La Chapelle-sur-Loire

commune française du département d'Indre-et-Loire

La Chapelle-sur-Loire
La Chapelle-sur-Loire
Église de la Translation-de-Saint-Martin.
Image illustrative de l’article La Chapelle-sur-Loire
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Ouest Val de Loire
Maire
Mandat
Paul Guignard
2020-2026
Code postal 37140
Code commune 37058
Démographie
Gentilé Chapelons
Population
municipale
1 453 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 14′ 58″ nord, 0° 13′ 29″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 37 m
Superficie 19,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Langeais
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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La Chapelle-sur-Loire
Liens
Site web la-chapelle-sur-loire.fr

La Chapelle-sur-Loire est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de la Chapelle-sur-Loire se situe à l'ouest du département d'Indre-et-Loire, près du département voisin du Maine-et-Loire.

La commune se situe dans la Touraine angevine, anciennement l'Anjou jusqu'à la Révolution française.

Hydrographie modifier

 
Réseau hydrographique de La Chapelle-sur-Loire.

La commune est traversée par la Loire (9,662 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 25,12 km, comprend un autre cours d'eau notable, le Lane (5,136 km), et trois petits cours d'eau dont le Baignoux (0,023 km) et le Goulet (0,476 km)[1],[2].

Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Langeais. Le débit mensuel moyen (calculé sur 34 ans pour cette station) varie de 142 m3/s au mois d'août à 753 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 060 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 4,89 m le [4],[5]. La hauteur maximale historique a été atteinte le avec 6,80 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

Le Lane, d'une longueur totale de 27,8 km, prend sa source dans la commune de Coteaux sur Loire et se jette dans l'Authion à Varennes-sur-Loire (Maine-et-Loire), après avoir traversé 10 communes[8]. Sur le plan piscicole, le Lane est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].

Deux zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indre : du Pont du Vivier à la Loire » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[9],[10].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 637 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil à 8 km à vol d'oiseau[13], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 612,8 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Chapelle-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,4 %), eaux continentales[Note 3] (16,2 %), forêts (10,3 %), prairies (10,2 %), zones urbanisées (5,7 %), cultures permanentes (5,2 %), terres arables (4,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,2 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de La Chapelle-sur-Loire est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, la rupture d'un barrage et le risque nucléaire[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lane et la Loire. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Angers-Authion-Saumur, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portés à 22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25],[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2013 et 2016[27],[23].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans les massifs de Chinon et de Véron, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[28].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chapelle-sur-Loire.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 801 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 801 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[30].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

Risques technologiques modifier

Une partie du territoire de la commune est en outre située en aval d'une digue. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31].

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre réflexe de 2 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[32].

Toponymie modifier

Le nom de la localité proviendrai de la légende du transfert du corps de Martin de Tours, mort à Candes et transporté sur la Loire en direction de Tours. Les buissons des rives se seraient couverts de fleurs blanches, donnant ainsi au chemin de la rive droite de la Loire le nom de « Alba via » soit voie blanche, d’où provient le nom latin « Capella Alba » signifiant La Chapelle-Blanche.

La commune porta ce nom jusqu'au début du XIXe siècle avant d'être rebaptisée par son nom actuel pour éviter les confusions avec La Chapelle-Blanche-Saint-Martin se situant près de Ligueil aussi en Indre-et-Loire.

Histoire modifier

Partie intégrante de la province d'Anjou et de son histoire, la Chapelle-sur-Loire et la région de Bourgueil (y compris le domaine du château de Gizeux et jusqu'à Château-la-Vallière) furent rattachées en 1790 au tout nouveau département d'Indre-et-Loire.

En 1343, le sel devient un monopole d'État par une ordonnance du roi Philippe VI de Valois, qui institue la gabelle, la taxe sur le sel. L'Anjou fait partie des pays de « grande gabelle » et comprend seize tribunaux spéciaux ou « greniers à sel », dont celui de Bourgueil.

Le , Duplessis-Mornay gouverneur de Saumur (1589-1621) ne commande pas seulement la ville de Saumur, il prend la tête d'un gouvernement spécial qui est détaché de l'Anjou. Cette sénéchaussée de Saumur, englobe au nord de la Loire le pays de Bourgueil.

La Chapelle-sur-Loire et le pays bourgueillois (s'étendant jusqu'à Ingrandes vers l'est et jusqu'au château de Gizeux au nord) dépendront de la sénéchaussée de Saumur jusqu'à la Révolution française.

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Les Trois-Volets[33].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 1983 Georges Boisselet    
mars 1983 mars 2001 Albert Renodon    
mars 2001 mars 2008 Marie-José Fouquet    
mars 2008 mars 2014 Pascal Pinard    
mars 2014 mai 2020 Danielle Thiry SE Fonctionnaire
mai 2020 En cours Paul Guignard    

Politique environnementale modifier

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[34].

Population et société modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 1 453 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 3473 8653 4203 4963 6533 4523 3753 3503 188
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1162 8772 8232 5832 5162 3072 1402 0551 849
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7611 7151 5941 4741 4861 4071 3631 4351 426
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 6481 4721 2751 3851 3861 4811 5191 5291 532
2014 2019 2021 - - - - - -
1 4511 4461 453------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La Chapelle-sur-Loire se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.

L'école primaire Héroux accueille les élèves de la commune.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
La devise française Liberté, Égalité, Fraternité gravée sur les murs de l'église.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de La Chapelle-sur-Loire », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
  4. « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « Station hydrométrique K6830020, la Loire à Langeais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
  7. a et b (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche Sandre - le Lane », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  9. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  10. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  13. « Orthodromie entre La Chapelle-sur-Loire et Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Chapelle-sur-Loire », sur Géorisques (consulté le ).
  24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  25. « cartographie des risques d'inondations du TRI d'Angers-Authion-Saumur », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  26. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  28. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  31. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  32. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Chapelle-sur-Loire », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  34. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.