L'Étoile (Somme)

commune française du département de la Somme

L'Étoile
L'Étoile (Somme)
La mairie-école.
Blason de L'Étoile
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Nièvre et Somme
Maire
Mandat
Ghislain Tirmarche
2020-2026
Code postal 80830
Code commune 80296
Démographie
Population
municipale
1 156 hab. (2021 en diminution de 7,74 % par rapport à 2015)
Densité 146 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 01′ 28″ nord, 2° 01′ 58″ est
Altitude Min. 7 m
Max. 113 m
Superficie 7,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Flixecourt
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
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L'Étoile
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L'Étoile
Liens
Site web http://www.mairie-letoile.fr

L'Étoile est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Description modifier

Le bourg périurbain picard de L’Étoile est situé à 17 km au sud-est d'Abbeville et à 25 km au nord-ouest d'Amiens.

Le territoire communal est structuré et modelé par la vallée de la Somme et par celle de la Nièvre. Ce territoire est également marqué, dans sa partie nord, par un promontoire qui borne l'espace vers le village de Bouchon et Long, et par un éperon grossièrement ovale, de 94 m de haut, appelé Camp César, à l'est.

Desservi par la route départementale RD 112, il est aisément accessible depuis l'ex-RN 1 (actuelle RD 1001) et l'autoroute A16.

Transports modifier

En 2019, l’Étoile est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80 (lignes no 17, Abbeville - Flixecourt - Amiens, et no 28 Saint-Léger - Flixecourt - Amiens), chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés[1].

Hydrographie modifier

 
La Somme à L'Étoile.

Le fleuve côtier la Somme et ses zones de marais limitent la commune au sud.

La Nièvre y conflue au lieu-dit Les Moulins bleus, formant la limite est de la commune.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 738 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

L'Étoile est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,4 %), forêts (22,2 %), zones urbanisées (7,7 %), prairies (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), eaux continentales[Note 3] (3,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 581, alors qu'il était de 578 en 2013 et de 562 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 86,5 % étaient des résidences principales, 2,6 % des résidences secondaires et 10,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,1 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à L'Étoile en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,6 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à L'Étoile en 2018.
Typologie L'Étoile[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 86,5 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,6 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 10,9 8,4 8,2

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sidera en 660 ; Sidrutis en 830 ; Sidrudis en 842 ; Sigetrudis en 8.. ; Sidrunis et Sidrutes en 1088 ; Stella en 1104 ; Sidus en 1186 ; Siderum en 1186 ; Lestoile en 1186 ; L’Estoile en 1301 ; Lestoille en 1492 ; Lestelle en 1514 ; L’Estoille en 1535 ; Lestoielle en 1579 ; L’Etoile en 1733 ; L’Etoille en 1761[14].

Certaines des formes les plus anciennes du Dictionnaire topographique de la Somme semblent se rapporter non pas à L'Étoile, mais à Sorrus (Pas-de-Calais, Sigetrudis vers 814 ; Sidrutis en 830[15] ; Sidrudis en 844) qui s'explique par la fixation du nom de personne germanique féminin Sigidrud[16] (latinisé en Sigetrudis dans les textes), pris absolument.

À ce titre, la plupart des toponymistes n'en tiennent pas compte et préfèrent s'appuyer sur les formes traduites en latin médiéval comme Stella de 1104, Sidus en 1186 ou directement sur les formes romanes[16]. Sidus (nominatif pluriel sidera, génitif pluriel siderum) relève du latin classique et signifie « groupe d'étoiles, constellation » cf. sidéral.

L'appellatif toponymique Estoile, signifiant littéralement « étoile », désigne anciennement un carrefour de routes[16]. De l'oïl estoile « rond point où aboutissent des allées »[17].

Histoire modifier

Préhistoire modifier

« Le camp César, qui formait donc un lieu de surveillance privilégié sur la Somme, a été investi et aménagé en oppidum dès l'âge du bronze. Plusieurs levées de terre attestent d'aménagements anciens de cet espace, qui forme un ovale de 525 m de long sur 300 m de large, et qui servait de poste de guet de la Cauchie. En 1854, les fouilles archéologiques ont mis au jour plusieurs casques bombés en bronze, datant d'environ 1800 av. J.-C. La présence d'un fanum romain ainsi qu'un mobilier plus tardif (poteries, pièces de monnaie) attestait également d'une occupation de l'oppidum au cours de l'époque romaine. Au Moyen Âge, le site était encore occupé et était même doté d'une motte castrale où un puits, datant du XIIe siècle, y était repéré. Cet ensemble dépendait alors du fief de l’Étoile, propriété des châtelains d'Amiens. Appelé « le Castelet » puis « Camp César » à partir de 1644, cet endroit constitue l'un des oppidums les plus importants du département de la Somme. Il est classé Monument historique depuis 1862[18] ».

Moyen Âge modifier

Un cimetière mérovingien est découvert en 1817.

Au début du XIIe siècle, il existe peut-être un village dit Arguvium, mais à un autre emplacement que celui de l’Étoile actuel[19].

Le prieuré de Moreaucourt de l’ordre de Fontevraud est fondé en 1165 par Aléaume d'Amiens, pour expier ses fautes. Cette communauté mixte de moniales et moines, souffrant régulièrement des maux de guerre, déménage à Amiens en 1635[20].

Époque moderne modifier

Les seigneurs possédant le fief de l'Étoile appartiennent successivement aux familles des châtelains d’Amiens (XIIe et XVIe siècles XIIe-XVIe), Leblond (1516), De Briet (1675-1720), Gouffier (XVIIe), Langlois de Septenville, Calonne de Cocquerel, et Ambroise-Léopold Jourdain de l'Éloge (1765).

Époque contemporaine modifier

Au début de la Seconde Guerre mondiale, le village est évacué entre le et le , notamment par des bus de la compagnie Saint-Frères, par le Mans, puis train jusqu'à Montauban où il est prévu d’héberger les réfugiés. Certains vont travailler à l'usine Saint-Frères de Puyoô dans les Pyrénées-Atlantiques[21].

La commune a été distinguée par la Croix de guerre 1939-1945 le , avec étoile de bronze[22].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. 1801 du canton de Picquigny[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Flixecourt

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme.

Intercommunalité modifier

L’Étoile était membre de la communauté de communes du Val de Nièvre et environs, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1992 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du qui prescrit que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec la petite communauté de communes de l'Ouest d'Amiens pour former, le , la communauté de communes Nièvre et Somme (CCNS), dont est désormais membre la commune.

Toutefois, après son élection en 2020, le maire Ghislain Tirmarche a fait part de son insatisfaction vis-à-vis de l'intercommunalité, indiquant « Avec 1 200 habitants, nous sommes la huitième commune en termes d’habitants dans la communauté de communes, et nous n’avons ni médiathèque intercommunale, ni de microcrèches, énumère encore le maire de L'Étoile. Je n’ai rien contre le président, mais il faut que l’on se retrouve à une table de négociation, que les choses changent, pour que la solidarité ne se fasse pas que dans un sens[24] », avant de reconnaître qu'il ne pouvait pas quitter la CCNS[25].

Liste des maires modifier

Liste des maires depuis la Libération de la France
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1945 mars 1965 Eugène Richard[28] app.PCF Médecin, résistant
de retour de déportation, aveugle, il reprend ses activités
23 mars 1965 1995 Roger Minard    
juin 1995 mars 2001 Jacky Hérouart   Retraité, cadre technique
mars 2001 2014 Alain Castello[29]   Retraité, diplômé de l'Institut Français de Gestion
2014[30] juillet 2020[31] Michel Delohen[32] DVG Retraité
juillet 2020[33] En cours
(au 26 mars 2022)
Ghislain Tirmarche   Chef d’équipe chez JPR Hutchinson

Instances de démocratie participative modifier

La commune s'est dotée en 2021 d'un conseil municipal des jeunes (CMJ). Au terme d'un scrutin qui s’est déroulé dans l’enceinte de l’école et dans la mairie (pour permettre aux collégiennes et aux collégiens scolarisés à l’extérieur de voter), un nouveau maire des jeunes a été élu pour un an en mars 2022. Le mandat 2021-2022 a été marqué par la réalisation d’une piste de cyclo-cross sur le terrain des Moulins Bleus[34].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 1 156 habitants[Note 4], en diminution de 7,74 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
697615725733822894869899797
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8158641 0481 0929568841 0321 3631 649
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6501 7521 6761 5271 5041 4761 5151 5351 689
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 6381 6501 5541 4461 3341 3051 2491 2411 263
2017 2021 - - - - - - -
1 1941 156-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

L'école maternelle et élémentaire publique Jules Ferry compte 110 élèves à la rentrée scolaire 2017[38].

Autres équipements modifier

En 2020, l'Étoile dispose d'un bureau de poste.

Sports modifier

L'Avenir de L'Étoile est le club sportif local, surtout réputé pour le football. La section du sport au ballon rond a évolué en Ligue de Picardie dans les années 1970 et 1980.

Économie modifier

La municipalité a créé en 2020 un marché de producteurs, qui a lieu le jeudi matin[39].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Camp néolithique
  • Oppidum
  • Ruines de l'église Saint-Jacques-le-Majeur
  • Chapelle Sainte-Anne : Ancienne école des garçons, bâtiment du XIXe siècle, mutilé et transformé en chapelle après l'incendie de l'église Saint-Jacques en 1991.
  • Les étangs : la vallée de la Somme est un lieu de villégiature et de pêche de loisirs.

Personnalités liées à la commune modifier

L'Étoile dans les arts modifier

Le film sorti en 2008 Louise-Michel de Benoît Delépine et Gustave Kervern a été en partie tourné à l'Étoile.

Héraldique modifier

  Blason
D'azur aux trois molettes d'or dans les trois premiers cantons et au besant du même dans le quatrième canton.
Détails
Le blason, adopté en 1982, est celui « de la famille de L'Estoile, ou de L’Étoile, telles que les décrit Belleval (Nobiliaire de Ponthieu, 1862) qui précise qu'elles ont pour support deux lions et pour cimier une molette dans un vol banneret[46] »
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

  • Jacky Hérouart, L'Etoile mon village, 1982.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à l'L'Étoile » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à l'L'Étoile - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à l'L'Étoile - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Somme » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre L'Étoile et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de l'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 348 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 361.
  16. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 276a-662a
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1450.
  18. Bertrand Fournier, Frédéric Fournis, « Le village de L'Étoile : Dossier IA80009625 réalisé en 2008 », Inventaire général - Région Hauts-de-France (consulté le ).
  19. « g.lancel.free.fr/seigneurs/lis… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  20. a et b Thierry Griois, Le Courrier picard, édit. d'Abbeville, , p. 20.
  21. « Les stelliens évacuent L'Etoile », sur g.lancel.free.fr (consulté le ).
  22. « Communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), (consulté le ).
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. « Le maire de L’Étoile menace de quitter la Communauté de communes Nièvre et Somme : S’estimant « lésé » par la perte de terrains à bâtir, Ghislain Tirmarche a fait part de sa colère aux habitants. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Benoit Delespierre, « Le maire de L’Etoile rentre dans le rang : Ghislain Tirmarche ne veut plus quitter la communauté de communes. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Ghislain Lancel, « Liste des maires de L'Etoile », L'ETOILE (80830) et son histoire, par Ghislain LANCEL, sur g.lancel.free.fr, (consulté le ).
  27. « Eugène RICHARD (1903-1986) », sur g.lancel.free.fr (consulté le ).
  28. https://maitron.fr/spip.php?article156965, notice RICHARD Eugène par Julien Cahon, version mise en ligne le 31 mars 2014, dernière modification le 31 mars 2014.
  29. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  30. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. Olivier Bacquet, « A L'Etoile (80), le maire battu par son ancien adjoint : Le second tour des municipales a confirmé les résultats du premier tour à L’Étoile. Le maire Michel Delohen est battu par son ancien premier adjoint Ghislain Tirmarche. », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La liste menée par Ghislain Tirmarche s’impose nettement au second tour des municipales à L’Etoile. Avec 274 voix, elle devance celle du maire sortant Michel Delohen, confirmant ainsi les résultats du 15 mars. La liste de l’actuelle première adjointe Astrid Dubos est loin derrière, avec 96 voix ».
  32. Olivier Bacquet, « Loi des séries à L'Etoile : y a-t-il une "malédiction" des premiers adjoints ? : Trois listes sont en lice pour les municipales à L’Étoile. Toutes sont menées par d’anciens (ou actuelle) premiers adjoints en froid avec les maires avec qui ils ont été élus », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avant que ses deux premiers adjoints successifs ne se retournent contre lui, Michel Delohen s’est retrouvé dans la même position. Jusqu’en 2014, lui-même était premier adjoint lorsque, en froid avec le maire Alain Castello, il a décidé de monter sa propre liste, ravissant de justesse l’écharpe de maire à son prédécesseur ».
  33. Arthur Lasseron, « À L’Étoile, nouveau maire et nouveaux projets : Ghislain Tirmarche est devenu en juin le maire de la commune. Il ne manque pas d’idées pour la redynamiser », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Engagé dans la municipalité depuis 2014, Ghislain Tirmarche a été élu pour les six prochaines années à la tête du village en juin dernier, succédant à Michel Delohen. Adjoint lors du dernier mandat municipal, il a démissionné de son poste en 2017 à la suite de différends avec l’ancien maire, avant de rejoindre l’opposition la même année ».
  34. Olivier Bacquet, « Quentin Verdeghem devient le deuxième maire des jeunes de L'Etoile : Quentin Verdeghem devient le deuxième maire des jeunes de L'Étoile », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. L'école primaire sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
  39. Thierry Griois, « Le marché de producteurs locaux de L’Étoile a pris toute sa place : Lancé le 24 septembre dernier, il ne cesse d’attirer de nouveaux commerçants et clients. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Bâtiment d'habitation de la ferme [prieuré de Moreaucourt] (Extrait de "La Picardie historique et monumentale"). », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  41. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Ruines de l'ancien couvent de Moreaucourt, commune de l'Etoile, fondé en 1146, d'après nature, 1881 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  42. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Ruines de l'ancien couvent de Moreaucourt, commune de l'Etoile, fondé en 1146, d'après nature, 1881 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
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