La Bréole

ancienne commune française du département des Alpes-de-Haute-Provence

La Bréole
La Bréole
Lavoir-fontaine et village
Blason de La Bréole
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Barcelonnette
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Ubaye
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Roger Masse
2017-2020
Code postal 04340
Code commune 04033
Démographie
Gentilé Bréolais
Population 361 hab. (2014 en diminution de -9.3 % par rapport à 2009)
Densité 9,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 27′ 27″ nord, 6° 17′ 43″ est
Altitude Min. 650 m
Max. 1 590 m
Superficie 39,66 km2
Élections
Départementales Barcelonnette
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Ubaye-Serre-Ponçon
Localisation
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La Bréole

La Bréole est une ancienne commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est une commune déléguée de Ubaye-Serre-Ponçon à la suite de sa fusion le avec la commune de Saint-Vincent-les-Forts pour former la commune nouvelle de Ubaye-Serre-Ponçon.

Le nom de ses habitants est Bréolais[1].

Géographie modifier

Le village est situé à 998 m d’altitude[2], et domine le lac de Serre-Ponçon. La commune est limitée à l’ouest par les gorges de la Blanche, qui font la frontière avec les Hautes-Alpes.

 
La Bréole et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Les communes limitrophes de La Bréole sont Rousset, Le Sauze-du-Lac, Le Lauzet-Ubaye, Saint-Vincent-les-Forts, Montclar, Selonnet, Bréziers, Rochebrune et Espinasses.

La commune est principalement desservie par la route départementale RD 900B (ancienne route nationale 100b). La RD 7 permet de rejoindre le bassin de Seyne par le col des Fillys.

Géologie modifier

Lors des deux dernières grandes glaciations, la glaciation de Riss et la glaciation de Würm, la commune est entièrement recouverte par le glacier de la Durance[3].

Relief modifier

Environnement modifier

La commune compte 1 339 ha de bois et forêts, soit 34 % de sa superficie[1].

Hameaux modifier

  • Champcelas
  • Charamel
  • Costebelle
  • l’Egaye
  • les Eyrauds
  • Fermeyer
  • la Garde
  • les Goirands
  • la Rouvière
  • les Laphonds

Risques naturels et technologiques modifier

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. L'ancien canton du Lauzet-Ubaye auquel appartenait La Bréole était en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de La Bréole est également exposée à trois autres risques naturels[5] :

  • feu de forêt ;
  • inondation ;
  • mouvement de terrain.

La commune de La Bréole est également exposée à deux risques d’origine technologique :

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] et le Dicrim n’existe pas non plus[9].

Toponymie modifier

La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1079 (La Bredola). Son nom peut venir de l’occitan Bredo[10].

Héraldique modifier

  Blason
D'or à un taureau de gueules[11].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Économie modifier

Aperçu général modifier

En 2009, la population active s’élevait à 180 personnes, dont 13 chômeurs[12] (13 fin 2011[13]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (66 %)[14] et travaillent de manière équilibrée dans et hors de la commune (51 % des actifs ont leur emploi localisé dans la commune)[14]. L’essentiel des établissements de la commune sont des exploitations agricoles (29 sur 72 en 2010)[15], à égalité avec le secteur tertiaire[15].

Agriculture modifier

Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 29 établissements actifs au sens de l’Insee et aucun emploi salarié[15].

Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est stable dans les années 2000 à 17 unités, essentiellement des élevages ovins et bovins[16]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement augmenté, de 1 006 ha à 1 501 ha, alors que le nombre d’exploitations baissait (de 29 à 17)[17]. La SAU a légèrement diminué lors de la dernière décennie, mais reste à un niveau élevé, à 1 439 ha, essentiellement utilisée par les élevages[16].

La culture et la transformation des framboises par un agriculteur de la commune a été distinguée par le Conseil général en 2013[18].

Industrie modifier

Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 14 établissements, employant 30 salariés[15].

Deux usines hydroélectriques se trouvent sur la commune de la Bréole :

Activités de service modifier

 
Village fleuri

Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 19 établissements (avec 34 emplois salariés), auxquels s’ajoutent les 10 établissements du secteur administratif (salariant 61 personnes)[15].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre 1 et 5 touristes accueillis par habitant[20], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[21]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

  • deux campings, l’un classé une étoile et l’autre deux étoiles[22] avec des capacités respectives de 50 et 56 emplacements[23],[24] ;
  • plusieurs meublés[25],[26] ;
  • des chambres d’hôtes (une douzaine de chambres)[27] ;
  • un village de vacances[28].

Enfin, les résidences secondaires apportent un complément important à la capacité d’accueil[29], près de 45 % des logements, soit 138, étant des résidences secondaires[30],[24].

Parmi les infrastructures permettant aux touristes de rester dans la commune, on compte :

Histoire modifier

Avant la conquête romaine, la Bréole est une ville des Édénates[2] ; une tombe de l’Âge du Fer, contenant une épée, a été découverte au XIXe siècle[31].

Moyen Âge modifier

Le village faisait partie du domaine aux comtes de Provence, qui lui accordent le consulat au XIIIe siècle[32]. Les prieurés de Saint-Pierre et Sainte-Marie, et les revenus qui y étaient attachés, relevaient de l’abbaye Saint-Victor de Marseille[33].

Dès 1289 le Bailli de Seyne autorise la communauté de La Bréole à construire un bac sur la Durance contre paiement d’une redevance mais Pierre et Albert Rostand de Rousset, les seigneurs de La Bréole invoquent leur propriété, arguant que leur père avait déjà le pouvoir d'en tenir,un sans payer d’impôt[34].

Alix de THEUS qui installe un radeau pour passer la Durance entre le Rousset et LA Bréole se voit poursuivre en justice en 1291.

M.-Z. Isnard signale que Bertrand et Guillaume Rodulphi étaient coseigneurs de Barcelonnette et de la Bréole en 1309[35].

La Bréole était un lieu de passage de la Durance, grâce au bac attesté au XIVe siècle[36]. Une foire a ainsi pu se maintenir au XVIIIe siècle[37].

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le seigneur de La Bréole, Louis le Roux, soutient le duc d’Anjou dès , ce soutien étant conditionné à la participation du duc à l’expédition de secours à la reine[38]. De son côté, la communauté des habitants se rallie au parti angevin en , après la mort du duc et des négociations avec la régente Marie de Blois. Celle-ci accorde à la communauté le rattachement au domaine royal, ce qui signifiait relever d’un autre régime légal et fiscal[39]. Le traité de paix contient des articles assurant la protection comtale à la communauté contre les exactions de la rivale voisine, Seyne[40].

Temps modernes modifier

La Réforme connait un certain succès à La Bréole, et une partie des habitants se convertissent[41].

En octobre 1586, en pleine guerres de religion, le duc d’Epernon fait le siège du château de La Bréole, défendu par le protestant Jacques de Bosse, surnommé capitaine La Bréole, aux ordres du duc de Lesdiguières. La résistance est farouche et plusieurs officiers Français (dont l’homme sans peur,  le chevalier de Crillon) sont blessés lors des sorties héroïques des assiégés[2].

Après sept jours de combats et 260 coups de canon, les murs de La Bréole sont toujours debout. D’Epernon doit parlementer. Le capitaine La Bréole négocie. La garnison aura la vie sauve et sera escortée hors de France (la frontière avec la Savoie se situait alors aux Tourniquets du Lauzet). Le 13 novembre 1586, libres et armes à l’épaule, 293 protestants sortent du petit château médiéval de La Bréole et s’exilent vers le Comté de Nice et la Savoie[42].

En signe de victoire, deux drapeaux trouvé dans le château sont envoyés au roi de France, pendant que d’Epernon part terminer le siège de Chorges …[43].

Après ce siège, le château est détruit et le village abandonne son piton rocheux pour le site actuel[33].

Malgré ces guerres de religion, une communauté protestante se maintient au XVIIe siècle, bien que l’édit de Nantes (1598) ne lui ait pas accordé de temple. Mais l’abolition de l’édit de Nantes (1688) lui fut fatal, et elle disparut, ses membres émigrant ou étant convertis de force[41].

Un gisement de plomb a été très brièvement exploité au XVIIIe siècle[44].

Révolution française modifier

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[45]. La commune est chef-lieu de canton de 1790 à 1801[46].

Période contemporaine modifier

Au XIXe siècle, la commune est divisée en quatre paroisses : une au chef-lieu, les autres à Charamel, CosteBelle et La Garde[33].

Comme de nombreuses communes du département, La Bréole se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà quatre écoles dispensant une instruction primaire aux garçons, situées au chef-lieu, à La Garde, à l’Egaye et aux Lafons[47]. En 1861, aucune école n’est ouverte aux filles, alors que la loi Falloux (1851) en impose une par commune de plus de 800 habitants. Ce seuil est abaissé à 500 habitants par la première loi Duruy en 1867[48] et l’école de filles est ouverte avant 1872[49]. La deuxième loi Duruy (1877) lui permet, grâce aux subventions de l’État, de construire des écoles neuves aux Lafons et à l’Egaye[50]. En 1886, c’est le chef-lieu qui reçoit une nouvelle école, filles et garçons séparés. Le nouveau bâtiment accueille également la mairie[51].

La commune de La Bréole est durement touchée par la Première Guerre mondiale, avec 46 morts. Une souscription publique est lancée afin de financer la construction du monument aux morts. Une autre souscription, de fin 1919 à 1921, a lieu dans toute la vallée de l'Ubaye et permet de financer un monument aux 509 morts de la vallée, érigé à Barcelonnette par Paul Landowski[52].

Dans les années 1930, une scierie était active à La Bréole[53]. Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à La Bréole, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture a depuis été pratiquement abandonnée, et en 2005, les surfaces plantées en vigne étaient relictuelles[54].

En 2010, l’école quitte le bâtiment qui l’abritait depuis 1886[51].

Politique et administration modifier

Municipalité modifier

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1935   Louis Pascal[55]    
1953   Séverin Bosse    
1983   Laurent Pascal    
1989[56] En cours
(au 21 octobre 2014)
Roger Masse[57],[58],[59] LR Retraité de l'enseignement
Conseiller départemental (2015-)
Les données manquantes sont à compléter.

Enseignement modifier

La commune est dotée d’une école primaire[60].

Politique environnementale modifier

La Bréole est classé une fleur au concours des villes et villages fleuris.

Démographie modifier

En 2014, la commune comptait 361 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2008, 2013, 2018, etc. pour La Bréole). Les autres « recensements » sont des estimations.

Évolution démographique
1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
152 feux62 feux1 0821 0781 1041 0859669321 0441 050
1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
1 0821 040976989952881853844876822
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
743726703686612535515477387348
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2014 - -
477256235252279325346361--
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[32], EHESS jusqu'en 1962[46], base Insee à partir de 1968[61],[62],[63])

L’histoire démographique de La Bréole, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié du XIXe siècle. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1926, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[64]. Parallèlement, alors que la commune se dépeuple, le village chef-lieu se renforce : de 1872 à 1896, sa population passe de 180 à 403 habitants (soit un passage de 20 à 54 % de la population de la commune) et 262 habitants en 1926 (49 %)[65]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1970. Depuis, la croissance de la population a repris.

Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

Au hameau des Masses, il y a plusieurs vieilles maisons, dont une possède un pigeonnier, assez atypique : formé d’une tour cylindrique, il n’a que deux ouvertures rectangulaires, dont une soutenue par deux corbeaux. Le toit forme une flèche à base polygonale ; la couverture est en ardoises[66].

Il y avait quatre paroisses sous le Concordat, qui ont laissé quatre églises[33] :

  • église Saint-Pierre ;
  • église Saint-Marcellin à Costebelle ; elle possède un calice en argent, daté de 1711, classé au titre objet[67] ;
  • église Saint-Barthélemy à la Garde (1695), elle abrite une chape de soie blanche, qui faisait partie des vêtements sacerdotaux, datant du XVIIe siècle. Un chaperon en drap d’or lui a été ajouté au XIXe. Elle est classée au titre objet[68] ;
  • église Saint-Marc au Charamel, construite en 1860 pour remplacer une église de 1617. La travée centrale est surmontée d’une coupole surbaissée, avec pendentifs. L’autre travée est voûtée, ainsi que le chœur. Les piliers ont une forme irrégulière[69].

L'église Saint-Pierre est l'actuelle église paroissiale. Construite en 1581[33],[70], elle voit son clocher rehaussé de 30 à 40 mètres de haut en 1890 grâce à un legs. Elle est ornée de vitraux contemporains, dont deux installés en 2013[70].

  • Nombreuses bâtisses médiévales

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

  1. a et b Roger Brunet, « Canton du Lauzet-Ubaye », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013.
  2. a b et c Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
  3. Maurice Jorda, Cécile Miramont, « Les Hautes Terres : une lecture géomorphologique du paysage et de ses évolutions », in Nicole Michel d’Annoville, Marc de Leeuw (directeurs) (photogr. Gérald Lucas, dessin. Michel Crespin), Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire : Association Les hautes terres de Provence ; Saint-Michel-l'Observatoire : C'est-à-dire, 2008, 223 p. (ISBN 978-2-952756-43-3). p. 33.
  4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
  5. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 4 juillet 2012.
  6. a b et c Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95.
  7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 81.
  8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 88.
  9. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 4 juillet 2011.
  10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne)., § 22904, p. 1227.
  11. Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994.
  12. Insee, Dossier local - Commune : La Bréole (04033), p. 5.
  13. Insee, Dossier local, p. 8.
  14. a et b Insee, Dossier local, p. 7.
  15. a b c d et e Insee, Dossier local, p. 16.
  16. a et b Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio).
  17. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio).
  18. « Des entreprises à l'honneur », Alpes-de-Haute-Provence, no 109, janvier 2013, p. 12-13.
  19. Mathieu Ruillet, Éric Ruchet, Étude du potentiel régional pour le développement de la petite hydroélectricite, Groupe énergies renouvelables, environnement et solidarité (GERES), 5 décembre 2005, p. 60.
  20. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6.
  21. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7.
  22. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 21, 24 et 25.
  23. Insee, Dossier local, op. cit., p. 18.
  24. a et b Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio).
  25. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32.
  26. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 36.
  27. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 41.
  28. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 30.
  29. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44.
  30. Insee, Dossier local, p. 17.
  31. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 10.
  32. a et b Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 166.
  33. a b c d et e Daniel Thiery, « La Bréole », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 19 décembre 2010, consulté le 4 juillet 2012.
  34. Michel TURCO, « Des chemins aux camions en Ubaye-Serre-Ponçon », La vie en Ubaye n°92,‎
  35. Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIe siècle jusqu'à l'abolition de la féodalité ; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p. 68.
  36. Catherine Lonchambon, « D’une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux », in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005, (ISBN 2-906162-71-X), p 55.
  37. Baratier et Hilsdesheimer, « carte 122 : Les foires (1713-1789) », in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
  38. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 409 et 410 (note 41).
  39. G. Xhayet, op. cit., p. 412.
  40. G. Xhayet, op. cit., p. 427.
  41. a et b Édouard Baratier, « Les protestants en Provence », cartes 118 et 119 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
  42. Michel Turco, Le Lautaret, Saint-Vincent et autour: un essai d'histoire chronologique des vallées de l'Ubaye et de la Blanche quelques histoires du pays, Michel Turco, (ISBN 979-10-699-1195-6)
  43. Michel TURCO, « La légende du Bréoulen », Bulletin municipal 2021 - Ubaye-Serre-Ponçon,‎
  44. Joseph Billioud, « Les mines de plomb des Basses-Alpes du XVIe au XIXe siècle », Provence historique, tome 8, no 31, 1958, p. 42.
  45. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
  46. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Bréole », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  47. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  48. Labadie, op. cit., p. 16.
  49. Labadie, op. cit., p. 18.
  50. Labadie, op. cit., p. 11.
  51. a et b Labadie, op. cit., p. 34.
  52. Sylvie Arnaud, « Dix-neuf monuments aux morts pour les Poilus Ubayens », La Provence, 11 novembre 2013, p. 11.
  53. Élie Reynier, « Un canton qui décline : Le Lauzet (Basses-Alpes) », Revue de géographie alpine, 1937, t. 25 no 1, p. 229.
  54. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe-XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
  55. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le .
  56. Sylvie Arnaud, « Deux listes pour onze sièges », La Provence, 14 mars 2014, p. 12.
  57. S. A., « Roger Masse briguera un 5e mandat de maire », La Provence, 13 janvier 2013, p. 11.
  58. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « De La Bréole à Corbières (liste 2) », Les communes du département, consultée le 17 avril 2014.
  59. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  60. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Sisteron, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010.
  61. « Résultats du recensement de la population - La Bréole », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  62. « Recensement de la population au 1er janvier 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  63. « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  65. Reynier, op. cit., p. 226.
  66. Raymond Collier, op. cit., p. 372 et 444.
  67. Arrêté du 29 août 2002, Notice no PM04000852, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008.
  68. Arrêté du 29 août 2002, Notice no PM04000849, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008.
  69. Raymond Collier, op. cit., p. 383.
  70. a et b Sylvie Arnaud, « Une artiste locale réalise deux nouveaux vitraux pour l'église », La Provence, 6 août 2013, p. 10.


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