Katzenthal

commune française du département du Haut-Rhin

Katzenthal
Katzenthal
Katzenthal : château du Wineck, avec le village en contrebas. À l'arrière-plan: la plaine d'Alsace, où s'étire l'agglomération colmarienne.
Blason de Katzenthal
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Colmar-Ribeauvillé
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Kaysersberg
Maire
Mandat
Nathalie Tantet-Lorang
2020-2026
Code postal 68230
Code commune 68161
Démographie
Population
municipale
527 hab. (2021 en diminution de 1,13 % par rapport à 2015)
Densité 151 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 30″ nord, 7° 16′ 58″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 660 m
Superficie 3,5 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Colmar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Marie-aux-Mines
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Katzenthal
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Katzenthal

Katzenthal [kat͡səntal] Écouter est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Géographie modifier

 
Vue depuis le sommet du Galtz, regard vers l’est. À gauche, le village de Katzenthal, reconnaissable à son svelte clocher blanc. Au loin, la plaine d’Alsace, où s’étale l’agglomération de Colmar.

Katzenthal se situe au pied du versant oriental des Vosges, en retrait de la RN 415 (Route des vins d'Alsace) reliant Ingersheim (lointaine banlieue nord-ouest de Colmar) et Ammerschwihr, à l’entrée d’un vallon de 1,5 à 2 km, qui s’étire selon un axe est-ouest et que clôt, à l’ouest, le sommet vosgien du Galtz (alt. 731 m).

C'est une des 188 communes[1] du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Le vallon s’ouvre à l’ouest sur la plaine d’Alsace, tapissée ici de vignobles[2] sur plusieurs kilomètres vers l’ouest, jusqu’à la zone industrielle nord de Colmar.

Le château de Wineck, sis en contrehaut, surplombe le village et les coteaux de vigne de Katzenthal.

Communes limitrophes de Katzenthal
Ammerschwihr
  Ingersheim
Niedermorschwihr Turckheim

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trois-Épis_sapc », sur la commune de Turckheim à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 804,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Katzenthal est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (57 %), forêts (35,7 %), zones urbanisées (7,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Des découvertes néolithiques (c'est-à-dire remontant à 2000 à 1700 av. J.-C.), faites en 1899 sur la colline du Dorfbourg, à quelques centaines de mètres au sud-est du village, et consistant en trois tombes préhistoriques contenant des squelettes et des fragments de vases, attestent que le vallon de Katzenthal a été habité dès la préhistoire.

 
Vue générale du village, avec l'église Saint-Nicolas. La colline du Dorfbourg est la colline coupée d'une tranchée blanche au second plan à droite. À l'arrière-plan, la plaine d'Alsace et une partie de l'agglomération colmarienne.

Le château du Wineck, autrefois appelé aussi Weineck ou Windeck, qui date de la fin du XIIe siècle, est à l’origine de la localité actuelle. La première mention du village, sous la forme Chacindale, figure dans une charte de 1185 du pape Lucius III. Il se pourrait que cette désignation dérive du nom du premier habitant de l’endroit, un dénommé Chazzo, propriétaire du vallon. En 1212, la localité est évoquée sous la graphie Kancendale, puis, par altérations successives — où, sans doute, l’étymologie populaire joua un rôle (Katzenthal voulant dire littéralement « Val-aux-Chats ») — sous les graphies Kazzindal en 1233, Cazzendale en 1240, Kazendal en 1286, Katzental en 1328, et Katzentall en 1659.

Le territoire de Katzenthal, qui était à l’origine propriété d’Eguisheim, fut réuni à celui d’Ingersheim et le resta jusqu’à la Révolution française. Purent par la suite acquérir, par voie de donation, des biens sur le territoire de Katzenthal : l’abbaye de Pairis (fin XIIe et milieu XIIIe), le couvent de Marbach (début XIIIe), et le couvent Saint-Jean de Colmar.

En 1220 fut fondé le couvent des dominicaines Sainte-Catherine (les « Catherinettes »), assemblée de femmes pieuses dont sainte Catherine était la patronne. Une querelle opposa en 1249 ce couvent au seigneur local Reichard vom Winneg, querelle qu’arrangea un seigneur de Schauenberg. En 1288, le couvent des dominicaines Sainte-Catherine fut transféré à Ammerschwihr, puis, en 1312, d’Ammerschwihr à Colmar, où il se maintint jusqu’en 1790. À l’heure actuelle, le couvent est une école, et l’église a été aménagée en salle de concert municipal (salle des Catherinettes).

En 1251, la seigneurie de Windeck fut donnée en fief à Ulrich Ier, comte de Ferrette, qui la vendit en 1271 à l’évêque de Bâle, Heinrich de Neuchâtel, mais l’obtint de nouveau en fief. En 1324, par suite de mariage, la seigneurie du Windeck, ainsi que le Sundgau, revint à Albert II le Sage, duc d’Autriche, époux de la comtesse héréditaire Jeanne de Ferrette. À partir de 1349 et jusqu’à 1364, une partie de la seigneurie de Windeck est administrée par les seigneurs de Ribeaupierre. En 1361, Rudolf IV, archiduc d’Autriche, fait cadeau du château de Windeck aux seigneurs de Rathsamhausen.

Dans différents documents à partir de 1502, le château du Wineck était donné pour une ruine. En 1595, il fut procédé, par les seigneurs de Rathsamhausen, à l’édification d’un nouveau château dans l’actuelle Grand’Rue[16].

Katzenthal fit définitivement partie, après 1521, de la seigneurie de Hohlandsbourg détenue, tour à tour, par les comtes de Lupfen, le baron Lazare de Schwendi (1563), ses descendants, puis par la ville de Colmar jusqu’en 1789.

En 1914, des chasseurs alpins français, descendus de Trois-Épis, s’emparèrent le 20 août de Katzenthal et y jouèrent la Marseillaise. Cependant, les Allemands reprirent le village huit jours plus tard après un combat qui se solda par 16 morts côté français.

À la Libération, lors des combats et des bombardements associés à la bataille de la Poche de Colmar, qui fit rage du 5 décembre 1944 au 4 février 1945, le village fut dévasté à 90 %. Les dégâts nécessitèrent des travaux de reconstruction qui se prolongèrent jusqu’en 1956. À Colmar, le 14 juillet 1949, le général de Lattre de Tassigny décerna aux représentants de la commune la croix de guerre avec étoile de vermeil[17].

Depuis 1986, Katzenthal, avec plusieurs autres communes de Haute-Alsace, est membre de la Fédération des villes de Lazare de Schwendi, qui réunit des communes et des villes de France, de Belgique et d’Allemagne, qui ont fait partie des anciennes seigneuries du diplomate et humaniste Lazare de Schwendi ou qui, de quelque manière, ont eu des rapports très étroits avec lui.

Héraldique modifier


Les armes de Katzenthal se blasonnent ainsi :
« D'azur à une lune versée d'argent sommée d'une croix pattée d'or. »[18]

La matérialisation la plus ancienne connue du blason de Katzenthal date de 1659, à savoir un sceau frappé aux armes du village et conservé au musée de Colmar. La commune est représentée par une croix dorée sur fond bleu avec une demi-lune argentée.

Politique et administration modifier

Budget et fiscalité 2014 modifier

 
Mairie-école. Remarquer à l'arrière-plan le donjon du château du Wineck, entouré des vignobles du Schlossberg-Wineck.

En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :

  • total des produits de fonctionnement : 475 000 , soit 855  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 371 000 , soit 667  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 280 000 , soit 503  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 155 000 , soit 279  par habitant.
  • endettement : 2 000 , soit 4  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 14,13 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 15,03 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 69,86 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 avril 2008 Marius Eckle    
avril 2008 juin 2015 Nicole Tisserand   (démission)
septembre 2015 décembre 2016 Claude Arnoux   (démission)
janvier 2017 En cours
(au 31 mai 2020)
Nathalie Tantet-Lorang [20]
Réélue pour le mandat 2020-2026
   

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2021, la commune comptait 527 habitants[Note 4], en diminution de 1,13 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
432492570520609652611608609
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
555578600571541535550544553
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
534521509475469462462316417
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
463483528505505497538544538
2017 2021 - - - - - - -
528527-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

Le Château du Wineck modifier

 
Château du Wineck.

Le château-fort ruiné de Wineck[25], que l’on retrouve dans les documents anciens également sous les noms de Windeck ou Weineck (et qu'il faut se garder de confondre avec le Château de Wineck, sur la commune de Dambach, tout au nord de l'Alsace, dans le département du Bas-Rhin), surplombe le village et le vignoble de Katzenthal[26],[27]. Il est le seul château d’Alsace à être cerné de coteaux de vignes, et le célèbre grand cru Wineck-Schlossberg en tire son nom.

Construit vers 1200 par les comtes d’Eguisheim-Dabo, il est cité pour la première fois dans les annales en 1251, lorsque le comte Ulrich de Ferrette donne le château à l’évêque de Strasbourg. Tenu en arrière-fief par les chevaliers de Wineck, famille patricienne de Colmar, il devient au milieu du XIVe siècle propriété des barons de Rathsamhausen, qui le conservent jusqu’en 1828, c’est alors la famille de Gail qui en est propriétaire jusqu’en 1864[28].

Se composant à l’origine seulement d’un donjon et d'un modeste logis, le château fut ensuite, au XIVe siècle, agrandi et entouré d’une muraille d’enceinte, tandis qu’une seconde enceinte fut érigée qui délimitait la basse cour. Le château comprend aujourd’hui un rempart en fer à cheval et, se dressant sur la face nord, un donjon de 21 mètres de haut.

La Société pour la conservation des monuments historiques d'Alsace l’acquiert en 1866 ; elle en est toujours propriétaire. La commune de Katzenthal a contracté, le 22 juin 2013, un bail emphytéotique de 19 ans avec la Société pour la Conservation des Monuments Historiques d'Alsace[29]. Occupé durant 250 ans, le château est cité comme « démoly » en 1502. Ce témoin de l’Histoire médiévale d’Alsace est restauré depuis 1972 par les Amis du Wineck, « Société pour la Restauration et la Conservation du Château de Katzenthal », qui l’ont tiré de l’oubli et sauvé de la destruction. Il est illuminé tous les soirs de 21 à 24 heures[30].

Église Saint-Nicolas modifier

 
Église Saint-Nicolas.

Katzenthal devint paroisse autonome en 1690, et une nouvelle église — l’édifice actuel —, dédiée à saint Nicolas, fut construite en 1719, à l’initiative du curé Jean Stædler. Le campanile, qui renferme un carillon de 4 cloches, n’a été érigé qu’en 1895. L’église subit de graves dommages en 1944, mais des travaux de reconstruction furent entrepris après la guerre, qui durèrent jusqu’en 1955[31].

L'orgue de l'église, de 1827, était de Jean-Frédéric Verschneider[32],[33].

Autres sites modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
  2. Le vallon de Katzenthal
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Katzenthal et Turckheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Trois-Épis_sapc », sur la commune de Turckheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Trois-Épis_sapc », sur la commune de Turckheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. « Ancienne cour noble des Rathsamhausen, dite Schlössle », notice no PA00085748, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  17. Commune décorée de la Croix de guerre 1939 - 1945
  18. Archives Départementales du Haut-Rhin
  19. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Wineck, château-fort
  26. « Château de Wineck », notice no PA00085470, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Château fort de Wineck », notice no IA68003963, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Château du Wineck »
    « Château du Wineck, Katzenthal ».
  29. « Katzenthal / La commune reprend les rênes du château du Wineck », sur lalsace.fr, L'Alsace, (consulté le ).
  30. Texte établi d’après une notice d’information affichée à l’entrée du château.
  31. « église paroissiale Saint-Nicolas », notice no IA68003951, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Notice no IM68007340, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de l'église paroissiale Saint-Nicolas
  33. L'orgue de Jean-Frédéric Verschneider
  34. « presbytère », notice no IA68003956, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Chapelle Notre-Dame-des-Douleurs », notice no IA68003953, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours, détruite », notice no IA68003952, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Monument aux morts
  38. Les belles enseignes de la Grand'Rue