Le Touvet

commune française du département de l'Isère

Le Touvet
Le Touvet
Vue d'ensemble.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
Laurence Thery
2020-2026
Code postal 38660
Code commune 38511
Démographie
Gentilé Touvétains et Touvetaines
Population
municipale
3 076 hab. (2021 en diminution de 4,8 % par rapport à 2015)
Densité 265 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 21′ 30″ nord, 5° 56′ 55″ est
Altitude Min. 236 m
Max. 1 008 m
Superficie 11,6 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Touvet
(ville-centre)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut-Grésivaudan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.letouvet.com

Le Touvet est une commune française de 3256 habitants[1] située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Positionnée au pied du massif de la Chartreuse et dans la communauté de communes Le Grésivaudan, les habitants de la commune sont appelés les Touvétains.

Géographie modifier

Situation et description modifier

Le Touvet est situé dans la vallée du Grésivaudan, à 31 kilomètres de Grenoble et à 32 kilomètres de Chambéry.

Le village est bordé au nord par le torrent du Bresson qui descend de Chartreuse et se jette dans l'Isère. À l'origine, c'est un village vinicole, comme tous les villages situés sur la rive droite du Grésivaudan (terrains marneux, en début de pente, des versants Adret du massif de la Chartreuse), entre La Tronche et Chapareillan.

 
Intégrale de la Vallée du Grésivaudan en Isère vue depuis la station de ski des 7 Laux. Chambéry à droite, Grenoble à gauche et Le Touvet (Chartreuse) en face.

Communes limitrophes modifier

Géologie modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 349 mm, avec 9,6 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pipay_sapc », sur la commune de Theys à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 6,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 545,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie modifier

Le territoire communal est bordé, à l'est, par l'Isère.

Voies de communication modifier

Le territoire de la commune du Touvet est traversé par deux voies à grande circulation, l'autoroute A 41 et l'ancienne route nationale 90, selon un axe nord-sud.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Le Touvet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine du Touvet, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[11] et 5 226 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (44,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,3 %), terres arables (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (20,1 %), zones urbanisées (8,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), prairies (2,1 %), eaux continentales[Note 3] (0,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques modifier

Risques sismiques modifier

L'ensemble du territoire de la commune du Touvet est situé en zone de sismicité n°4, à l'instar de l'ensemble des territoires des communes du massif de la Chartreuse et de la vallée du Gréisvaudan[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques modifier

Toponymie modifier

On trouve trace du Touvet dès le début du Moyen Âge. Au XIe siècle, il en est fait mention sous l'appellation de Tovetum[19]. Ce nom est tiré du latin Tofus, qui désigne le tuf, matériau calcaire formé de brindilles et de mousses sur lesquels l'eau de ruissèlement a déposé son calcaire, que l'on trouve aux alentours.

Histoire modifier

 
Les ruines du château de Beaumont au XIXe siècle, au Touvet, dependances du Baron des Adrets. Illustration de Victor Cassien (1808 - 1893).

En 1317, le dauphin Jean II donne à Rollet d'Entremont, dont la famille était implantée au Touvet depuis 1263, tous ses droits et juridictions, sauf la souveraineté, sur le Touvet et ses environs. Rollet d'Entremont obtient l'autorisation de construire un château.

Au Moyen Âge, Le Touvet est le siège de plusieurs seigneuries. L'enquête de 1339, signale au lieu-dit la Frette la présence d'une maison forte, possession du seigneur de Beaumont : « Sequitur aliud domisiliamentum castri de freyta - Primo ipsum castrum situm est... » (Arch. vat. coll. 259 f° 147 v°) et « quoddam domicilium forte » (ADI B 4443, f° 20 V°)[20] ; elle comprend tour, salle et cuisine[21]. Le seigneur de Beaumont est aussi en possession de la maison forte des Vignes. Cette dernière est entourée de fossés en eaux : « teralliis plenis aque »[21].

Au XVIe siècle, le baron des Adrets, établi dans son château de La Frette, hameau du Touvet, se distingue dans plusieurs campagnes militaires.

Le Touvet devient un marquisat sous Louis XIV. Au XVIIIe siècle, le comte de Marcieu aménage le château et y crée des cascades, jardins et escaliers d'eau à l'italienne.

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

Jusqu'en 2008, Le Touvet faisait partie de la CIAGE, regroupement de neuf communes créé en 1994. Depuis le , la CIAGE s'est fondue dans la communauté de communes du Pays du Grésivaudan.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1959 1965 Georges Goueffon    
1965 1971 André Bondono SFIO  
1971 juin 1995 François Vandeventer UDF-PR Conseiller général (1982-1988)
juin 1995 mars 2001 Christine Sillon    
mars 2001 mars 2008 Pascal Lymer    
mars 2008 En cours Laurence Théry PS Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages modifier

La commune est jumelée avec :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 3 076 habitants[Note 4], en diminution de 4,8 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0821 1781 3671 4381 7961 8171 6831 7141 646
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6781 6251 6251 5951 5641 5501 4601 3631 384
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2991 2601 1541 0341 0059869739541 012
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1151 2781 5621 8572 2292 8242 9292 9793 009
2014 2019 2021 - - - - - -
3 1463 1763 076------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

 
L'école élémentaire des 3 cours.

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

  • Halte Garderie Les Touvétinous.
  • École maternelle La Touveline.
  • École primaire Les 3 Cours.
  • Collège Pierre-Aiguille.

Médias modifier

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local. Il existe également plusieurs stations de radios locales qui émettent sur son territoire sont France Bleu Isère, Hot Radio et Radio Oxygène.

Sports modifier

Clubs modifier

  • L'ASTT 38 (Association Sportive du Touvet-Terrasse 38), club de Football. Champion d'Isère -13 ans en 2008.
  • AS Bouliste, club de boule, près du stade de football.
  • Colobane, danse africaine et percussions.
  • Le CAPR (Club d'Athlétisme Pontcharra la Rochette), athlétisme.
  • Grésifreeride, VTT.
  • Grésivaudan Triathlon, combinaison du vélo, natation, athlétisme.
  • Gymnastique Volontaire, pratique loisir de la gymnastique.
  • Mini Maniac Alpin, rassemble les passionnés de véhicules automobiles de type Mini et ses dérivés.
  • Petit conservatoire de danse du Grésivaudan, pratique de divers styles de danses.
  • Le RCTP (Rugby Club Touvet Pontcharra), club de rugby.
  • TCST (Tennis club St Vincent-Le Touvet), club de Tennis.
  • TTG (Tennis de Table du Grésivaudan[27]), club de tennis de table des communes du Touvet, Allevard, La Terrasse et Lumbin.
  • Les Tire-clous du Grand Manti, pratique des activités de montagnes, telles la randonnée, spéléologie, cascades de glace, escalade, parapente.
  • Touvet Badminton Club 38, club de badminton.
  • Touvet Basket-ball, club de basket-ball.
  • Touvet Judo, club de judo.
  • Touvet Volley-Ball, club de volley-ball.
  • Yoga Relaxation, cours de yoga.

Infrastructures sportives modifier

  • Stade Mario-Capozzi (Football, ASTT 38).
  • Stade Pareti (Rugby, RCTP).
  • Courts de tennis (TCST).
  • Skatepark.
  • Gymnase (sports de salle).

Événements culturels modifier

De 2004 à 2015, le Concours national de la chanson en Grésivaudan Cordes-Aux-Voix s'est déroulé à la salle le Bresson.

Cultes modifier

La communauté catholique et l'église du Touvet (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse des Saints Apôtres et au doyenné du Haut-Grésivaudan qui sont, quant à eux, rattachés au diocèse de Grenoble[28].

Économie modifier

La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[29],[30].

Culture et patrimoine modifier

Patrimoine religieux modifier

 
Église du Touvet

L'église Saint-Didier du Touvet a été construite en 1885 sur les ruines de l'ancienne église romane.

Patrimoine civil modifier

 
Le château du Touvet et son escalier d'eau.
  • Le château du Touvet[31], construit au XIIIe siècle par la famille d'Entremont (seul un corps de logis subsiste aujourd'hui de cette époque). À l'époque, son emplacement est stratégique, puisqu'il se trouve à la frontière entre le Dauphiné et le duché de Savoie. Guigues Guiffrey, archer dans la compagnie du chevalier Bayard, l'acquiert en 1528. Le château revient ensuite aux descendants de Guigues, les Marcieu.
Il est transformé en demeure de plaisance au XVIIIe siècle par le comte Pierre de Marcieu ; il est doté d'un escalier d'eau à l'italienne, de cascades et de terrasses à la française.
 
Ruines du château de Beaumont
Il est classé au titre des monuments historiques par arrêtés du et du [32] et en 2004, ses jardins ont été classés « Jardin remarquable de France »[33].

Patrimoine naturel modifier

La commune fait partie du parc naturel régional de Chartreuse.

Personnalités liées à la commune modifier

 
Le prédicateur Henri Didon (1840-1900).
  • Le père Henri Didon (1840- 1900 à Toulouse) : prédicateur dominicain et écrivain. Auteur d’un essai sur « Jésus-Christ » (1891) qui rencontra un grand succès. Haut responsable des écoles Albert-le-Grand et Lacordaire, ses prêches à l’église de la Madeleine sont restés célèbres. Auteur de la devise des Jeux olympiques, il reste un personnage très engagé ; pro-républicain convaincu.
  • François de Beaumont, baron des Adrets (1513 – 1586) : né et mort au château de la Frette, au Touvet (38), impitoyable guerrier, barbare et sanguinaire, après avoir combattu en Italie, il passa dans les rangs huguenots de Condé, pilla, massacra le Midi, le Lyonnais, le Dauphiné et s’attira l’opprobre général, même de ses partisans. Il fut sauvé d’un châtiment certain par la paix d’Amboise en 1563. Revenu dans le sein de l’Église romaine, il poursuivit ses anciens compagnons protestants avec la même cruauté. Chassé et capturé, il fut cette fois sauvé par la paix de Saint-Germain, en 1570. Il se retira à la Frette où il mourut après une dernière intervention contre Lesdiguières, dans le marquisat de Saluces.
  • Sœur Louise Hours (1646-1727). Née au Touvet dans une famille de modestes métayers, Louise Hours, jeune fille mystique et exaltée décide, un beau jour de 1674, de restaurer l’antique couvent des religieuses chartreusines de Parménie, entre Tullins et Beaucroissant. Forte des appuis de l’évêque de Grenoble Mgr Le Camus et des abbés d’Yse de Saléon et Canel, la jeune fille entreprend la construction d’un bâtiment de retraite et d’une hostellerie, rapidement fréquentés par les membres du haut clergé de la région. En 1713, sœur Louise y accueille l’abbé Jean-Baptiste de La Salle, célèbre fondateur des écoles chrétiennes, lequel, pendant la durée de sa convalescence, deviendra à la fois le confident de Louise et le directeur religieux de l’établissement. Une solide amitié, fondée sur le respect et l’estime réciproque, va lier le futur saint et celle qui se considérait elle-même comme la plus simple des bergères. Sœur Louise, sollicitée, conseille l’abbé de La Salle et l’incite à poursuivre l’œuvre engagée dans les grandes villes du royaume en faveur de l’éducation de masse des enfants déshérités : « Vous ne devez pas abandonner la famille que Dieu vous a donnée. Le travail est votre partage. Il faut persévérer jusqu’à la mort, alliant comme vous l’avez fait la vie de Magdeleine et celle de Marthe », lui écrit la religieuse. De retour à Paris, Jean-Baptiste de La Salle continuera à demander conseil à celle qu’il appelle « l’ange du désert ». Leur correspondance ne cessera qu’avec la mort du futur saint en 1719. Sœur Louise Hours, décédée le , lègue à l’évêché de Grenoble sa fondation et sa maison de Parménie, toujours active de nos jours, « pour y continuer les retraites des personnes de l’un et l’autre sexe ».
  • Michel Fuzellier : illustrateur, directeur artistique et réalisateur de dessins animés. Né au Touvet en 1944 et résidant à Milan, en Italie.
  • L'ingénieur aerospatiale et pionnier de l'aviation, Henri Fabre, est enterré au Touvet.

Héraldique modifier

  Blason
D’azur au mouton d’argent ; au chef d’or chargé de trois rencontres de bœuf de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. nombre-d-habitants Le Touvet sur ville-data.com, « Nombre d'habitants Le Touvet 38 combien de personnes », sur ville-data.com (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Le Touvet et Theys », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 du Le Touvet », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  19. « Les Maisons et commanderies des Templiers de France », sur templiers.net (consulté le ).
  20. Élisabeth Sirot 2007, p. 32.
  21. a et b Élisabeth Sirot 2007, p. 33.
  22. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Tennis de Table du Grésivaudan, sur le site tt-gresivaudan.com
  28. Site cleophas.org, page sur l'organisation du le doyenné du Haut-Grésivaudan.
  29. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  30. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  31. Site du château du Touvet
  32. « Château », notice no PA00117296, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Plan des jardins sur le site du château du Touvet, consulté le 30 juillet 2014.
  34. « Les labels patrimoine en Isère », sur isere-patrimoine.fr, Conseil Général de l'Isère (consulté le ).
  35. a b et c Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 583-593.
  36. « Neuf édifices isérois distingués par la commission départementale du patrimoine en 2011 », sur isere-patrimoine.fr, Conseil Général de l'Isère, (consulté le ).
  37. Le château de Beaumont, www.atelierdesdauphins.com, accès le 5 octobre 2016.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1).

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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