Le Tampon

commune française du département d'outre-mer de La Réunion

Le Tampon
Le Tampon
L'église du Tampon.
Blason de Le Tampon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région La Réunion
Département La Réunion
Arrondissement Saint-Pierre
Intercommunalité CASUD
Maire
Mandat
André Thien Ah Koon
2020-2026
Code postal 97430 et 97418
Code commune 97422
Démographie
Gentilé Tamponnais
Population
municipale
81 943 hab. (2021 en augmentation de 7,38 % par rapport à 2015)
Densité 495 hab./km2
Population
agglomération
173 125 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 21° 16′ 41″ sud, 55° 30′ 55″ est
Altitude Min. 287 m
Max. 2 418 m
Superficie 165,43 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Pierre
(ville-centre)
Aire d'attraction Saint-Pierre - Le Tampon
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Cantons du Tampon-1 et Tampon-2
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : La Réunion
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Le Tampon
Géolocalisation sur la carte : La Réunion
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Le Tampon
Liens
Site web letampon.fr

Le Tampon est une commune de l'île de La Réunion, la quatrième plus importante en nombre d'habitants.

Elle fait partie de l'unité urbaine de Saint-Pierre.

Géographie modifier

 
La ville du Tampon vue de l'espace le .

Localisation modifier

Le territoire communal du Tampon est situé dans le sud de l'île de La Réunion, sur la Côte Sous le Vent, sur les hauteurs de la ville de Saint-Pierre.

La commune s'étale sur les pentes qui descendent de la Plaine des Cafres vers l'océan. Elle est encadrée au nord-ouest par le Bras de la Plaine et au sud-est par la Rivière des Remparts.

L'habitat est dispersé sur les pentes en se groupant en quartiers, le plus important en taille et en population étant celui du chef-lieu. Les premières habitations s'installant le long de la route menant de Saint-Pierre à la Côte au Vent, elles prirent le nom du kilométrage à partir de l'océan ce qui donna des noms singuliers aux quartiers du Tampon : le Onzième, le Quatorzième, le Vingt-Troisième

L'étalement de la commune en altitude contribue à créer de nombreux climats favorables à la villégiature, au tourisme et à l'agriculture (canne à sucre, fleurs, élevage, etc.).

 
Localisation administrative du territoire communal du Tampon.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six autres communes :

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Le Tampon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Pierre, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[4] et 173 125 habitants en 2021, dont elle est une ville-centre[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pierre - Le Tampon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

Toponymie modifier

Histoire modifier

À partir du XVIIIe siècle, le Sud de La Réunion est colonisé.

En 1830, le comte Gabriel Le Coat de Kerveguen s’installe dans le secteur où se sera plus tard créée la commune du Tampon et constitue un empire en s'appropriant presque toutes les concessions du sud. En 1859, alors que l’île manque de numéraire, il y introduit sa propre monnaie, deux cent vingt-sept mille kreutzers démonétisés qu’il a ramenés de l’empire d'Autriche, qu’il fait frapper d'un « K » et qui seront aussi localement nommés des kervéguens[9]. Avec ceci, il paye la main d'œuvre indienne travaillant sur ses terres. Vingt ans plus tard, la monnaie est déclarée illégale.

À partir de 1870, l'ylang-ylang et le vétiver commencent à être distillés et Bois Joly Potier met au point l'alambic en 1887.

En , la région Tampon-Plaine des Cafres se sépare de Saint-Pierre et se dote d'adjoints.

En 1911, la première église du Tampon voit le jour sous l'influence du père Eugène Rognard.

Jusqu'alors une section administrative de Saint-Pierre, la commune du Tampon voit le jour le avec Edgar Avril comme premier maire.

En 1941, l'eau courante arrive au Tampon suivie de l'électricité en 1952.

Le sanatorium des Trois-Mares ouvre en 1960 et le lycée Roland-Garros est inauguré en .

En 1979, la commune du Tampon s'agrandit en absorbant la région du Piton de la Fournaise à proximité de la Plaine des Cafres.

La construction de la maison du Volcan débute en 1989.

Édouard Balladur, alors Premier ministre, préside l'ouverture du Campus Sud de l'université de La Réunion.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Le Tampon appartient à l'arrondissement de Saint-Pierre et le territoire de la commune couvre deux cantons depuis le redécoupage cantonal de 2014 :

Avant 2015, elle était divisée en quatre :

Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription de La Réunion, représentée depuis 2017 par Nathalie Bassire (LR).

Intercommunalité modifier

Le Tampon est associé dans la communauté d'agglomération du Sud avec trois autres communes : Saint-Philippe, Entre-Deux et Saint-Joseph.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Edgar Avril    
Roger Bénard    
Paul Badré UDR puis RPR Conseiller général du canton du Tampon-1 (1958 → 1988)

(démission)
André Thien Ah Koon RPR puis UMP Chef d'entreprise
Député de La Réunion (1986 → 1988, élu au scrutin proportionnel)
Député de la 3e circonscription de La Réunion (1988 → 2006)
Conseiller général du canton du Tampon-2 (1982 → 1988)

(démission)
Didier Robert UMP Cadre administratif
Député de la 3e circonscription de La Réunion (2007 → 2010)
Conseiller régional de La Réunion (2004 → 2007 puis 2010 → )
Président du conseil régional de La Réunion (2010 → 2021)
Paulet Payet[12] UMP Ancien instituteur
Conseiller régional de La Réunion (2010 → 2015)
En cours
(au 20 octobre 2021)
André Thien Ah Koon DVD Chef d'entreprise
Conseiller départemental du canton du Tampon-2 (2015 → )
Conseiller régional de La Réunion (2010 → 2015)
Président de la CA Sud (2014 → )

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1961, premier recensement postérieur à la départementalisation de 1946. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[13],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 81 943 habitants[Note 4], en augmentation de 7,38 % par rapport à 2015 (La Réunion : +2,4 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1961 1967 1974 1982 1990 1999 2006 2011 2016
24 33531 37836 10740 54547 59360 32369 84974 99877 283
2021 - - - - - - - -
81 943--------
De 1961 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Insee de 1968 à 2006[14] puis à partir de 2006[15])
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Collèges modifier

On trouve sur le territoire communal sept collèges :

  • le collège public de La Châtoire datant des années 2000 et qui comptait 930 élèves à la rentrée 2005 ;
  • le collège public Michel-Debré à la Plaine des Cafres ;
  • le collège public du Quatorzième-kilomètre ;
  • le collège privé Marthe-Robin ;
  • le collège public de Terrain-Fleury qui comptait 1 599 élèves à la rentrée 2005 ;
  • le collège public de Trois-Mares ouvert en 1975 ;
  • le collège public du 12e-km ouvert en 2013[16].

Lycées modifier

On compte par ailleurs trois lycées publics :

  • le lycée d'enseignement général et technologique Roland-Garros (lycée Roland-Garros) qui comptait 2 450 élèves à la rentrée 2005 ce qui en fait l'un des plus grands de France avec ses deux terrains de football. Sa création a été ardemment défendue par Michel Debré durant les années 1960 ;
  • le lycée d'enseignement général et technologique Pierre-Lagourgue ;
  • le lycée d'enseignement général, professionnel et technologique Boisjoly-Potier (lycée BoisJoly-Potier) qui comptait 1 430 élèves à la rentrée 2005.

Université modifier

La commune accueille également un campus secondaire de l'Université de La Réunion. Il accueille des étudiants en licence, les étudiants en STAPS, l'IUFM

Le Centre international d'études pédagogiques (CIEP) y dispose d'une antenne locale[17].

Manifestations culturelles et festivités modifier

Depuis 1983, la commune a deux fêtes annuelles : la première en janvier, Miel Vert (foire agricole), la seconde en octobre pour les Florilèges (foire des fleurs et des plantes). En , la fête du Miel Vert a été perturbée par le cyclone Ava.

Des spectacles variés sont présentés au théâtre Luc Donat. À proximité se trouve la médiathèque du Tampon qui accueille des expositions, tout comme la salle Rita & Charles Beaudemoulin tournée vers l'art contemporain.

Santé modifier

Sports modifier

  • Le stade Klébert-Picard (anciennement Roland-Garros) dans le centre-ville. Il accueille l'équipe municipale de football.
  • Le skatepark de Trois-Mares.
  • Le complexe Dijoux Carnot, avec une salle en parquet dédiée au basket-ball depuis 1956.

Médias modifier

Cultes modifier

Économie modifier

Un projet de futur "Parc du Volcan" à la Plaine des Cafres dont le coût est estimé à près de 11,6 millions d'euros, prévoit une station de 10 tyroliennes, d’un ballon captif et de serres géodésiques, des serres chauffées. Le projet ne fait pas l'unanimité, l'association "Domoun la Plaine" plaide pour un "projet alternatif citoyen"[18].

La mobilisation qu'elle a su créer autour de ses revendications, en alertant les autorités locales et internationales (UNESCO), a sans doute amené les différentes instances environnementales chargées de délivrer les autorisations nécessaires pour les aménagements prévus dans ce projet, à beaucoup plus de vigilance. C'est ainsi que la commission de préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers (CDPENAF) a, dans un premier temps, bloqué le projet de tyroliennes qui devaient survoler des habitations, puis au cours de l'enquête publique, littéralement réduit la surface du projet à une portion congrue (de 50 à 15 ha) afin de protéger des espaces naturels sensibles menacés par les attractions prévues à cet endroit.

La mobilisation exceptionnelle de la population au cours de l'enquête publique qui a duré 6 semaines au lieu de 4 prévues initialement, a abouti à un rapport de commissaire enquêteur qui, tout en donnant un avis favorable sans réserve pour ne pas gêner le maître d'ouvrage, a prescrit de multiples recommandations.

L'arrêté préfectoral du 14 novembre 2023 a, d'une certaine façon, donné raison à l'association citoyenne Domoun la Plaine, en assortissant son permis d'aménager de multiples prescriptions pour protéger l'environnement exceptionnel qui abrite des espèces - faune et flore - en grave danger d'extinction selon l'UICN, et aussi pour protéger la population des atteintes à la santé que faisait peser ce projet.

Finalement, ce sera une insuffisance de financement qui pourrait faire passer ce projet, mal pensé, mal conduit sans dialogue avec la population et finalement mal financé, aux oubliettes de l'Histoire du Tampon

En effet, le financement par le FEDER, arraché sous l'ancienne mandature (Didier ROBERT) au Conseil régional proche du maire du Tampon, prévoyait expressément la fin des travaux au 31/12/2023. Cette clause essentielle, comme elle sera difficilement tenable par le maître d'ouvrage qui s'était pourtant dépêché de distribuer les marchés à un mois avant la date d'échéance, renvoie inexorablement le porteur de projet de "tourisme de masse", comme il aime le dire souvent, à ses très chères études qui ont déjà coûté près de 2 millions d'euros.

Culture locale et patrimoine modifier

La commune accueille chaque année depuis les années 1990 la messe des motards, une messe qui accueille près de 5 000 motards.

Lieux de cultes modifier

Lieux et monuments modifier

 
Un caméléon panthère pris en photo au Tampon.
 
Un camphrier sur un terrain que la commune a classé pour le protéger.

La commune contient un dépôt de munitions sur le lieu-dit du Bourg-Murat dans la plaine des Cafres dépendant, depuis la création de ce service en 2011, du service interarmées des munitions[21].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Hyacinthe de Kerguelen de Kerbiquet (1637- ), frère capucin, curé de l'île Bourbon de 1689 à 1696. Le cône volcanique et le village de Piton Hyacinthe dans les hauts de la commune ont été nommés par référence à cette figure historique des débuts de la colonisation de l'île.
  • Jean Fontaine (1922-2014), homme politique, né au Tampon.
  • Keiiti Aki (1930-2005), sismologue japonais, mort au Tampon.
  • Jacqueline Farreyrol (1939), chanteuse et femme politique, née au Tampon,
  • André Thien Ah Koon (1940), maire de la commune et député, né au Tampon.
  • Claude Hoarau (1942), homme politique, né au Tampon.
  • Memona Hintermann-Afféjee (1952-), journaliste, grand reporter, membre du Conseil supérieur de l'audiovisuel, née au Tampon.
  • Danyèl Waro (pseudonyme de Daniel Hoareau) (1955), musicien, chanteur et poète, né au Tampon.
  • Willy Blain (1978), boxeur, né au Tampon.
  • Maurice Krafft, (1946-1991) et Katia Krafft, (1942-1991), L'existence de ce musée est largement due à la volonté du couple de volcanologues, qui ont étudié de près les éruptions du Piton de la Fournaise, et qui sont tous deux décédés le dans une nuée ardente du mont Unzen, au Japon.

Héraldique et devise modifier

Les armes

  • Le blason et armoiries du Tampon.
  • Les armoiries de la Commune créées en 1965, sont composées d’une couronne murale à 5 tours, avec en cimier, un livre ouvert portant le mot FLORAL, encadré de part et d’autre de deux cornes d’abondance renversées.

Ce blason symbolise d’une part le tourisme, en l’occurrence les gorges qui encadrent la commune : Bras de la Plaine et Rivière des Remparts (remparts sinople, montagne violette au centre sur fond de ciel azur) et d’autre part la richesse du sud, le grenier de l’île, symbolisé par deux cornes d’abondance entourant l’écu et trois orchidées blanches sur ce dernier.

L’écu est surmonté d’une flamme symbolique attestant de la pérennité de la culture française.

La devise de la commune est : « Le Tampon, une commune où il fait bon vivre »[réf. nécessaire].

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Saint-Pierre », sur insee.fr (consulté le ).
  5. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pierre - Le Tampon », sur insee.fr (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « Wayback Machine », sur lotrinfo.re via Internet Archive (consulté le ).
  10. a et b [PDF] Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2019, sur insee.fr
  11. a b c et d [PDF] Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2014, sur insee.fr
  12. Paulet Payet est élu par le conseil municipal le en remplacement de Didier Robert, démissionnaire après son élection à la présidence du conseil régional
  13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  14. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  15. pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  16. « Collège du 12ème Km | Un site utilisant Réseau Site d'établissement », sur college-12eme.ac-reunion.fr (consulté le ).
  17. Mireille Jullien, « Apprendre, Enseigner, Découvrir… » (consulté le ).
  18. « Projet du Parc du Volcan : "Domoun la Plaine" monte au créneau et propose un projet alternatif citoyen », sur Réunion la 1ère (consulté le ).
  19. « Eglise paroissiale Saint-François-de-Sales », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Chapelle dite de l'ex-Apeca », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  21. [PDF]Ministère de la Défense, « Arrêté PPRT signé le 2 mai 2013 », sur Direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement de La Réunion, (consulté le ).