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (qui indique, par erreur ?, la route de Naintré), voir une photo de 1928 sur le site Vieux-Poitiers et dans l'article La voie romaine Poitiers-Tours-Le Mans (qui la localise vaguement sur le même parcours).
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 441 p. 163 (partiellement en ligne).
    • François Eygun, « Poitou-Charentes », dans Gallia, 27 fasc. 2, 1969, p. 278 (découverte de CIL XVII-2, 439 et 439a) (en ligne).
    • François Eygun, « Une borne milliaire d'Hadrien, trouvée à Cenon », dans Bulletins de la Société des antiquaires de l'Ouest, 3e série, t. 8, 1928, p. 136-138 (en ligne).
  41. Localisation très approximative du lieu de découverte (du fait de l'ambiguïté du texte de François Eygun - quelle route de Vouneuil ? - de la destruction de la gare des tramways et du manque de précision de la fiche du Conservatoire) 46° 46′ 19″ N, 0° 32′ 12″ E
  42. Château de La Bonde, dit « La Grande maison » 46° 46′ 20″ N, 0° 32′ 17″ E
  43. Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 506 p. 190 (en ligne).
  44. Voir sur la base petrae (Louis Maurin) et sur Street View
    Bibliogr. :
    • Louis Maurin, CAG-17-1. Charente-Maritime, 2000, p. 125 et à propos du cimetière p. 126-129 (partiellement en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 428.
    • Theodor Mommsen et al., CIL XIII, 1907, inscr. 8900 p. 655 (en ligne).
  45. Sans préciser ses sources, le site du conservatoire de la région Bretagne semble maintenir l'hypothèse que ce soit un milliaire, faite dans l'Inventaire de Patrick Pichouron en 2006, en attente d'une enquête plus approfondie.
  46. Bibliogr. :
    • Catherie Bizien-Jaglin, Patrick Galliou et Hervé Kérébel, CAG-22. Les Côtes-d'Armor, 2002, p. 251 ou 252 (à voir impérativement).
    • Louis Pape, La civitas des Osismes à l'époque gallo-romaine [Thèse de doctorat : Lettres : Rennes 2 : 1976], Paris, Klincksieck, 1978, p. A-33 à A-35 (rien sur aucune borne ou voie à Ploulec'h) (Institut armoricain de recherches historiques de Rennes, 26) (OCLC 461698309).
  47. Voir une « image »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur forez-info.com.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 346 (en ligne).
  48. 43° 26′ 55″ N, 5° 47′ 57″ E
  49. Bibliogr. :
    • Otto Hirschfeld, CIL XII, 1888, inscr. 5476 p. 642 et 858 (en ligne).
    • Louis Rostan, « Colonne milliaire découverte à St-Maximin (Var) », Bulletin monumental, vol. 24, t. 4, 3e sér.,‎ , p. 167-168 (lire en ligne).
  50. Selon Ingemar König (1967), elle pourrait dater de Gordien III (et non pas de Commode comme cela avait été proposé précédemment). Voir d'autres images sur Commons, dans la « base Joconde », notice no M0848000140 et sur alienor.org (détail). Deux autres milliaires sont connus à Chauvigny et trois à Saint-Pierre-les-Églises depuis le XIXe siècle. Une borne supplémentaire a été trouvée vers 1976 proche de la voie romaine et d'un bois, au-dessus et à l'ouest du hameau de la Rivière aux Chirets (46° 33′ 17″ N, 0° 37′ 35″ E), sur l'autre rive la Vienne.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 383 p. 145 (avec les autres bornes, n° 379 à 384, trouvées dans les environs) (en ligne).
    • Samuel Camus, « La borne milliaire de la Rivière aux Chirets à Chauvigny », dans Le Pays chauvinois, 19, Chauvigny, Société de recherches archéologiques artistiques historiques et scientifiques du pays chauvinois, 1980, p. 18-19 (à propos d'une borne inédite AE 1981, 00641) (ISSN 0553-4194) (en ligne).
    • Émile Espérandieu, Épigraphie romaine du Poitou & de la Saintonge, 1, Melle, Revue Poitevine et Saintongeaise, 1888, inscr. 22 p. 55-56, tab. 56 (en bas à droite) et add. p. 384 (en ligne).
  51. Voir la photographie de Suzanne Tranchant dans la « base Joconde », notice no M0848000140, datée du dernier quart du XIXe siècle (d'après la gravure publiée par Espérandieu, elle a en tout cas été réalisée après 1888).
  52. Ce fragment moderne, peut-être mal inspiré de la lecture d'Espérandieu (pour les deux premières lignes), ne correspond à aucun des textes proposés par les éditeurs de l'inscription.
  53. Voir archeolyon.araire.
  54. La plus ancienne datant de Constance Auguste et de Sévère César, l'autre, au dos de la précédente, de Valentinien II. Voir une bonne image via Epigraphik-Datenbank Clauss Slaby, et une vignette sur le site de l'Office de tourisme du Pays de l'Hermitage.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 157 p. 59 (en ligne).
    • Auguste Allmer, « Lettre de M. Allmer à M. Lacroix sur diverses inscriptions romaines de la Drôme », dans Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, 4, 1869, p. 157-158 (en ligne).
  55. Selon archeolyon.araire.
  56. Voir archeolyon.araire.
  57. Portant une dédicace à Claude. Voir des images sur carlig.typepad et Street View.
    Bibliogr. :
    • Michel Provost, CAG-30-2. Gard, 1999, p. 221 (en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 207 et 208 p. 80-81 (en ligne).
    • Bernard Dedet, André Michelozzi, Michel Py, « La nécropole des Colombes à Beaucaire (Gard) (IIe-Ier s. av. J.-C.) », dans Revue archéologique de Narbonnaise, 7, 1974, p. 63 note 4 (bornes « découvertes dans les murs de l'église primitive de Sainte-Catherine, en octobre 1734, lors de sa démolition ») (en ligne).
    • Auguste Aurès, « Monographie des bornes milliaires du département du Gard », dans Mémoires de l'Académie du Gard, année 1876, Nîmes, 1877, p. 1-240 et 9 pl., part. p. 162-165 (en ligne).
  58. 43° 48′ 28″ N, 4° 38′ 35″ E
  59. Voir les images « APMH0089926 », notice no APMH0089926 et « APMH0089927 », notice no APMH0089927
  60. Voir les bornes milliaires du musée Auguste-Jacquet, plus bas.
  61. Le CIL, en 1986, les localisaient toujours à l'hôtel de ville, probablement par erreur.
  62. Trois autres milliaires ont été trouvés à Bernis. Voir des images sur le site de Guy Carligny.
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 255 p. 95 (en ligne).
  63. Voir itineraires-romains-en-france et Street View.
  64. Voir une image (Fig. 9) dans l'étude de L. Decramer (2006) et sur Street View.
  65. Voir des images sur couleur-lauragais et arbrebaz.
  66. Voir une carte postale ancienne et Street View
    Bibliogr. :
    • J. Massendari , CAG-31-1. La Haute-Garonne, 2006, p. 284.
      Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 302.
  67. En tout, il semblerait que deux bornes aient été décrites par Payrard à Saint-Jean-d'Aubrigoux (aussi CIL 17-02, 00319a disparue avant lecture ou anépigraphe ?), voire localisées au même endroit. Une image est sur le site des Mégalithes du Monde.
    Bibliogr. :
  68. Un autre milliaire (CIL 17-02, 00106, voir archeolyon.araire.org), a été trouvé vers 1790 entre Annemasse et le hameau d'Etrambières (aujourd'hui quartier de la rive droite de l'Arve), mais détruite dès 1812 (utilisé comme « rouleau de jardin »), selon Philippe Xavier Leschevin de Précour. On peut voir une image du milliaire du pont de la Géline dans la « base Mémoire », notice no APMH00118377 (non versée) et sur Epigraphik-Datenbank Clauss / Slaby.
    Bibliogr. :
    • Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, présentation en ligne), p. 31-32.
    • François Bertrandy, Bornes milliaires et réseau routier dans la cité de Vienne sous l'empire romain, Chambéry, Institut d'Études savoisiennes, 2001, p. 83-84 pour CIL 17-02, 106 (Bibliothèque d'études savoisiennes, 9).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 107 p. 40-41 (en ligne).
  69. Voir l'article pour plus de détails.
  70. Elle aurait eu 4 m de hauteur, selon Mathieu, et portait son inscription sur un écusson ennéagone débordant de part et d'autre. Voir un texte de présentation sur le site de Vollore-Ville écrit d'après celui de l'abbé Guélon en 1890, les fragments en face de la mairie et la reconstitution sur Street View.
    Bibliogr. :
    • Jean-Claude Béal, « La borne milliaire de Vollore-Ville (Puy-de-Dôme), forme et transformation », Revue archéologique du Centre de la France, 52, 2013, p. 177-190 (en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 348 (partiellement en ligne).
    • Theodor Mommsen, Otto Hirschfeld, Alfred von Domaszewski, CIL XIII, 1907, inscr. 8919 p. 659 (en ligne).
    • Pierre-François Guélon, Vollore et ses environs. Vollore-ville, Vollore-montagne, Sainte-Agathe, histoire, archéologie, religion, Clermont-Ferrand, M. Bellet et fils, 1890, p. 11-14 (milliaire), 232-235 (croix) et pl. [f. 28] (reconstitution hypothétique) (en ligne).
    • Pierre-Pardoux Mathieu, « Des colonies et des voies romaines en Auvergne [suite] », dans Annales scientifiques, littéraires et industrielles de l'Auvergne, 29, 1856, p. 351-354 (en ligne.
  71. 45° 47′ 20″ N, 3° 36′ 18″ E
  72. Marie Cornu, « Droit des biens culturels et des archives » [PDF], sur eduscol.education.fr, (consulté en ), p. 12-19 ;
    « Association Générale des Conservateurs des Collections Publiques de France : Les collections publiques », définition par Agnès Durand(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur agccpf.com.
  73. Localisation probable de la ferme de Salignac : 43° 59′ 25″ N, 6° 06′ 39″ E.
  74. Voir Jean Morenon, « Baptistère de Riez (04). Visite du musée lapidaire » [PDF], sur jean.morenon.fr, p. 7 et Géraldine Bérard et Guy Barruol, Carte archéologique de la Gaule. 04 - Alpes-de-Haute-Provence, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (ISBN 2-87754-054-5, lire en ligne).
  75. Bornes des 601e au 608e milles depuis Rome. Les recueils en dénombrent neuf sur la commune de la Turbie (ici nous en mentionnons dix, d'après Barety 1910), en comptant ceux disparus.
    Voir La Turbie et la carte du vallon de Laghet sur bornes.milliaires.free.fr, et les cartes et bibliogr. sur archeo-alpi-maritimi.com
    Bibliogr. :
    • Alexandre Barety, « Vestiges d'une voie romaine, via Julia, le long du vallon de Laghet » puis « Acquisition d'un milliaire romain », dans Nice Historique, Nice, Academia Nissarda, 1909 (ISSN 1141-1791 et 0028-9698), p. 210-215 et p. 215-217 (en ligne Vestiges... et Acquisition...).
    • Alexandre Barety, « Les voies romaines depuis Vintimille ou soit la Roya jusqu'au Var et leurs bornes milliaires », dans Ibid., p. 7-13, 26-29, 46-52 (avec une carte), 65-71 (avec des ill.) et 82-86, particulièrement p. 12 (en ligne) et p. 66-71 (en ligne).
    • Pierre Bodard, « Les milliaires de la Via Julia Augusta de Vado au Var », dans Ibid., 1974, p. 125-162, avec un récapitulatif avec bibliogr. p. 159-160 (en ligne).
  76. 43° 44′ 46″ N, 7° 24′ 06″ E
  77. Borne de l'époque d'Auguste (en 12 av. J.-C.), au 605e mille. Elle a été trouvée en 1841 sur le flanc nord de la cime de la Forna, près du mont Sembola, dans le quartier de l'Esperaye (ou Speraia). Le site est aujourd'hui couvert par l'autoroute A8. Elle était encore in situ en 1926, puis a été déplacée au musée du Trophée des Alpes en 1930 par Jules Formigé.
    Voir les photographies de CIL 05, 8101 sur bornes.milliaires.free.fr et dans Pierre Bodard 1974, illustration de la p. 141 (qui est bien la borne d'Auguste).
    Voir aussi la carte de localisation à 43° 44′ 50″ N, 7° 23′ 10″ E d'après archeo-alpi-maritimi.com.
  78. Le site où ces deux bornes ont été trouvées a été recouvert par un viaduc de l'autoroute A8 43° 44′ 40″ N, 7° 22′ 12″ E. Une copie de CIL 05, 8103 est sur le parking du péage autoroutier, sortie Monaco, 43° 44′ 41″ N, 7° 22′ 26″ E. Voir des photographies de celle-ci sur bornes.milliaires.free.fr et sur photos.planete-tp-plus.com.
    La partie supérieure de CIL 05, 8103 est au musée archéologique de Nice, celle de CIL 05, 8104 est au musée du Trophée des Alpes de la Turbie. Les deux bases, in situ jusqu'en 1974, semblent être dans ce dernier musée.
  79. 43° 44′ 41″ N, 7° 24′ 08″ E
  80. Bibliogr. :
    • Laurence Lautier et Marie-Pierre Rothé, CAG-06. Les Alpes-Maritimes, 2010, p. 677 (ISBN 978-2-87754-252-4).
    • Jacques Gascou et Danièle Terrer, « La présence de Tibère en Narbonnaise : les portraits et les inscriptions », dans Revue archéologique de Narbonnaise, 29, 1996, p. 56-57 et Fig. 5 (en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 23 p. 9 (en ligne).
    • Otto Hirschfeld, CIL XII, 1888, inscr. 5441 p. 635 et add. p. 857 (en ligne).
    • Louis Alliez, Les îles de Lérins, Cannes, et les rivages environnants, Paris, Didier, 1860, p. 262-263 (en ligne).
  81. Bibliogr. :
    • Laurence Lautier et Marie-Pierre Rothé, CAG-06. Les Alpes-Maritimes, 2010, p. 677 (ISBN 978-2-87754-252-4).
    • André Chastagnol, Inscriptions latines de Narbonnaise (ILN). II, Antibes, Riez, Digne, Paris, Éd. du CNRS, 1992, inscr. 141 p. 180 (Gallia. Supplément, 44) (ISBN 2-222-04676-9).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 24 p. 10 (en ligne).
    • Otto Hirschfeld, CIL XII, 1888, inscr. 5442 p. 635 (en ligne).
    • Louis Alliez, Les îles de Lérins, Cannes, et les rivages environnants, Paris, Didier, 1860, p. 263-265 (en ligne).
  82. Voir des images sur bornes.milliaires.free.fr (à gauche) et db.edcs.eu
    Bibliogr. :
  83. Non loin du col de Vence 43° 45′ 39″ N, 7° 04′ 41″ E
  84. a et b Voir Raymond Ardisson, Le musée lapidaire de Vence : 1936-1940, partiellement sur vence-info.fr (4 oct. 2012).
  85. Voir des « images », (à droite), sur bornes.milliaires.free.fr. Mais l'« image associée à tort à l'inscription », sur le site Epigraphik-Datenbank (de) Clauss (de)-Slaby (consulté en ), correspond à un autre milliaire (peut-être un de ceux restés in situ près du col de Vence).
    Bibliogr. :
    • Laurence Lautier et Marie-Pierre Rothé, CAG-06. Les Alpes-Maritimes, 2010, p. 711 (ISBN 978-2-87754-252-4).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 2 p. 1 (en ligne).
    • Otto Hirschfeld, CIL XII, 1888, inscr. 5427 p. 632 et add. p. 857 (en ligne).
    • François-A. Brun, « Inscriptions anciennes retrouvées ou inédites », dans Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes, 2, 1873, inscr. IV p. 115-116 (en ligne).
  86. Sur la route du col de Vence 43° 45′ 16″ N, 7° 05′ 35″ E
  87. Voir les images Col de Vence et Grabelle du site bornes.milliaires.free.fr, Etape 1 : Vence-Coursegoules du site bernard.corby (où de nombreux autres fragments sont signalés) et le CIL XVII-2.
    Cf. CAG-06, 2010, p. 698-725 (à consulter impérativement pour un bilan plus précis : au moins 52 inscriptions - toutes confondues - provenant de Vence y sont signalées).
  88. Localisation originale hypothétique 45° 08′ 36″ N, 4° 48′ 25″ E
  89. Voir une photographie de CIL 17-2, 00173. Par ailleurs, en 1852, l'inscription CIL 17-2, 00172 servait de support à la tribune de l'église (une autre tribune ?).
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 173 p. 66 (en ligne).
    • CAG-07, 2001, p. 201.
    • François Bertrandy, Bornes milliaires et réseau routier dans la cité de Vienne sous l'empire romain, Chambéry, Institut d'Études savoisiennes (Université de Savoie), 2001, p. 69 et 76 (Bibliothèque d'études savoisiennes, 9) (ISSN 1250-5064).
  90. Voir les détails dans l'article sur la borne.
  91. 44° 33′ 41″ N, 4° 38′ 53″ E
  92. 44° 34′ 17″ N, 4° 37′ 58″ E
  93. Bibliogr. :
  94. 44° 35′ 30″ N, 4° 28′ 13″ E
  95. Voir une image dans l'étude de L. Decramer (2006).
    Bibliogr. :
    • Claude-Joseph Trouvé, Description générale et statistique du département de l'Aude, Paris, Firmin Didot, p. 209 (en ligne).
    • Murat, « Lettre écrite au R. P. de Montfaucon, par M. de Murat, juge-Mage de Carcassonne, sur la Découverte d'un monument d'Antiquité, faite auprès de cette Ville » et « Remarques », dans Mercure de France, Paris, juin 1729, p. 1059-1070 (en ligne).
    • « De Carcassonne », dans Le Journal des sçavans, Paris, Jean Cusson, 1724, p. 753 (en ligne).
  96. Voir itineraires-romains-en-france et des images sur Epigraphik-Datenbank Clauss Slaby et voies.archeo-rome.
    Bibliogr. :
    • Antoine Héron de Villefosse, « Le milliaire de Tétricus le fils trouvé à Barbaira (Aude) », dans Congrès archéologique de France [Séances générales tenues à Carcassonne et Perpignan, en 1906], 73, Paris, Derache, 1907, p. 270-273 (en ligne).
    • Auguste Allmer, « Borne milliaire de Tetricus », dans Revue épigraphique du Midi de la France, 50, Vienne, E.-J. Savigné, 1888, inscr. 716, p. 371-372 (en ligne).
  97. * Joseph Campardou. « Un milliaire de Cneus Domitius Ahenobarbus Imperator découvert à Treilles (Aude) ». In: Gallia, tome 7, fascicule 2, 1949. pp. 195-205.
    * Paul-Marie Duval 1949 ; 1951 et 1968.
  98. localisation approximative près du pont du Rieu de Treilles : 42° 56′ 24″ N, 2° 59′ 24″ E
    D'après Campardou 1949, « À ce moment, elle se trouvait placée obliquement, dans le lit du torrent, à peu de distance de la rive gauche, et à une vingtaine de mètres en amont du pont. Une enquête sommaire a permis, du reste, de savoir que la borne avait été dégagée, plusieurs années auparavant, pendant la guerre, à la suite de l'exploitation du gravier de la rive gauche pour la construction des blockhaus allemands de la côte. »
  99. Le milliaire a d'abord été déposée au musée de Sigean, puis transférée au musée des beaux-arts de Narbonne, a ensuite été versé dans la collection du musée lapidaire de Notre-Dame de Lamourguier.
  100. Le texte, daté entre le 25 juillet 306 et novembre ou décembre 307, est principalement une commémoration de l'empereur Constantin, car ne comporte pas d'indication de distance.
    Bibliogr. :
    • C'est quoi l'Archéologie - Musées de Strasbourg, Strasbourg, 2009, p. 4 (en ligne).
    • CAG-67-02, 2003, p. 481.
  101. Le lieu de découverte approximatif se situe aux coordonnées 48° 35′ 22″ N, 7° 41′ 38″ E.
  102. Voir une image sur via-aurelia.net
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 53 p. 17-18 (en ligne).
    • Isidore Gilles, Les voies romaines et massiliennes dans le département des Bouches-du-Rhône. Livre premier : Voies romaines, Avignon, Seguin, 1884, p. 100-102 (en ligne).
  103. Lieu de découverte approximatif 43° 40′ 35″ N, 4° 37′ 33″ E.
  104. Le lieu de découverte hypothétique, sur le domaine d'Estoublon, se situerait aux coordonnées 43° 44′ 02″ N, 4° 44′ 27″ E.
  105. Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 65 p. 20-21 (en ligne).
    • Fernand Benoit, « La voie d'Italie en Espagne à l'époque d'Auguste sur le territoire d'Arles », dans Revue des études anciennes, 40, Bordeaux, 1938, milliaire n° 4 p. 145 (en ligne).
  106. Plusieurs hésitations dans l'identification, et doublons, ont été indiqués à propos des bornes de cette partie de la voie Aurélienne, sur le territoire antique d'Arles. Toutefois, une autre borne, le milliaire VI CIL 17-02, 00061, aujourd'hui anépigraphe, est toujours in situ sur le domaine d'élevage du Merle de Montpellier SupAgro, à « « 1300 pas » vers l'Ouest-Nord-Ouest depuis notre milliaire VII, sur la limite communale d'Eyguières. Voir aussi via-aurelia et une bonne image sur flickr.
    Bibliogr. :
    • Fabienne Gateau, avec Frédéric Trément et Florence Verdin, CAG-13-1. L'Étang de Berre, 1996, site 103-6* (partiellement en ligne).
    • Jean-Pierre Pelletier, Michel Poguet, et al., « Des prospections à la fouille : recherches à Eyguières (B.-du-R.) », dans Revue archéologique de Narbonnaise, 26, 1993, p. 191, Fig. 15 et 21 (en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 60 p. 19 (en ligne).
    • Fernand Benoit, « La voie d'Italie en Espagne à l'époque d'Auguste sur le territoire d'Arles », dans Revue des études anciennes, 40, Bordeaux, 1938, milliaire n° 10 p. 147 (en ligne).
    • Auguste Véran, « Étude sur les voies romaines qui traversaient l'arrondissement d'Arles », dans Congrès archéologique de France [Séances générales tenues à Arles, en 1876], 43, 1877, p. 500-501 inscription n° 2 (en ligne).
  107. Soit très approximativement, si c'est à mi chemin, aux environs de 43° 38′ 00″ N, 5° 02′ 35″ E
  108. 49° 17′ 13″ N, 0° 36′ 14″ O
  109. Une autre borne découverte vers 1847 à Rom (CIL 17-02, 433), et elle datant de Tacite, a été acquise par le musée lapidaire. Il existe en plus un troisième miliarium de Rom (CIL 17-02, 434). Voir une image Notice no IVR54_85790195X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture, sur le site de l'Ina (à env. 1 min 30) et une traduction sur arbre-celtique.
    Bibliogr. :
    • Émile Espérandieu, Épigraphie romaine du Poitou & de la Saintonge, 1, Melle, Revue Poitevine et Saintongeaise, 1888, inscr. 15 p. 39-43 et pl. III (en ligne).
    • Edmond Roy, « Catalogue du musée lapidaire », dans Bulletins de la Société de statistique du département des Deux-Sèvres, 7, Niort, Impr. L. Favre, 1887, p. 669 (en ligne).
    • Lary, « Mémoire sur la colonne milliaire de Rom », dans Mémoires de la Société de statistique du département des Deux-Sèvres, 5, Niort, Impr. L. Favre, 1840, p. 47-54 et part. 48-49 (en ligne).
  110. Voir archeolyon.araire et Street View.
  111. Bibliogr. :
    • CAG-25/90, 2003, p. 358 (en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, insc. 485.
  112. Bibliogr. :
    • CAG-25/90, 2003, p. 358 (en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, insc. 486.
  113. Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, insc. 498 p. 183-184 (en ligne).
    • Hermann Dessau, Inscriptiones Latinae selectae, 1, Berlin, Weidmann, 1892, inscr. 581 p. 134-135 (en ligne).
      .
  114. 48° 21′ 34″ N, 2° 07′ 35″ E
  115. La base Palissy indique que ces trois milliaires sont conservées au musée Auguste-Jacquet et proviendraient de la chapelle Saint-Pierre (l'ancien musée lapidaire ?). Il paraîtrait étonnant qu'ils correspondent aux milliaires de l'église Notre-Dame-des-Pommiers (et encore moins aux Colonnes de César), déjà classés en 1911, mais la CAG ne mentionne pas d'autres bornes à Beaucaire, même anépigraphes. Les diverses notices et prospectus semblent toutefois confirmer l'existence de milliaires dans les collections du musée.
    Bibliogr. :
    • Michel Provost, CAG-30-2. Gard, 1999, p. 221-222 (rien) (en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, p. 80-90 ? (en ligne).
    • Auguste Aurès, « Monographie des bornes milliaires du département du Gard », dans Mémoires de l'Académie du Gard, année 1876, Nîmes, 1877, p. 1-240 et 9 pl. (en ligne).
  116. 43° 48′ 27″ N, 4° 38′ 50″ E
  117. Dans l'ancien couvent des sœurs Augustines, aux pieds du château médiéval.
  118. Bibliogr. :
    • R. Sablayrolles et A. Beyrie, CAG-31-2. Le Comminges, 2006, p. 461.
      Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 306 p. 116 (en ligne).
  119. Voir une image sur sevrier.fr
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 102 p. 40 (en ligne).
    • Charles Marteaux et Marc Le Roux, « Voies romaines de la Gaute-Savoie (suite). Voie romaine de Boutae à Casvaria », Revue savoisienne, t. 44,‎ , p. 23-55 (voir p. 33-34) (lire en ligne).
    et pl. II fig. 5 (en ligne).
  120. Localisation approximative 45° 52′ 55″ N, 6° 08′ 26″ E.
  121. Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 317 p. 121 (en ligne).
  122. 45° 23′ 09″ N, 3° 56′ 23″ E.
  123. Une autre milliaire, aujourd'hui disparue et portant une inscription à l'empereur Maximin (235-238), avait été retrouvée au XVIIe siècle à Grangeneuve.
    Bibliogr. :
  124. Bibliogr. :
    • Raphaëlle Chossenot, Angélique Estéban et Robert Neiss, CAG-51-02. Reims, 2010, p. 223.
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 503 p. 189.
  125. 49° 16′ 04″ N, 4° 01′ 43″ E
  126. Bibliogr. :
    • Raphaëlle Chossenot, Angélique Estéban et Robert Neiss, CAG-51-02. Reims, 2010, p. 254.
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 509.
  127. Voir des images sur archeolyon.araire et arsene.perez-mas.
    Bibliogr. :
    • Odile Faure-Brac, CAG-69-01. Le Rhône [Hors Lyon], 2006, p. 134 (ISBN 2-87754-096-0).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 525 p. 204 (en ligne).
  128. Voir aussi ubi-erat-lupa.org et des images sur edcs.eu et zum.de
    Bibliogr. :
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 654 p. 250 (en ligne).
  129. 47° 59′ 34″ N, 7° 51′ 15″ E
  130. 48° 34′ 52″ N, 7° 45′ 08″ E
  131. Bibliogr. :
    • Georges Daux, « Le milliaire de la Via Egnatia au musée du Louvre », dans Journal des savants, 3, 1977, p. 145-163 (en ligne).
    • Paul Collart, « Les militaires de la Via Egnatia », Bulletin de correspondance hellénique, 100-1, 1976, p. 198 milliaire n° 4 (en ligne).
  132. 40° 41′ 56″ N, 22° 49′ 48″ E
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 342b p. 132 (présentation en ligne).
    • Lucien Fanaud, Voies romaines et vieux chemins en Bourbonnais, Moulins, (réimpr. éd. de Borée, 2005), 330 p. (ISBN 978-2-84494-006-3), p. 15, 186.
  133. « Croix de chemin dite Croix Saint-Martial », notice no IA00063398, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Cette page contient un lien vers le "dossier d'origine numérisé".
  134. Voir le site des Mégalithes du Monde et Street View.
  135. Voir la photographie dans le dossier de l'Inventaire général. Par contre, la base de données Epigraphik-Datenbank Clauss Slaby confond l'image de la borne avec celle de Mélas.
    • Maryannick Chalabi, Inventaire général du Patrimoine Culturel de Rhône Alpes Canton de Viviers - Commune de Teil (Le) Réf. Mérimée ia00059430 - milliaire, 1977 et 1986 (en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 183a p. 69 (présentation en ligne).
    • Jacques Rouchier, Histoire religieuse, civile et politique du Vivarais, Paris, Firmin-Didot frères, 1861, p. 100-101 à propos de la borne CIL XVII-2, 182 (en ligne).
    • Catherie Bizien-Jaglin, Patrick Galliou et Hervé Kérébel, CAG-22. Les Côtes-d'Armor, 2002, p. 253 (en ligne).
    • Michelle Le Brozec, Marie-Yvanne Daire et al., Les stèles de l'âge du fer des Côtes-d'Armor et du Trégor finistérien, Rennes, Institut culturel de Bretagne et Association des travaux du Laboratoire d'anthropologie-préhistoire, 1998, p. 49 (Patrimoine archéologique de Bretagne) (ISBN 2-86822-078-9).
    • Louis Pape, La civitas des Osismes à l'époque gallo-romaine [Thèse de doctorat en Lettres, Rennes 2, 1976], Paris, Klincksieck, 1978, p. A-33 à A-35 (rien sur aucune borne ou voie à Ploulec'h) (Institut armoricain de recherches historiques de Rennes, 26) (OCLC 461698309).
  136. Sans préciser ses sources, le site du conservatoire de la région Bretagne semble maintenir l'hypothèse que ce soit un milliaire, faite dans l'Inventaire de Patrick Pichouron en 2006, en attente d'une enquête plus approfondie.
  137. Voir une image sur Street View.
  138. L'Inventaire général note tout de même l'hypothèse formelle que ce soit une borne « numéro XV (sic), pouvant être datée de l'époque hadrienne » (?). Voir aussi l'« inventaire des croix monumentales de la commune (croix n° 10) », notice no IA00031105.
  139. Voir une image dans la page « Savigny-en-Véron », sur tourainissime.blogspot.fr (consulté en ) et « en caméra de rue », sur maps.google.com (consulté en ).
  140. 47° 12′ 21″ N, 0° 05′ 43″ E.
  141. Bibliogr. :
    • [Vipard 1990] Pascal Vipard, « Le milliaire de Sainte-Mère-Église (Manche) et le problème de la localisation de Crovciatonnvm », Annales de Normandie, t. 40, nos 3-4,‎ , p. 247-262 (lire en ligne).
    • Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 460 p. 167 (présentation en ligne).
  142. Voir une « image »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Epigraphik-Datenbank Clauss / Slaby. Bibliogr. :

Annexes modifier

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Bibliographie modifier

Recueils d'inscriptions latines
Bases de données bibliographiques
  • mot clé « milliaire », dans Données en archéologie, préhistoire et histoire, sur le net (DAPHNE), sous la dir. de la Maison René-Ginouvès, CNRS (en ligne).
  • mot clé « milliarium », dans Bulletin analytique d'histoire romaine [depuis 1962], sous la dir. du Groupe de recherche d'histoire romaine (Strasbourg), éd. Association pour l'étude de la civilisation romaine, Strasbourg, depuis 1965 (ISSN 0525-1044) (OCLC 183333435) (données depuis 1990 en ligne).
Guides
  • Gabriel Thiollier-Alexandrowicz, avec la collab. de Robert Bedon, préf. de Raymond Chevallier, Itinéraires romains en France, d'après la « Table de Peutinger » et l'« Itinéraire d'Antonin », Dijon, Faton, 1996 (Guides monde et musées) (ISBN 2-87844-036-6) (compléments en ligne)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier