Le Crestet

commune française du département de l'Ardèche

Le Crestet
Le Crestet
Vue générale du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-Rhône
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lamastre
Maire
Mandat
Marie-Laure Blanc
2020-2026
Code postal 07270
Code commune 07073
Démographie
Gentilé Crestois
Population
municipale
522 hab. (2021 en diminution de 0,19 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 55″ nord, 4° 39′ 20″ est
Altitude Min. 290 m
Max. 846 m
Superficie 9,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Vivarais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Le Crestet
Liens
Site web le-crestet.fr

Le Crestet est une commune française, située dans le Sud-Est de la France, dans la vallée du Doux entre Tournon-sur-Rhône et Lamastre. Administrativement, elle appartient à la région Auvergne-Rhône-Alpes et plus précisément au département de l'Ardèche.

La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de Lamastre et ses habitants sont dénommés les Crestois[1].

Géographie modifier

La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

 
Plan du territoire du Crestet.

Situation et description modifier

 
Le village dans son environnement

La commune du Crestet se situe dans le nord du département de l'Ardèche, en plein cœur de la vallée du Doux entre Tournon-sur-Rhône et Lamastre, non loin de cette dernière ville qui est le siège de son canton.

Le centre du bourg est situé (par la route) à 113 kilomètres de la ville de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, à 122 kilomètres de Grenoble, à 255 kilomètres de Marseille et à 574 kilomètres de Paris[2].

Le bourg central est également situé (par la route) à 59,3 kilomètres de Privas, préfecture du département de l'Ardèche[3].

Le territoire commune est constitué d'un bourg central assez peu peuplé et de quelques hameaux disséminés. Le paysage est varié avec des zones boisées, des pâturages remplacés de plus en plus par l'arboriculture de type expansif, peu adapté aux petites surfaces. Les forêts sont constituées de feuillus et de conifères.

Géologie et relief modifier

La nature du sol est de type rocheux avec une épaisseur de terre arable variable mais limitée. La roche est de type grès et ferrugineux. Le relief général est typique de la basse ou moyenne montagne.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 034 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Colombier Jeune Rad », sur la commune de Colombier-le-Jeune à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 965,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Tableaux des températures minimales et maximales en 2013, 2015, et 2017 modifier

2013 modifier
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) 2 0,8 4,8 5,4 9,4 13,9 18,5 16,9 14,4 13,8 5,5 3,5
Température maximale moyenne (°C) 7,8 7,2 12,9 17,2 18,6 25,2 31,2 28,4 25,2 20,4 10,4 10,8
Source : Climat du Crestet en 2013 sur linternaute.com, d'après Météo France.
2015 modifier
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) 2,9 2,3 6,1 8,2 12,6 16,5 19,8 17,5 13,7 9,2 6,5 7,2
Température maximale moyenne (°C) 9,6 8,7 15,2 19,9 23,6 28,7 33 30,4 23 17,1 14,9 12,8
Source : Climat du Crestet en 2015 sur linternaute.com, d'après Météo France.
2017 modifier
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) −0,6 5,4 7 2,4 10,1 17,6 17,6 18,3 12 10,6 5,5 2,9
Température maximale moyenne (°C) 6,2 14,1 17,3 18,5 22,9 29,5 30,9 31,2 24 21,6 12,4 8,4
Source : Climat du Crestet en 2017 sur linternaute.com, d'après Météo France.


Hydrographie modifier

La commune du Crestet est principalement bordé par une rivière, affluent du Rhône, mais son territoire est également sillonné par de nombreux ruisseaux qui la rejoignent au niveau du territoire de la commune :

  • Le Doux est une rivière d'une longueur de 70,1 km de longueur[10], un affluent rive droite du Rhône et qui s'écoule depuis les Monts du Vivarais, jusqu'à Tournon-sur-Rhône où il conflue avec le fleuve méditerranéen. Cette rivière marque les limites septentrionales du territoire boucicois.
  • le Ruisseau du Tincey
  • le Ruisseau de Balaye
  • le Ruisseau de Rochette
  • le Ruisseau du Crestet

Voies de communication modifier

Le territoire de la commune est traversé par trois routes départementales :

  • la route départementale 534 (RD 534) : il s'agit de l'ancienne route nationale 534 qui relie la commune de Lamastre à la commune de Tournon-sur-Rhône. La route a été déclassée en route départementale, à la suite de la réforme de 1972. Cette route passe légèrement au sud du bourg central ;
  • la route départementale 578 (RD 578) : cette route relie la ville d'Annonay à la commune d'Aubenas en traversant les bourg de Lamastre, de Le Cheylard, de Mézilhac et de Vals-les-bains. Cet axe routier traverse le territoire communal au niveau du hameau de Monteil ;
  • la route départementale 209b (RD 209b) : cette route se détache de la RD 209 au niveau du pont de Boucieu pour rejoindre la RD 534 au niveau de la commune du Crestet au niveau du bourg.

Transports publics modifier

Ligne d'autocars modifier

Le réseau régional d'autocars dénommé Le Sept, qui comprend vingt lignes, assure le transport de milliers de voyageurs dans le département de l'Ardèche, en dehors des agglomérations doté d’un réseau urbain local. Le réseau est géré par le conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes et l'exploitation est confiée à des transporteurs privés.

La commune est desservie tous les jours de la semaine par une de ces lignes. Les autocars peuvent être équipés de porte-vélos en saison[11].

Lignes Dessertes Transporteur
Ligne n° 5
Tournon sur RhôneLe CrestetLamastreLe Chambon-sur-Lignon Les courriers rhodaniens

En 2018, cette ligne assure sept arrêts réguliers au niveau du territoire communal : Les Combeaux, Les Saygnas, Village (bourg central), Les Rochettes hautes, Les Rochettes hautes, Les Vernes, Les Fourches.

Ligne de chemin de fer touristique modifier

Le Train de l'Ardèche est le nouveau nom touristique du chemin de fer du Vivarais, souvent dénommé localement sous l'appellation « Le Mastrou », est un chemin de fer touristique à voie métrique qui relie Saint-Jean-de-Muzols (près de Tournon sur Rhône) à Lamastre, en passant par Boucieu-le-Roi et Le Crestet (hameau de Monteil), où se situe une petite halte aménagée où peuvent s'arrêter certains trains. La ligne s'étend sur une distance de 33 km.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Le Crestet est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,7 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), prairies (11,6 %), zones urbanisées (3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)[17].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine modifier

Le Crestet est un petit village de type rural, composé d'un bourg de taille modeste et entouré de très nombreux hameaux disséminés dans un secteur de basse montagne.

La communauté d'agglomération Arche-Agglo accompagne le développement raisonné de l’habitat sur l'ensemble des communes qui composent son territoire, afin de favoriser l’installation, le maintien à domicile et le parcours résidentiel des résidents[18].

Logements modifier

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

Installé en hauteur, Monteil est un des principaux hameau du Crestet. Il existe également les hameaux de Rompion, Bouton, Bonneton, la Combe, le Blanchet, Sagans, La Combe, Fayat, Padel, les Durantons.

Risques naturels modifier

Risques sismiques modifier

La totalité du territoire de la commune du Crestet est situé en zone de sismicité n°3, comme la plupart des communes situées dans cette partie du département, les communes du plateau et de la montagne ardéchoise, situées plus à l'ouest, sont en zone de sismicité n° 2[19].

Terminologie des zones sismiques[20]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques modifier

Toponymie modifier

Histoire modifier

Préhistoire et Antiquité modifier

Selon Pline l'ancien dans son Histoire naturelle[21] la région située autour Valentia se dénommait « regio Segovellaunorum ».

Il s'agit en fait d'un peuple gaulois dénommé les Segovellaunes, à l’époque préromaine et qui étaient, géographiquement, situés de part et d'autre du Rhône moyen, et toute la plaine de Valence, l'actuel Valentinois.

Si l'on considère l'oppidum du Malpas comme chef-lieu, le vaste domaine des Segovellaunes devait également s'étendre à l’ouest, sur la rive droite du Rhône, dans la région montagneuse comprise entre l’Eyrieux et le Doux, dans l'actuel Haut-Vivarais où se situe l'actuel territoire du Crestet. Les Helviens, autre peuple gaulois de l'Ardèche, se positionnait dans la partie méridionale de ce département.

Moyen Âge modifier

Temps modernes modifier

Époque contemporaine modifier

Politique et administration modifier

 
Mairie du Crestet

Administration municipale modifier

A l'issue des élections municipales de 2017, le conseil municipal est composé de quinze membres, soit dix hommes et cinq femmes[22].

Tendances politiques et résultats modifier

Élections municipales modifier

La majeure partie des membres du conseil élu en 2014 ont démissionné en [23]. De nouvelles élections avaient été organisées en novembre 2017.

Le conseil municipal est composé de quinze élus, dont trois adjoints[24].

Élections présidentielles modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Georgette Duclaux    
mars 2008 2018 Michel Abattu[25] DVD Retraité
2018 En cours
(au [26])
Marie-Laure Blanc DVD  

Finances locales modifier

Jumelages modifier

Au , la commune du Crestet n'est jumelée avec aucune autre commune de France où d'Europe[27].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 522 habitants[Note 2], en diminution de 0,19 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
364535469627579660601620777
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
764824795731742751725806800
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
726654609602610584581515518
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
404415405436515510532531538
2014 2019 2021 - - - - - -
526520522------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipements sportifs modifier

Équipements culturels modifier

Médias modifier

La commune est située dans l'aire de distribution de deux titres de la Presse régionale :

  • L'Hebdo de l'Ardèche : il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence. Il couvre l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
  • Le Dauphiné libéré : il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition d'Annonay-Tournon-Nord-Ardèche.

Cultes modifier

La communauté catholique et l'église du Crestet (propriété de la commune) dépendent de la paroisse « Saint Basile Entre Doux et Dunière » dont la maison paroissiale, située à Lamastre, est rattachée au diocèse de Viviers[32].

Événements culturels modifier

Économie modifier

Emploi modifier

Fiscalité modifier

Secteur agricole modifier

Historiquement, l'élevage et la castanéiculture ont laissé progressivement place à la culture de différents types de fruits suivant les zones allant de la cerise à la framboise en passant par la framboise, l'abricot, pomme et poires.

Secteur commercial et touristique modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine architectural modifier

Patrimoine naturel modifier

Langues et traditions locales modifier

Le territoire de la commune du Crestet (Lo Crestet) se situe dans la partie septentrionale du secteur des idiomes vivaro-alpins[33], ce dernier étant un dialecte de l'occitan[34].

L'occitan est la langue utilisée pour le chant « patriotique » ardéchois, l'Ardecho, quelquefois interprétée lors de manifestations festives.

Héraldique et logotype modifier

Le Crestet possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Nom des habitants de la commune du Crestet sur le site habitants.fr de la société Patagos (consulté le 11 février 2019).
  2. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. Distance entre Le Crestet et Privas sur le site l-itineraire.com.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Le Crestet et Colombier-le-Jeune », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Colombier Jeune Rad », sur la commune de Colombier-le-Jeune - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Colombier Jeune Rad », sur la commune de Colombier-le-Jeune - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Doux (V37-0400) » (consulté le ).
  11. Page transport interurbain - Ardèche, sur le site de la région Auvergne-Rhône-Alpes
  12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. Page urbanisme et habitat sur le site de la communauté d'agglomération Hermitage-Tournonais-Herbasse-Pays de Saint Félicien.
  19. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  20. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  21. Pline, H.N. III, 4, 34
  22. Page sur Le Crestet, sur webvilles.net.
  23. « Le Crestet : douze élus démissionnent, le maire se retrouve seul », sur ledauphine.com, .
  24. « L'Equipe Municipale », sur le-crestet.fr, Mairie du Crestet (consulté le ).
  25. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  26. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  27. « Accueil AFCCRE », sur le site de l'association française du conseil des communes de l'Europe (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Site Ardèche-catholique, page sur la paroisse "Saint Basile Entre Doux et Dunière".
  33. Site Occitania, carte « Où parle-t-on occitan en Rhône-Alpes ? ».
  34. Jean-Marie Klinkenberg, Des langues romanes. Introduction aux études de linguistique romane, De Boeck, 2e édition, 1999,