Le Caule-Sainte-Beuve

commune française du département de la Seine-Maritime

Le Caule-Sainte-Beuve
Le Caule-Sainte-Beuve
La mairie et l'église Saint-Jean.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Chantal Benoît
2020-2026
Code postal 76390
Code commune 76166
Démographie
Gentilé Caulois
Population
municipale
482 hab. (2021 en diminution de 1,43 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 28″ nord, 1° 35′ 23″ est
Altitude Min. 161 m
Max. 241 m
Superficie 16,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Liens
Site web http://www.lecaulesaintebeuve.fr/

Le Caule-Sainte-Beuve est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune est constituée d'un ensemble de hameaux agricoles normands situés en limite de la Basse Forêt d'Eu[1], limité au sud par l'ancienne RN 29 (actuelle RD 929).

Elle est aisément accessible par l'autoroute A29.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Aubermesnil-aux-Érables, Auvilliers, Flamets-Frétils, Illois, Landes-Vieilles-et-Neuves, Nullemont, Rétonval, Sainte-Beuve-en-Rivière et Saint-Germain-sur-Eaulne.

Hydrographie modifier

Une source intermitente du fleuve côtier l'Yères se trouve dans le vallon dénommé le Puits à Corbeau[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 925 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bouelles à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Le Caule-Sainte-Beuve est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,8 %), forêts (28,9 %), prairies (23,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), zones urbanisées (1,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

Le Caule-Sainte-Beuve est constitué de divers hameaux :

  • Le Caule, chef-lieu de la commune ;
  • Les Ventes-Mésangères, qui fut jusqu'en 1822 une commune ;
  • Sainte-Beuve-aux-Champs], qui fut jusqu'en 1824 une commune ;
  • L'Aventure ;
  • Le Bord des Bois ;
  • Génétrelle.

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 230, alors qu'il était de 225 en 2013 et de 206 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 85,9 % étaient des résidences principales, 10,7 % des résidences secondaires et 3,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,4 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Caule-Sainte-Beuve en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,7 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (83 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement au Le Caule-Sainte-Beuve en 2018.
Typologie Le Caule-Sainte-Beuve[I 1] Seine-Maritime[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 85,9 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 10,7 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 3,4 8,1 8,2

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Chaable en 1119, Caable fin du XIIe siècle[15].

Cette dénomination, issue du latin catabola pour abattre , du grec kata (dictionnaire historique Robert), aurait la même originie la même origine que le terme forestier chablis, qui désigne des arbres abattus ou déracinés par le vent ou la tempête[16].

L'hagiotoponyme, Sainte-Beuve, est emprunté à l'ancienne commune Sainte-Beuve-aux-Champs en 1824[17].

Histoire modifier

Préhistoire modifier

« Un ciseau poli en silex, une hachette polie de même matière et un marteau perforé en diorite, long de 9 centimètres et ayant la forme d'une masse à cailloux » de l'époque néolithique ont été découverts dans la commune au XIXe siècle[18].

Antiquité modifier

Des tuiles romaines ont été découvertes aux Ventes-Mésangères.

Temps modernes modifier

En 1634 est créée une verrerie au Caule, puis une autre en 1830. Elles fonctionnent peu de temps[19].

Époque contemporaine modifier

 
L'ancienne gare des Landes-le-Caule, devenue une habitation.

La commune du Caule, instituée par la Révolution française, absorbe en 1822 celle de Les Ventes-Mésangères et devient Le Caule-les-Ventes. En 1824, celle-ci absorbe Sainte-Beuve-aux-Champs et prend son nom actuel du Caule-Sainte-Beuve[17].

La gare des Landes-le-Caule, situé aux Landes-Vieilles-et-Neuves en limite du Caule, était desservie de 1906 à 1947 par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique Aumale-Envermeu des Chemins de fer départementaux de la Somme (bien que située en Seine-Maritime).

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie de 1802 à 1952 du canton de Blangy-sur-Bresle, année où elle intègre le canton d'Aumale[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Gournay-en-Bray

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la petite communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.

Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prescrit que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, celle-ci a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle, dont la commune est désormais membre.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Juin 1823 1831 Jacques Marie Auguste Boulenger    
1831 1845 Pierre Alexandre Pascal Nasse    
1845 1849 Jean-Pierre Quesnel    
1849 1849 Antoine Cossard    
1849 1865 Waning Calon    
1865 1870 Edouard Chevallier    
1870 1871 Abel Hurpin    
1871 1878 César Poussard    
1878 1884 Waning Calon    
1884 1908 César Poussard[Note 2]    
1908 1912 Athanase Gressent    
1913 1919 Jean Georges Baqué    
1919 1928 Gustave Brunet[Note 3]    
1929 1937 Gabriel Gressent    
1937 1954 Gabriel Allais    
1954 1956 Georges Bourel    
1956 1968 Michel Macré    
1969 1983 Mireille Allais    
mars 1983[21] En cours
(au 26 mai 2023)
Chantal Benoit DVG/PCF[22],[23] Professeur de français et histoire-géographie au lycée professionnel de Neufchâtel-en-Bray
Réélue pour le mandat 2020-2026[24],[25]

Équipements et services publics modifier

La commune se dote en 2023 d'une maison multi-services, aménagée dans la « maison Prévost  » accueillant une boutique de vente de produits locaux, café/bar, des livres en accès libre, un cabinet d'esthéticienne et un salon de coiffure à l'étage[26],[27].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 482 habitants[Note 4], en diminution de 1,43 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
459334408402770791834839838
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
841826808814772731688662700
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
610630603569585571547605586
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
577513472418432402366364448
2014 2019 2021 - - - - - -
485482482------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Après des essais infructueux d'installation de distributeurs automatiques de boucherie et de pain[31], une boulangerie a ouvert en mars 2019 dans une ancienne boucherie devenue propriété communale[32].

Une cidrerie artisanale est présente depuis la fin des années 2000[33] et un brasseur artisanal s'est implanté dans la commune fin 2018[34],[35].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Barthélémy ou Sainte-Beuve, à Sainte-Beuve, qui conserve des éléments du XIe siècle, mais date principalement des XVIIe et XVIIIe siècles.
  • Église Saint-Éloi, aux Ventes-Mésangères, du XVIIe siècle, en briques rouges, qui est la dernière dépendance de l’ancienne abbaye de Foucarmont. Sa cloche datant de 1588 serait la plus ancienne de Normandie[36]
  • Église Saint-Jean, au Caule, dont le chœur en briques rouges, est du XVIe ou du XVIIe siècle, mais la nef de 1822 et le clocher du XVIIIe siècle. Elle contient un beau retable en bois à colonnes torses du milieu du XVIIe siècle qui proviendrait de l'ancien couvent des pénitants de Neufchâtel[19].
  • La maison forestière de Penthièvre aux Ventes-Mésangères, datant de 1881, propriété de la commune[37] et utilisée comme gite à l'entrée de la Forêt d'Eu[1].
  • Un arbre remarquable est référencé, le Hêtre du Mont-Robert[38]

L’Aventure dans les Arts modifier

Un village L'Aventure est cité dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[39].

Il n'existe pas de commune de ce nom en France métropolitaine, ni dans les DOM-TOM.

Toutefois, le Géoportail de l'IGN[40] trouve sous ce nom un hameau du Caule-Sainte-Beuve. ViaMichelin propose à cet endroit un hameau orthographié Laventure.

Compte tenu de la taille de ce hameau, cette localisation n'est pas convaincante et il est préférable de retenir que l'Aventure est un hameau du Bec-Hellouin.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Roger Cressent (1911-1989), enseignant, combattant volontaire de la résistance, chevalier de la Légion d'honneur, né au Caule-Sainte-Beuve[réf. nécessaire].
  • Sergent Pierre Dauge, opérateur radio d'un avion français LeO 45 no 29 abattu au Caule-Sainte-Beuve le lors de la Bataille de France. Il est le seul tué des quatre membres de l'équipage et une rue de la commune porte son nom. Une stèle se trouve devant le cimetière de Sainte Beuve aux champs[41],[42].
  • Abbé Delforge, né en 1911, curé du village de 1948 à 1995, soit près d'un demi-siècle. Il est à l'origine de la transformation du presbytère en mairie[16].

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Décédé le 13/05/1908
  3. Décédé le 24/10/1928
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a b et c « Histoire et Tourisme au Caule Sainte Beuve », Commune du Caule Sainte Beuve (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Le Caule-Sainte-Beuve et Bouelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime - Page 57.
  16. a et b « À la découverte de Caule Sainte-Beuve : Chaque semaine cet été, Le Réveil vous propose de découvrir un village de la vallée de la Bresle à travers son histoire, un personnage marquant ou bien encore un lieu incontournable de la commune. Cette semaine, direction Le Caule-Sainte-Beuve », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3668,‎ , p. 14.
  17. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. L. Quenouille, « Inventaire des découvertes pour les temps néolithiques dans l'arrondissement de Neufchâtel-en-Bray », Bulletin de la société normande d'études préhistoriques, t. V,‎ , p. 56-109 (lire en ligne, consulté le ).
  19. a et b Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 178, lire en ligne sur Gallica.
  20. M. Coffin, G. et L. Gaudefroy, Promenade géographique historique touristique en Pays de Bray et en Vallée d'Yères, Tome VI. Editions Bertout (ISBN 2-86 743 196-4) page 169 Maires du Caule Ste Beuve
  21. Vincent Bény-Thoreux, « Municipales : partira ou partira pas ? », Le Réveil, édition Oise normande, no 3522,‎ , p. 13.
  22. Vincent Beny, « Sénatoriales 2020. Chantal Benoit (Le Caule-Sainte-Beuve) candidate sur la liste du parti communiste : Chantal Benoit est candidate aux élections sénatoriales du 27 septembre 2020. Elle est en 3e position sur la liste de Céline Brulin pour le Parti communiste », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Maxime Bouhier, « Normandie : Chantal Benoit se présente sur la liste de Sébastien Jumel pour les élections régionales : En vue des prochaines élections régionales, Sébastien Jumel mènera une des listes candidates en Normandie. Chantal Benoit, maire du Caule-Sainte-Beuve, est engagée à ses côtés », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Vincent Bény-Thoreux, « Chantal Benoit : « Je suis encore plus motivée » », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 2630,‎ , p. 15.
  25. Lucie Rochette--Montalieu, « Chantal Benoît, quarante ans à la tête de la mairie du Caule-Sainte-Beuve : Élue en 1983, Chantal Benoît vient de fêter ses quarante ans de mandat à la tête de la commune du Caule-Sainte-Beuve (Seine-Maritime). Un poste qu'elle ne veut pas encore quitter », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Romain Amichaud, « Réhabilitation dans Le Caule-Sainte-Beuve: un accueil multiservice pour 2023 : Vendue aux enchères, une maison de maître a été acquise par la municipalité. Le premier objectif étant de valoriser le patrimoine local et créer un espace », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Nous l'avons achetée à cause de sa situation dans le village. Cette maison de maître est un bâti ancien en brique avec couverture ardoise. Elle existe déjà sur le cadastre napoléonien de 1823. Sa parcelle de 2 200 m² et sa position sont intéressantes. La maison jouxte le plateau sportif et la salle des fêtes ».
  27. Romain Amichaud, « La maison multi-services ouvrira en juin au Caule-Sainte-Beuve : Derrière la salle des fêtes au Caule-Sainte-Beuve, une maison a été acquise par la commune. Elle offrira à partir de juin différents services dont une coiffeuse et esthéticienne », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Vincent Beny, « Les distributeurs de viande et pain près d’Aumale sont fermés : À peine un an après leur installation, les deux distributeurs de viande et de pain au Caule Sainte-Beuve et Illois près d’Aumale sont à l’arrêt. Sans surprise pour beaucoup », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Vincent Beny, « Une boulangerie ouvrira le 18 mars au Caule-Sainte-Beuve, près d’Aumale (Seine-Maritime) : Les nouveaux boulangers de Richemont ont décidé d'ouvrir une annexe au Caule-Sainte-Beuve, près d'Aumale. Ouverture prévue le 18 mars », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Raphaël Moury, « Le Caule-Sainte-Beuve : Monique et Dominique Leroux produisent du cidre et du vinaigre de cidre : Le Caule-Sainte-Beuve. Monique et Dominique Leroux produisent depuis une dizaine d’années du cidre et du vinaigre au sein de la cidrerie du Petit clos », Paris Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ),Site de la cidrerie du Petit Clos.
  34. Vincent Beny, « Brasserie Sainte-Beuve. Les premières bières attendues en novembre près d’Aumale : Les premières bières de la brasserie Sainte-Beuve devraient sortir en novembre prochain. La cave Silène et la bière Cauloise sont très attendues », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Romain Amichaud, « La brasserie du Caule-Sainte-Beuve peut enfin servir ses breuvages : Nicolas Robert brasse, vend et livre sa bière bio dans la région depuis 3 ans et demi. Grâce à l'obtention d'une licence 3, il peut servir ses breuvages directement à sa brasserie », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Romain Amichaud, « La question pas si bête : Où se trouve la plus vieille cloche de Normandie ? : La date de 1588 est inscrite sur la cloche. Elle est abritée dans une chapelle qui se trouve à l'orée de la forêt d'Eu (Seine-Maritime). L'édifice date aussi du XVIe siècle », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Le Caule-Sainte-Beuve : la commune achète un gîte rural : La commune a racheté la maison forestière », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Arbre remarquable Le Hêtre du Mont Robert », sur normandie-tourisme.fr (consulté le ).
  39. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
  40. « Géoportail », sur gouv.fr (consulté le ).
  41. « LeO 451 n°29 », sur aerosteles.net (consulté le ).
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