Jean V d'Arpajon

baron français du temps des guerres de religion

Jean V d'Arpajon, baron d'Arpajon et de Séverac, est né vers 1570 et mort en 1634 à Calmont de Plantcatge (Aveyron) est le fils du baron huguenot Charles d'Arpajon (†1579) et de Françoise de Montal. Il épousa le Jacquette (ou Jaquette) de Castelnau de Clermont-Lodève (vers 1569-1634), fille de Guy de Castelnau-Caylus, sénéchal de Toulouse, dont il eut sept enfants[1]:

  • Louis d'Arpajon († 1679), duc et pair de France
  • Henri d'Arpajon, baron de Caumont
  • Jean d'Arpajon (†1677), reçu chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1604, grand commandeur (1664), prieur de Saint-Gilles (1664-1677)[2]
  • Alexandre d'Arpajon, chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem
  • Aldonce d'Arpajon (†1673), abbesse de Millau en 1619,
  • Louise d'Arpajon, qui épousa en 1623 Hugues de Loubens, baron de Verdalle
  • Rose d'Arpajon, mariée à son cousin Charles d'Arpajon, baron de Broquières
Jean V d'Arpajon
Titre de noblesse
Baron
Biographie
Naissance
Vers Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Activité
Famille
Père
Charles d'Arpajon, Baron d'Arpajon et de Séverac (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Françoise de Montal (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Jacquette de Castelnau (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Blason

Il abjura le calvinisme et fut sénéchal et gouverneur du Rouergue de 1592 à 1596. Son fils, Louis d'Arpajon, obtiendra l'élévation de la terre d'Arpajon en duché-pairie.

Articles connexes modifier

Références modifier

  1. Louis Moréri et M. Moret, Le grand dictionaire historique, ou mélange curieux de l'histoire sacrée ..., t. I, Paris, , 20e éd. (lire en ligne), p. 370
    Jean IV dans cet ouvrage et ce quel que soit l'édition mais il manque dans cette généalogie Jean I († 1360), frère ainé de Bérenger II, cf. Claude de Vic, Histoire générale de Languedoc: avec des notes et les pièces justificatives, 1843, p. 363 . Voir aussi Maison d'Arpajon.
  2. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome II », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVIII,‎ , p. 226-232, lire en ligne sur Gallica

Source modifier

  • Louis Moréri, Le grand dictionaire historique, ou mélange curieux de l'histoire sacrée ..., vol. I, Lyon,