La Rivière (Isère)

commune française du département de l'Isère

La Rivière
La Rivière (Isère)
Mairie et école de La Rivière en mai 2017
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté
Maire
Mandat
Raymond Rolland
2020-2026
Code postal 38210
Code commune 38338
Démographie
Gentilé Riverains
Population
municipale
729 hab. (2021 en diminution de 5,32 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 15″ nord, 5° 30′ 32″ est
Altitude 196 m
Min. 178 m
Max. 1 604 m
Superficie 18,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud Grésivaudan
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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La Rivière
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La Rivière

La Rivière est une commune française située géographiquement dans le massif du Vercors, administrativement dans le département de l'Isère et en région Auvergne-Rhône-Alpes, autrefois rattaché au Dauphiné.

La commune de dimension modeste, essentiellement rurale et agricole, est adhérente à la Communauté de communes Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté dont le siège est situé à Saint-Marcellin, ainsi qu'au Parc naturel régional du Vercors dont le siège est situé à Lans-en-Vercors.

Selon l'ouvrage de Patrick Ollivier-Elliot dénommé Vercors safari-patrimoine[1], la commune doit son nom à sa proximité avec l'Isère « où autrefois émergeaient des zones humides que l'Isère formait ou détruisait au gré de ses humeurs ». Le même ouvrage précise que la paroisse se dénomma Saint-Joseph-de-la-Rivière jusqu'à la Révolution française.

La commune qui compte de nombreux champs de noyers se situe également dans la zone d'AOC fruitière qui produit la Noix de Grenoble.

Les habitants de la commune se dénomment les Rivarains et la mairie se situe à 200 mètres d'altitude[2].

Géographie modifier

Situation et description modifier

La commune de La Rivière se situe dans le canton du Sud Grésivaudan, à 28 km de l'agglomération grenobloise, au pied du massif du Vercors, sur la rive gauche de la rivière Isère dont elle semble tirer son nom. Traversée par l'ancienne route royale puis nationale qui va de Grenoble à Valence, le territoire communal est également bordé par les falaises de la partie septentrionale du massif du Vercors, donnant sur le soleil couchant.

L'ensemble de la zone habitable, essentiellement rurale, est située dans la partie occidentale de vallée de l'Isère connue sous le vocable de Sud Grésivaudan, terme repris officiellement par le Conseil départemental de l'Isère. Une bonne partie de son territoire compte essentiellement des forêts sur son versant montagneux.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 319 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coublevie », sur la commune de Coublevie à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 121,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Géologie modifier

Le territoire communal de La Rivière se situe sur le départ de deux failles traversant le nord du massif du Vercors et dont l'origine unique se situe dans la vallée de l'Isère en aval de Rovon.

Au sud du ravin de l'Échinard (ou de l'Auchinard) qui débouche au sud du bec de l'Orient, montagne qui sépare les territoires des communes de Saint-Quentin-sur-Isère, Montaud et La Rivière, le tracé de la cassure se poursuit en biais à flanc de montagne dans le versant qui tombe directement sur cette partie de la vallée de l'Isère[9]. La crête occidentale où est situé le Bec de l'Orient est composée de roches urgoniennes.

Hydrographie modifier

Le territoire communal est sillonné de plusieurs cours d'eau, dont on peut découvrir la liste, ci-dessous :

cette rivière est un affluent du Rhône et le principal cours d'eau de la commune qui délimite le territoire de celle-ci à l'ouest. Cette rivière draine toute la vallée du sud Grésivaudan et reste, en règle générale, d'un débit très abondant tout au long de l'année.
  • La Laune;
  • Le torrent de l'Échinard (ou de l'Auchinard) ;
  • Le ruisseau de Fessole ;
  • Le ruisseau de la Verdeppe, d'une longueur de 1,1 km ;
  • Le torrent du Versoud, d'une longueur de 7,2 km[10].

Voies routières et transport public modifier

Voies routières modifier

L'ancienne route nationale 532 ou « RN 532 » est une route nationale française reliant Saint-Péray (Ardèche) à Grenoble (Isère). Celle-ci travers le territoire communal depuis le nord (commune de Saint-Quentin-sur-Isère) vers le sud (commune de Saint-Gervais).

En 2006, la route nationale 532 a été déclassée dans tout le département de l’Isère en « RD 1532 ».

Transport ferroviaire modifier

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Tullins-Fures, située sur le territoire de la commune de Tullins, à proximité du quartier de Fures.

Autres transports publics modifier

Lignes d'autocars modifier

La commune est desservie par la ligne 5000 du réseau interurbain de l'Isère, gérée et organisée par la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,1 %), cultures permanentes (11,4 %), terres arables (10,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %), eaux continentales[Note 3] (2,6 %), zones urbanisées (1,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine modifier

Le territoire communal s'étend entre la plaine de l'Isère et les pentes occidentales du massif du Vercors. La commune, essentiellement rurale, comprend un bourg central de taille modeste et quelques petits hameaux entourés de noyeraies, tous situés dans la plaine de l'Isère. l'agglomération la plus proche est celle de Tullins.

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de La Rivière, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[17].

  • l'Île Chapoton
  • les Côtes
  • Revety
  • Pied Frais
  • Cabotière
  • Le Jarassier
  • Briquetier
  • le Mollard
  • l'Escale
  • les Vialière
  • Le Moulin
  • Brandelière
  • Artets
  • Bouvatière
  • Thuillière
  • La Thulière
  • Le Lignet
  • Guizardière
  • Micandière
  • Le Ravoux
  • les Travers
  • les Monts

Risques naturels et technologiques modifier

Risques sismiques modifier

L'ensemble du territoire de la commune de La Rivière est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart de ses communes voisines, notamment celles du massif du Vercors[18].

Terminologie des zones sismiques[19]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques modifier

Toponymie modifier

Le village se dénommait Rivesti au XIIIe siècle. Selon André Plank, auteur d'un ouvrage sur l'étymologie des communes de l'Isère, le nom de La Rivière dériverait du latin Revesti qui signifie « revivre », à la suite de la dévastation d'un précédent village par une crue torrentielle de la rivière et du désir de reconstruire le village[20].

Histoire modifier

Préhistoire et Antiquité modifier

Les traces d'activité préhistorique les plus anciennes et connues à ce jour dans ce secteur datent du mésolithique. Celles-ci sont situées à proximité du site de la vallée des Écouges (près de l'ancienne chartreuse), dans le secteur du Pas de l'Échelle, lui-même situé sur le territoire de la commune voisine de Rovon[21].

Moyen Âge et Renaissance modifier

Fondée en 1116, la chartreuse des Écouges est un monastère de l'ordre des Chartreux. Celui-ci s'installe dans le massif du Vercors à 1 000 mètres d'altitude. C'est du village de Saint-Joseph de Rivière (aujourd'hui La Rivière) que naquit le seul chemin qui menait à ce monastère au départ de la vallée de l'Isère.

La Rivière fut d'abord une simple halte sur le chemin du monastère, puis une grange monastique (prieuré de Revesty) fut installée lorsque la neige trop abondante dans le massif empêcha les pères et les frères de se rendre aux « Écouges ». En 1294, les pères demandent une première fois à quitter la vallée à cause de l'abondance de la neige. Avant la fin du Moyen Âge, période correspondant au petit âge glaciaire, le monastère est abandonné.

Selon l'écrivain et historien Patrick-Olivier Eliott, le chemin menant de Revesty à l'ancienne chartreuse existait toujours en 2010.

Temps Modernes modifier

Époque contemporaine modifier

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

En 2020, le conseil municipal est composé de quinze membres.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  11 juin 1995 André Cholier    
11 juin 1995 18 mars 2001 Alexandre Gaillard    
18 mars 2001 2020 Robert Alleyron-Biron DVG Employé[22]
2020 En cours Raymond Rolland    
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelage modifier

La commune de La Rivière n'est jumelée avec aucune commune ou collectivité, que ce soit en France ou dans un pays étranger.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 729 habitants[Note 4], en diminution de 5,32 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
660694718736903846900856871
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
784752758749717618622575547
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
520518471376363347324312314
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
258244214312363469540551745
2017 2021 - - - - - - -
747729-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble. L'école élémentaire de La Rivière est située près de la mairie.

Équipement sanitaire et social modifier

Équipements sportifs modifier

Médias modifier

Presse écrite modifier

Historiquement, le quotidien à grand tirage grenoblois Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles lié à l'actualité du village et des communes riveraines, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Lieux de culte modifier

La communauté catholique et l'église de La Rivière (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Saint-Joseph-des-deux-rives (relais de la Drevenne), elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[27].

Économie modifier

Le commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[28].

Le secteur agricole modifier

La nuciculture modifier

Une des principales activités de l'agriculture locale (au niveau communal et de ce secteur de la vallée de l'Isère) est la nuciculture. En effet, la partie occidentale de la commune, la plus proche des rives l'Isère, est couverte de noyeraies. Le noyer est un arbre de la famille des juglandacées qui est cultivé pour son fruit la noix qui se récolte à l'automne[29] mais aussi pour son bois.

La noix est cultivée en tant qu'aliment (souvent vendue en sachet) mais aussi pour son huile[30]. On peut découvrir à Grenoble et dans les environs des commerces (boulangerie, pâtisserie, épicerie, boutiques de souvenirs) proposant des offres de noix conditionnées ou emboîtées. En 1999, la Communauté de communes Chambaran Vinay Vercors à laquelle adhère la commune de La Rivière a fait l'acquisition d'une ancienne ferme traditionnelle avec son séchoir à noix, afin de créer une institution locale à vocation culturelle et touristique sous la forme d'un musée.

Autres activités modifier

La Rivière est une des communes d'un secteur de vignobles pouvant revendiquer le label IGP « Coteaux-du-grésivaudan », comme la plupart des communes de la moyenne vallée de l'Isère (Grésivaudan et cluse de Voreppe).

Le secteur industriel modifier

Les secteurs touristique et commercial modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Église de La Rivière en 2017

La chapelle Notre-Dame-d'Armieux modifier

Il s'agit d'une très modeste chapelle située à proximité de la route de Valence à Grenoble à la limite de la commune de Saint-Gervais.

La chapelle Saint-Roch modifier

Située au hameau du Lignet et datant de la fin du (XIXe siècle), la chapelle se situe au carrefour de deux chemins vicinaux

Le château de Montal modifier

Le château de Montal a été édifié au XVIIe siècle[31]. Le bâtiment actuel est une élégante construction contre le Vercors, dominant le village et la vallée de l'Isère. La façade ouest est éclairée par 21 fenêtres, dont quelques meneaux. Le château possède également deux tourelles. La façade Vercors est flanquée d'une grosse tour carrée qui semble antérieure au château de plusieurs siècles : certains y voient là un vestige de la maison-forte qui eût précédé le château actuel, bâti vraisemblablement au XVIIe ou XVIIIe siècle.

Le château a été très remanié au XIXe siècle par la famille de Ferrier de Montal, famille de parlementaires dauphinois. Les communs sont encore très beaux : on peut y voir un beau séchoir à noix, typique du Bas Dauphiné. Depuis le XIXe siècle, Montal - encore appelé Monteau sur la carte de Cassini dressée au XVIIIe siècle - appartient à la famille de Ferrier de Montal, qui s'en est rendue acquéreur en 1845. Auparavant le château appartenait aux Pourret de Brunières puis aux Herculais.

L'église néo-romane Saint-Joseph de La Rivière modifier

Il s'agit de l'église paroissiale, bâtiment religieux à tradition catholique et construit durant le XIXe siècle[31].

Autres bâtiments modifier

  • Le Prieuré des Chartreux, dont il ne reste que quelques ruines, est situé au lieu-dit Revety. Datant de 1116 et il dépendait de la chartreuse des Écouges[31].
  • Au village, il existe de vieilles demeures avec des fenêtres en meneaux[31].

Patrimoine naturel modifier

 
Bec de l'Orient vue du Bourg de La Rivière
  • La vallée des Écouges
Le secteur de la vallée des Ecouges a été classé Le par le conseil général de l’Isère qui a acquis les 918 hectares du domaine des Écouges au titre des «espaces naturels nensibles du département»[32]

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

La Rivière (Isère) possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Pour approfondir modifier

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Patrick Olivier Eliott, Vercors Safari-patrimoine, Édition la Fontaine de Siloé
  2. Site habitants.fr, le nom des habitants de communes de l'Isère
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre La Rivière et Coublevie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Coublevie », sur la commune de Coublevie - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Coublevie », sur la commune de Coublevie - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. Site de géologie alpes, page sur le bec de l'Orient
  10. Sie sandre, fiche sur le torrent du Versoud
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. Site géoportail, page des cartes IGN
  18. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
  19. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
  20. Livre "L'origine du nom des communes du département de l'Isère" par André Plank, édition L'atelier, 2006, page 168
  21. Département de l'Isère, la gestion du site des Écouges
  22. « Résultats municipales 2020 à La Rivière », sur lemonde.fr (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Site diocese-grenoble-vienne.fr, page sur la paroisse Saint-Joseph-des-deux-rives, consulté le 11 juillet 2022.
  28. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  29. (fr) « Réportages de FR3 : Gros plan sur un fruit de saison... », sur rhone-alpes-auvergne.france3.fr, (consulté le ).
  30. (fr) « Domaine du Pressoir: une huile de noix de très haute qualité », sur www.sillon38.com (consulté le ).
  31. a b c et d Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 431-432.
  32. Découvrez les espaces naturels sensibles de l'Isère, www.isere.fr, p. 28 (consulté le 22 juillet 2014)

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