Labroye

commune française du département du Pas-de-Calais

Labroye
Labroye
Le monument aux morts et l'église Saint-Martin.
Blason de Labroye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté de communes des 7 Vallées
Maire
Mandat
Hubert Hecquet
2020-2026
Code postal 62140
Code commune 62481
Démographie
Gentilé Arboredois
Population
municipale
146 hab. (2021 en diminution de 12,57 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 16′ 44″ nord, 1° 59′ 25″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 117 m
Superficie 8,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Labroye
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Labroye
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Labroye

Labroye est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Limite départementale dans la commune.

Labroye est un village du sud du Pas-de-Calais, limitrophe du département de la Somme avec l' Authie qui sépare les deux départements. Il est situé dans un environnement de coteaux donnant sur le plateau cultivé et boisé. Le village retient l'attention par ses maisons picardes traditionnelles aux soubassements de silex enduits de goudron et surmontés de murs blanchis à la chaux.

Le village est traversé par deux routes départementales : l'une nord-sud reliant Hesdin à Abbeville, l'autre est-ouest d'Auxi-le-Château vers Berck et les plages de la Côte d'Opale.

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes, dont une dans le département de la Somme :

Communes limitrophes de Labroye
Raye-sur-Authie Regnauville Caumont
 
Le Boisle
(Somme)
Tollent

Hydrographie modifier

 
L'Authie.

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par l'Authie, cours d'eau naturel de 108,18 km, qui prend sa source dans la commune de Coigneux, située dans le département de la Somme, et qui se jette dans la Manche entre les communes de Berck et de Fort-Mahon-Plage[1].

Paysages modifier

 

La commune s'inscrit dans le milieu du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[2].

Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 872 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 20 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la forêt de Labroye et les côtes de Biencourt. Cette ZNIEFF est située dans le complexe écologique de la moyenne vallée de l’Authie et de ses versants, la forêt de Labroye en occupant la partie centrale[10].

et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie. Cette ZNIEFF de la moyenne vallée de l’Authie comprend une organisation paysagère régulière avec le fond de vallée humide, des versants calcaires, pentes boisées et hauteurs cultivées[11].

Site Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les pelouses, bois, forêts neutrocalcicoles et système alluvial de la moyenne vallée de l'Authie, d’une superficie de 115 hectares et d'une altitude variant de 17 à 138 mètres[13].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Labroye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,6 %), forêts (34,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), prairies (7,9 %), zones urbanisées (2,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Transports en commun modifier

La localité est desservie par la ligne de bus no 16 (Hesdin - Abbeville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France. La société Voyages Dumont effectue le service chaque jour sauf pendant les vacances scolaires, le dimanche et les jours fériés[20].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Arboreda (1114) ; Lalberiacum, Lalberia (fin XIe siècle) ; Arborea (1167) ; Arbroia (1226) ; Arberia (1256) ; L’Arbroie (1259) ; Larbraie (1282) ; Arbroya (XIIIe siècle) ; Abroya (XIIIe siècle) ; Larbroie (XIIIe siècle) ; Larbroye (1300) ; L’Abroie (1323) ; Labroie (1327) ; Arbroye (1774) ; La Broye (XVIIIe siècle)[21].

Le français arbre en tant que tel n'est pas fréquent dans la toponymie[22]. De la Langue d'oïl arbrée, arbroie « lieu planté d'arbres, verger »[23].

Histoire modifier

  • Le village a été occupé depuis les temps préhistoriques : des pierres taillées ont été retrouvées dans les labours, dans la vallée de l'Authie.
  • La seigneurie a été détenue par la famille d'Ailly, en commun avec la seigneurie du Boisle, commune voisine[24].
  • Pendant la Seconde Guerre mondiale, une rampe de lancement de V1 a été installée par l'occupant allemand.

Politique et administration modifier

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Découpage territorial modifier

Commune et intercommunalités modifier

Circonscriptions administratives modifier

Circonscriptions électorales modifier

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1971 Raoul Dubois    
1971 2014[25] Pierre Brussart[26]   Agriculteur retraité
2014 En cours
(au 24 mars 2022)
Hubert Hecquet   Cadre de la fonction publique[27],[28]
Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30],[31]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 146 habitants[Note 5], en diminution de 12,57 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
341199363329375361347335354
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
342368342331308283279291269
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
268260297247237215187199200
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
174181144146157173166164180
2014 2019 2021 - - - - - -
163154146------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 83 hommes pour 76 femmes, soit un taux de 52,20 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
0,0 
5,0 
75-89 ans
9,5 
23,7 
60-74 ans
20,3 
25,0 
45-59 ans
24,3 
10,0 
30-44 ans
23,0 
17,5 
15-29 ans
10,8 
17,5 
0-14 ans
12,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Enseignement modifier

Jusqu'en 2019, un regroupement pédagogique intercommunal scolarise les élèves de la commune avec ceux du Boisle où vont les enfants relevant de l'enseignement maternel.

L'école ferme en . Les élèves du village doivent rejoindre le regroupement pédagogique concentré qui vient d'être construit à Gueschart, sous la compétence de la communauté de communes du Ponthieu-Marquenterre[38].

Économie modifier

Un camping, un restaurant et quelques chambres d'hôtes permettent des activités touristiques de loisir chasse, pêche, promenades, ainsi que la possibilité de rayonner vers les autres villages de la région réunis en une communauté dite des Sept Vallées.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules, au chef échiqueté d'azur et d'argent de deux tires[40].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Authie (E5500570) » (consulté le )
  2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Labroye et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « ZNIEFF 310013295 - Forêt de Labroye et Côtes de Biencourt », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013733 - La moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  13. « Natura 2000 FR3100489 - Pelouses, bois, forêts neutrocalcicoles et système alluvial de la moyenne vallée de l'Authie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  21. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 214.
  22. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France : essai de toponymie, Errance, , p. 207.
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1322.
  24. Courrier picard, « Le Boisle, un saule et un échiquier », édition Picardie maritime, , p. 11.
  25. « Bilan des maires : élu à Labroye depuis 1971, Pierre Brussart n’exclut pas la possibilité d’un nouveau mandat : Pierre Brussart, 74 ans, est agriculteur retraité. Il est entré au conseil municipal en 1970 et a été élu maire en 1971 sans se présenter à ce poste. C’est Raoul Dubois, le maire de l’époque, qui l’a installé à sa place, après maintes discussions. Il est président du syndicat des eaux depuis 1976, membre du bureau de la communauté de communes de l’Hesdinois et du syndicat mixte du traitement des déchets de Beaurainville », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Labroye : Pierre Brussart a été nommé maire honoraire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Labroye : Hubert Hecquet élu pour un premier mandat de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  29. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598216
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Labroye (62481) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  38. Mathieu Hérault, « L'école du village prépare ses cartons », Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 3.
  39. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  40. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).