Lion-sur-Mer

commune française du département du Calvados

Lion-sur-Mer
Lion-sur-Mer
La plage de l'ouest de Lion-sur-Mer.
Blason de Lion-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Caen la Mer
Maire
Mandat
Vacant
2024-2026
Code postal 14780
Code commune 14365
Démographie
Gentilé Lionnais
Population
municipale
2 521 hab. (2021 en augmentation de 5,3 % par rapport à 2015)
Densité 531 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 18′ 04″ nord, 0° 19′ 08″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 30 m
Superficie 4,75 km2
Unité urbaine Hermanville-sur-Mer
(banlieue)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ouistreham
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Lion-sur-Mer
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Liens
Site web www.lionsurmer.fr

Lion-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 2 521 habitants[Note 1].

Géographie modifier

La commune de Lion-sur-Mer est située sur la Côte de Nacre, au bord de la Manche, au nord de la plaine de Caen. Son bourg est à 5,5 km à l'est de Douvres-la-Délivrande, à 5,5 km à l'ouest d'Ouistreham et à 14 km au nord de Caen[1].

La plage est constituée de sable fin et est, à l'ouest, bordée par des falaises de taille moyenne.

La ville est desservie par la ligne 22 du réseau Twisto, ainsi que la ligne 12 (ex-ligne 1 du réseau Bus Verts), la ligne 32 (sur réservation uniquement), et également la ligne Flexo 2 (ligne de soirée) du même réseau.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 655 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernières-sur-Mer à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lion-sur-Mer est une commune urbaine[Note 2],[10]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hermanville-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[13] et 5 571 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[18]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[19],[20].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,1 %), zones urbanisées (24,7 %), zones humides côtières (1,2 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lyon en 1202 ; apud Leonem super mare en 1234[22] ; Lyon sur la mer en 1610 ; Lyon sur Mer au XVIIIe siècle[23].

Lion-sur-Mer s'est appelée Lyon sur mer jusqu'à l'époque contemporaine.

Lyon pourrait faire référence à des écueils ou des rochers en forme de lions[22],[24]. Aucun élément topographique, rocher ou récif, ne vient conforter cette explication.

D'autres ont proposé un composé gaulois (celtique) formé du nom du dieu gaulois Lug auquel serait adjoint l'appellatif dunon, terme gaulois évoquant une « agglomération »[25],[26] qui a souvent abouti à la simple finale -on dans la toponymie française. Ce serait donc un homonyme de la ville de Lyon, appelée Lugdunum dans les textes latins. Cependant la forme trop tardive Lyon ne permet pas de confirmer cette hypothèse, car on ne dispose d'aucune trace phonétique relative à l'amuïssement d'un [g] et d'un [d].

Le gentilé est Lionnais.

Histoire modifier

Lion est un site occupé dès l'Antiquité. Les vestiges de bâtiments d'une exploitation agricole, visible dans la falaise, témoigne de la colonisation romaine après la conquête de la Gaule par Jules César au Ier siècle av. J.-C.[27].

Le village s'est véritablement formé au Moyen Âge en bord de mer, Lion-sur-Mer abrite un petit port de pêche dès le XIIe siècle. Après le rattachement de la Normandie au royaume de France en 1204, les terres de Lion sont partagées entre différents seigneurs, d’où l'existence de plusieurs manoirs, colombiers et moulins à vent, aujourd'hui disparus ou remaniés. Un prieuré est construit à Lion au XIVe siècle[27].

La famille Le Sens, établie à Lion à la fin du XVe siècle, réunit progressivement les différents fiefs jusqu'au XVIIe siècle. Cette famille noble fait édifier le château de Lion-sur-Mer au XVIe siècle[27].

Au XIXe siècle, la mode des bains de mer entraîne l'affluence de riches estivants et transforme le village en station balnéaire. De nombreuses villas sont construites en bord de mer dans la seconde moitié du XIXe siècle. La pêche décline à Lion au profit du tourisme[27].

La commune est desservie de 1891 à 1944 par la ligne de Caen à Luc-sur-Mer des Chemins de fer du Calvados, une ligne de chemin de fer secondaire à voie étroite.

 
L'arrêt des Chemins de fer du Calvados, avant la Première Guerre mondiale.

Le a lieu le débarquement de soldats britanniques, essentiellement du 41st Royal marines mais aussi du 22nd dragoons. Lion-sur-Mer fait partie du secteur de Sword Beach secteur Queen / green. La plage portait le nom de « sous-secteur Queen » de la zone « Sword »[28].

Le 41st Royal marines commando, composé de 450 officiers et soldats était dirigé par le lieutenant-colonel Gray. Partis le 5 juin de Warshaw à bord de cinq péniches, les hommes du 41st étaient particulièrement chargés de prendre le contrôle d'un blockhaus situé rue de la Hève et d'attaquer le château. La journée du 6 juin voit la disparition de 140 hommes[28].

Des vétérans visitent régulièrement les lieux du débarquement. Le dernier vétéran connu à avoir refait le chemin est le sergent "Paddy" Smyth, ancien du 22nd dragoons, pendant l'été 2007. Le maire de Lion-sur-Mer, Jean-Marc Gilles lui a remis à l'occasion la médaille de la commune.

Politique et administration modifier

 
La mairie.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1944 Alphonse Laurent    
1944 1945 Aristide Lechevalier    
1945 1947 Paul Buret    
1947 1956 Raymond Valliot    
1956 avril 1970
(décès)
René Desmézière[Note 5]   Dirigeant d'une entreprise de transports, capitaine de réserve
Chevalier de la Légion d'honneur
mai 1970[30] mai 1981
(décès)
Pierre Corbin[Note 6] SE Ingénieur agronome, ancien premier adjoint
juin 1981 mars 1989 Jean-René Desmézière[Note 7]   Entrepreneur
mars 1989 mars 2014 Jean-Marc Gilles PS Postier retraité
Vice-président de la CA Caen la Mer
mars 2014[31] décembre 2016 Isabelle Laforgue-Desguet SE Professeure des écoles
Mandat écourté après la démission de plus d'un tiers
des membres du conseil municipal
[32]
décembre 2016[33] janvier 2024[34]
(décès)
Dominique Régeard[Note 8] DVG Cadre à la Direction générale des Finances publiques[35]
Réélu en 2020[36]
février 2024[37] En cours
(au 13 février 2024)
Magali Saint   Analyste d'assurance

Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et cinq adjoints[31].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 2 521 habitants[Note 9], en augmentation de 5,3 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9607501 0671 1421 0631 0371 0411 0351 014
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0311 0561 1031 0821 1271 0601 0451 0601 061
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0571 0671 0991 0211 0451 0481 0021 5301 447
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 5311 6131 7481 8232 0862 4012 5082 5682 600
2014 2019 2021 - - - - - -
2 4212 5362 521------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les communes de Lion-sur-Mer et Hermanville-sur-Mer forment une unité urbaine de 5 266 habitants (2010)[42].

Économie et tourisme modifier

Depuis mars 2010, Lion-sur-Mer est dénommée « commune touristique »[43]. Renouvellement en 2020, à la suite de la constitution de la communauté urbaine de Caen la mer et la création de l'Office de Tourisme communautaire en 2017.

La ville est traversée par la voie EuroVelo 4.

Bureau d'information touristique (OT de Caen la Mer) en période estivale

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Activité et manifestations modifier

Culture modifier

  • Le cinéma Le Trianon en front de mer : programmation du Lux (Caen)
  • Bibliothèque Pour Tous

Sports modifier

L'Olympique de Lion-sur-Mer a fait évoluer deux équipes de football en divisions de district jusqu'en 2014[48].

Autres sports
  • Sporting club de Lion-Hermanville (tennis : huit courts en terre battue).
  • École de voile OCEAN
  • Complexe sportif (gymnase, courts de tennis et terrain de football).
  • Association Tennis de Table Lion-sur-Mer (dix-huit tables au gymnase).

Enfance et jeunesse modifier

L'école et la mairie de Lion-sur-Mer accueillent tous les enfants à partir de 3 ans et demi ainsi que les adolescents les mercredis et durant toutes les périodes de vacances scolaires hormis celles de Noël[49].

Associations modifier

  • Aglaé : organisation d'expositions d'artistes à la galerie Le Trianon.
  • Les Amis du cinéma : festivals, séances de cinéma thématiques.
  • Les Forbans de Lion  : groupe de chants marins.
  • Lion environnement : Jardins partagés, nettoyage de la plage, marché bio.
  • Clown en chœur.
  • Les Amis de l'orgue : organisation de concerts dans le cadre du Festival estival autour de l'orgue Chéron (1958).
  • L'Association de sauvegarde de l'église Saint-Pierre de Lion-sur-Mer : valorisation et sauvegarde de l'église. Organisation d'événements : concerts, visites, expositions dans le cadre de Pierres en lumières et des Journées européennes du patrimoine..

Jumelages modifier

Manifestations modifier

  • Les Terrasses dansantes de l’été : concerts gratuits, en juillet et août.
  • Salon du livre ancien et moderne (exposants professionnels, en avril et juillet).
  • Concerts classiques organisés à l'église et au château : festival autour de l'orgue (en juillet), l'Académie musicale internationale de la Côte de Nacre (en août).
  • Brocantes professionnelles, vide-greniers.
  • la fête des Normands en septembre : repas et animations (danses normandes et chants marins).
  • L'art au jardin (premier week-end de juin): visite libre de jardins lionnais animés par des artistes locaux.
  • La Fête de la mer du 15 août: défilé des bateaux, messe et bénédiction des bateaux, banquet poissonnade.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Gyp, nom de plume de la comtesse de Martel, née Mirabaud (1849-1932), femme de lettres prolifique et égérie des mouvements nationalistes et anti-dreyfusards. Lion-sur-Mer fut son lieu de résidence habituel à la charnière des XIXe et XXe siècles.
  • Edmond Bacot (1814 Caen - 1875 Caen) : il participe à l'exposition de tableaux de 1846 en tant que peintre et photographe. En 1855, il participe à la création de la Société des Beaux-Arts de Caen. Considéré comme un des meilleurs photographes normands, il compte parmi les précurseurs de l'instantané. Grâce au procédé de l'albumine rapide, il réussit à saisir le mouvement des vagues en 1850 dans Au bord de la mer.
    Edmond Bacot fait la connaissance de Victor Hugo dont il partage les convictions républicaines. Il soutient son fils, Charles Hugo, dans sa pratique de la photographie.[réf. nécessaire]

Personnalités inhumées à Lion-sur-Mer modifier

Héraldique modifier

Les armes de la commune de Lion-sur-Mer se blasonnent ainsi :

Burelé-ondé d'argent et d'azur de dix pièces, à l'ancre dont la tige retient une vergue posée légèrement en bande surmontée d'une hune, le tout de sable, la tige flammée d'or à dextre, la vergue retenant une voile carrée de gueules chargée d'un lion d'or, attachée au bec des pattes de l'ancre, le tout brochant sur le burelé-ondé[50].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Edmond Joseph Bellin, né le 5 octobre 1875 à Lion-sur-Mer, décédé le 2 juillet 1944 à Lion-sur-Mer. [1]
  5. René Desmézière, décédé le 8 avril 1970.
  6. Pierre Thiebault Corbin, né le 15 janvier 1916 à Lion-sur-Mer, décédé le 3 mai 1981 à Caen.
  7. Jean-René Armand Desmézière, né le 27 septembre 1935 à Lion-sur-Mer, décédé le 5 mai 2018 à Caen [2]
  8. Dominique Régeard, né le 26 janvier 1965 à Combourg (Ille-et-Vilaine), décédé le 27 janvier 2024 à Caen.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Lion-sur-Mer et Bernières-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bernieres » (commune de Bernières-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Bernieres » (commune de Bernières-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Hermanville-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  19. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
  23. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Paris, 1883, p. 168 (lire en ligne) [3]
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 322
  25. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 159
  26. Sylvie Lejeune, La religion dans la toponymie, page 1, [lire en ligne]
  27. a b c et d « Village pittoresque », sur lionsurmer.com (consulté le ).
  28. a et b « 6 juin 1944 », sur lionsurmer.com (consulté le ).
  29. www.phdnm.org Les mythes « résistancialistes » : Le cas d’E. Bellin.
  30. « À Lion-sur-Mer, M. Pierre Corbin élu maire », Ouest-France (archives du journal),‎ .
  31. a et b « Isabelle Laforgue-Desguet installée maire officiellement », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Manon Loubet, « Calvados. Démissions en série à Lion-sur-Mer. Six adjoints ont claqué la porte », sur actu.fr, 14actu, .
  33. « Lion-sur-Mer : Dominique Régeard a été élu maire : Avec 14 voix en sa faveur sur 19, Dominique Régeard a été élu maire de Lion-sur-Mer, ce vendredi 16 décembre 2016, dans la soirée. », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Côte de Nacre : maire de Lion-sur-Mer depuis sept ans, Dominique Régeard est décédé : Le maire de Lion-sur-Mer, Dominique Régeard, est décédé dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 janvier 2024. », Liberté - Le Bonhomme libre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Lion-sur-Mer. Retour sur le parcours du futur maire, Dominique Régeard : La liste Réussir ensemble a remporté l'élection municipale anticipée, dimanche. Vendredi soir, lors du conseil municipal, Dominique Régeard sera sans nul doute élu maire. », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Arnaud Héroult, « Municipales 2020. Dominique Régeard est réélu à Lion-sur-Mer », Liberté - Le Bonhomme libre,‎ (lire en ligne).
  37. « "On va continuer le travail" : Magali Saint a été élue maire de Lion-sur-Mer : Lors du conseil municipal de ce lundi 12 février 2024, Magali Saint a été élue maire de Lion-sur-Mer (Calvados). Elle succède à Dominique Régeard, décédé brutalement samedi 27 janvier, alors qu'il n’avait que 59 ans. », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Liste des unités urbaines officielles en France avec les villes les composant, disponible en téléchargement au format texte (Insee)
  43. [PDF] « Recueil des actes administratifs du Calvados no 13/2010 (page 322) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  44. « Église », notice no PA00111470, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Château », notice no PA00111469, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Maison Louis, dite Castel Louis », notice no PA14000010, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Les "Confessionnaux"
  48. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – O Lion-sur-Mer » (consulté le )
  49. « Centre de loisirs », sur lionsurmer.com, la mairie de Lion-sur-Mer (consulté le ).
  50. « Lion-sur-Mer », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Villas de Lion-sur-Mer et Hermanville-sur-Mer, Coll. Itinéraires du patrimoine, no 125, 1996
  • Eugène Liot, Lion-sur-Mer, Hermanville, E. Adeline, Caen, 1896

Articles connexes modifier

Liens externes modifier