Lanrelas

commune française du département des Côtes-d'Armor

Lanrelas [lɑ̃ʁəla] Écouter est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne. Ses habitants sont les Lanrelasiens et les Lanrelasiennes.

Lanrelas
Lanrelas
Église Saint-Jean-Baptiste de Lanrelas.
Blason de Lanrelas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Lamballe Terre et Mer
Code postal 22250
Code commune 22114
Démographie
Gentilé Lanrelasien, Lanrelasienne
Population
municipale
856 hab. (2021 en augmentation de 4,39 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 09″ nord, 2° 17′ 32″ ouest
Altitude 110 m
Min. 80 m
Max. 145 m
Superficie 29,4 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Broons
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lanrelas

Géographie modifier

Situation modifier

Lanrelas est équidistant de Rennes et de Saint-Brieuc (56 km via la RN 12 en 2×2 voies). Les limites sud et ouest de la commune permettent également un accès rapide à la RN 164, axe routier central de la Bretagne.

Cadre géologique modifier

 
Carte géologique du Massif armoricain.

Le Pays de Lanrelas est situé dans le domaine centre armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui correspond à un vaste synclinorium s'allongeant sensiblement en direction W-E, depuis la presqu'île de Crozon jusqu'au bassin de Laval. Ce bassin sédimentaire est principalement constitué de schistes briovériens (sédiments issus de l'érosion du segment occidental de la chaîne cadomienne et qui se sont accumulés sur plus de 15 000 m d'épaisseur)[1]. L'histoire géologique de la région est marquée par la phase orogénique bretonne du cycle varisque, au début du Carbonifère inférieur, ou Tournaisien, il y a environ 360 Ma. La collision continentale au cours de l'orogenèse varisque proprement dite se traduit dans le Massif armoricain par un métamorphisme général de basse-moyenne pression, formant les schistes et micaschistes, par des phases de cisaillement et par une anatexie générant migmatites et granitoïdes. Elle se traduit ainsi dans la région par la mise en place de nombreux massifs intrusifs à travers les schistes cristallins, concomitamment aux cisaillements et à ce métamorphisme : massif granitique de Plœuc-Moncontour, massif monzogranitique de Plémet-Gomené, complexe plutonique de Plouguenast (magmatisme calédonien à l'origine des intrusions de diorite quartzique et de leucogranite plus ou moins orthogneissifiés, datés respectivement à 485 ± 10 Ma et 450 ± 10 Ma) et des Landes du Mené (massifs de Saint-Jacut-du-Mené et Lanrelas, constitués de diorite quartzique). Leur mise en place est contrôlée par le Cisaillement Nord-Armoricain[Note 1] de direction WNW-SSE dans cette région[2].

La diorite quartzique « généralement grisâtre, à grain grossier à moyen, porphyroïde, est riche en biotite et en feldspaths. L'analyse pétrographique montre que les feldspaths sont essentiellement représentés par des plagioclases (An 30-35) souvent en gros individus subautomorphes entre lesquels s'observent parfois des plagioclases zonés plus globuleux (Sud de la Ville Hellen et Nord de Brandesec, au Sud-Est de Langourla). Ces plagioclases peuvent présenter des macles complexes : le zonage y est particulièrement bien marqué. Les biotites sont nombreuses, chloritisées, quelquefois en cristaux assez petits entourant les plagioclases. Le quartz interstitiel est présent en quantités assez variables suivant les affleurements, parfois en plages importantes, millimétriques ou en amas microcristallins[3] ».

Hydrographie modifier

Le territoire communal est traversé d'ouest en est par la Rance, fleuve côtier qui prend sa source à une vingtaine de kilomètres en amont. Une autre petite rivière, la Rosette, serpente sur quelques kilomètres de la partie nord du territoire communal.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[5]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 764 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Merdrignac à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 905,0 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communication et transports modifier

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lanrelaz en 1239[11], Ecclesia de Lanrelas en 1330 [12], Lanrelas en 1405, Parrochia d'Anrelas en 1451[11], Lanrelas en 1453[13], Lanrelay au XVe siècle[12], Laurelais en 1630[13].

L'origine du toponyme Lanrelas reste obscure. La première partie vient probablement du breton lan signifiant "ermitage".

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lanrelas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), prairies (11,9 %), forêts (8,6 %), zones urbanisées (1,8 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Moyen-Âge modifier

Du Moyen-Âge jusqu'à la fin de l'année 1789, la paroisse était une entité à la fois religieuse et administrative. Lanrelas était une paroisse du diocèse de Saint-Malo.

La Révolution française modifier

Lanrelas devient officiellement une commune par la loi du votée par l'Assemblée Constituante. La première municipalité est élue au tout début de .

Quelques événements relatifs à cette période :

  • Le , Gabriel Mauny, vicaire constitutionnel, est tué par les Chouans au lieu-dit Le Rohan[20].
  • Le , des Chouans brûlent les archives de la municipalité[20].
  • Le , Jean-Guillaume Bellouard, recteur réfractaire, est mis à mort par les Colonnes mobiles près du lieu-dit Les Ponts[20].
  • Le puis le , des Chouans menés par un certain Du Jardin font irruption dans la commune[20].
  • En mars 1812, le chœur et la sacristie de l'église ont été détruits par un incendie.
  • En 1830, la sacristie brûle de nouveau[20].

Pierre Robinault de Saint-Régeant, officier chouan, lieutenant de Georges Cadoudal, est né à Lanrelas le au lieu-dit actuel Saint-Régent[21]. Il est l'un des auteurs, avec Joseph Picot de Limoëlan, de l'attentat de la rue Saint-Nicaise. Capturé, il sera guillotiné à Paris le [20].

Le XXe siècle modifier

La Première Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Lanrelas porte les noms de 112 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[22].

Un soldat originaire de Lanrelas, Marie-Ange Oger[23], soldat au 48e régiment d'infanterie, fut fusillé pour l'exemple le à Berneville (Pas-de-Calais)[24].

La Seconde Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Lanrelas porte les noms de 5 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale :

  • Ernest Robert, décédé lors du bombardement de Rennes le [25].
  • Le , en représailles d'une absence de fourniture de 30 bicyclettes à une compagnie de Chasseurs Parachutistes allemands[26], une rafle est effectuée dans les abords du bourg ; les hommes sont conduits à l'école du Bourg-Neuf. L'un d'eux, Marcel Lemoine[27], tente de s'enfuir. Il est mortellement blessé d'une balle tirée dans le dos[28].
  • Henri Chevalier, né le à Broons (Côtes-du-Nord), travailleur requis du STO en Allemagne, arrêté par la Gestapo pour attitude anti-allemande le , interné successivement dans les camps de concentration de Sachsenhausen puis Neuengamme, mort d'épuisement alors qu'il était affecté au kommando de Meppen Versen le [25].
  • Marcel Brisorgueil, né le à Lanrelas, travailleur requis du STO en Allemagne, fut arrêté le par la Gestapo pour avoir écouté la radio anglaise. Interné au camp de concentration d'Oranienbourg-Sachsenhausen, il décéda le à Bergen-Belsen[25].
  • Albert Villory, décédé en captivité.

L'après-Seconde-Guerre-mondiale modifier

Deux soldats originaires de Lanrelas sont décédés pendant la guerre d'Algérie :

Héraldique modifier

  Blasonnement :
D'azur aux dix billettes d'argent vidées du champ, ordonnées 4, 3, 2 et 1.

Politique et administration modifier

Appartenant à la Communauté de communes du Pays de Du Guesclin jusqu'au , Lanrelas est rattaché depuis le à la Communauté d'agglomération Lamballe Terre et Mer.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
août 1800 mars 1808 Pierre Pescheloche    
avril 1808 septembre 1816 Guy Marie Davy    
octobre 1816 mars 1832 Mathurin Tournatory    
avril 1832 décembre 1834 Guy Marie Davy    
janvier 1835 juillet 1839 Pierre Chicouène    
août 1839 décembre 1851 Mathurin Tournatory    
décembre 1851 juin 1856 Pierre Fiacre Lemoine    
juillet 1856 octobre 1865 Mathurin François Gérard    
octobre 1865 mai 1873 Jean Marie Gérard    
septembre 1873 janvier 1881 Pierre Chicouène    
janvier 1881 avril 1897 Joseph Blanchard   Laboureur
mai 1897 avril 1916 Marie Ange Gautier   Cultivateur
décembre 1919 < mai 1952 Aristide Ermel   Clerc de notaire
? mars 1977 Raymond Gougeon   Notaire
mars 1977 mars 1989 René Lemarchand   Retraité
mars 1989 mars 2008 Annick Amice UMP Vice-présidente et DRH du groupe avicole Amice-Soquet
Conseillère générale de Broons[29] (2008 → 2015)
Vice-présidente de la CC du Pays de Du Guesclin (1994 → 2008)
mars 2008 mars 2014 Michel Hauss   Notaire
mars 2014 En cours
(au 23 mai 2022)
Yves Lemoine DVD Retraité de la fonction publique
13e vice-président de la CA Lamballe Terre et Mer[30]
Réélu pour le mandat 2020-2026

Démographie modifier

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5061 4421 3811 6891 7991 7011 6241 5911 769
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7671 7781 8011 7631 8171 8901 9021 9251 904
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9411 9881 9691 7511 6721 6301 5681 4751 396
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 3281 2341 1261 061916868854850819
2018 2021 - - - - - - -
845856-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

 
La Roche au Géant.

Le site des Aulnais modifier

 
Le sentier botanique (site des Aulnais).
 
Les chaos de la Rance (site des Aulnais).

Situé sur la D 46 en direction de Plumaugat, au niveau de la piscine.

  • Le sentier botanique : un circuit balisé permet d'observer plus d'une centaine d'espèces botaniques.
  • Les chaos de la Rance : ces gros blocs de diorite[33] sont accumulés, depuis près de 500 millions d'années, dans le lit de la Rance. D'autres blocs de même nature restent accrochés sur les flancs de la vallée, ce qui a alimenté la légende de la Roche au Géant.
  • La Roche au Géant : un imposant monolithe repose sur deux blocs dioritiques. L'érosion naturelle a façonné la pierre de cavités dont la légende évoquait des vestiges druidiques ayant donné lieu à des rites sacrificiels.
  • Le menhir de la Glinaie.

L'église Saint-Jean-Baptiste modifier

  • Elle a été construite de 1589 à 1606 puis restaurée en 1680[34].
  • Par suite de délabrement, le clocher a dû être reconstruit en 1846[34].
  • Une restauration complète du clocher a été effectuée à l'automne 2020.

Le calvaire modifier

  • Situé à l'angle sud-ouest de l'église, ce monument sculpté date du XVIe siècle.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Décrochement dextre qui peut être estimé à 3-4 km et qui s'étend depuis l'île de Molène, passe par le mont Bel-Air (point culminant des Côtes-d'Armor) et s'amortit dans le bassin de Laval. Ce linéament médio-armoricain se manifeste dans la région par une déformation qui affecte les granites essentiellement par cataclase se traduisant par une foliation redressée et allant jusqu'à la formation de mylonites.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Yann Bouëssel Du Bourg, La Bretagne, Éditions d'Organisation, , p. 23.
  2. Bruno Cabanis, Découverte géologique de la Bretagne, Cid éditions, , p. 30-32.
  3. Serge Régnault et al., Notice explicative de la feuille broons a 1/50 000, éditions BRGM,1983, p. 18
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Lanrelas et Merdrignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Merdrignac » (commune de Merdrignac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Merdrignac » (commune de Merdrignac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. a et b infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Lanrelas ».
  12. a et b Pouillé de Tours
  13. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a b c d e et f Préfecture des Côtes-du-Nord, Eléments d'histoire et d'archéologie, communes de l'arrondissement de Dinan, Saint-Brieuc, .
  21. http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/EC/ecx/consult.aspx?image=051734348004675
  22. Memorialgenweb.org - Lanrelas : monument aux morts
  23. Marie-Ange Oger, né en 1891 à Lanrelas
  24. Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
  25. a b c d et e Mairie de Lanrelas - État-civil
  26. tual, « Fallschirmjäger Regiment 13 », sur actifs.com, (consulté le ).
  27. Marcel Lemoine, né en 1919
  28. https://www.ouest-france.fr/bretagne/lanrelas-22250/il-y-70-ans-un-jeune-homme-de-25-ans-etait-abattu-2555953
  29. [1]
  30. [2]
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. https://sgmb.univ-rennes1.fr/images/excursions/rance.pdf
  34. a et b Archives départementales 22

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • En pays rural, photographies de Alain Robert, textes de Elie Geffray, (ISBN 2-950-2844-0-X).
  • Éléments d'histoire et d'archéologie, Communes de l'arrondissement de Dinan, Préfecture des Côtes-du-Nord, 1975.
  • Jean Lorédan, La machine infernale de la rue Nicaise (3 nivôse, an IX), Paris, Librairie Académique Perrin, 1924.

Liens externes modifier

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