James Chaloner (Londres, 1603-Londres, 1660) fut gouverneur de l'île de Man de 1659 à 1660.

James Chaloner
Fonctions
Membre du parlement d'Angleterre de 1642-1648
-
Membre du Parlement d'Angleterre (1648)
Membre du Parlement d'Angleterre
Biographie
Naissance
Décès
Activité
Père
Thomas Chaloner (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Elizabeth Fleetwood (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Sir William Chaloner (d)
Edward Chaloner (d)
Thomas Chaloner (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Ursula Fairfax (d) (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Veriana Chaloner (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Signataires de la mort de Charles Ier (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

Quatrième fils de Thomas Chaloner, de Guisborough, dans le Yorkshire (Angleterre), et d'Elizabeth Fleetwood, il est nommé commissaire de l'île de Man le par Lord Fairfax et est de ce fait chargé d'administrer les affaires du seigneur de l'île[1]. Son attitude diligente plaît tant au seigneur que celui-ci le nomme gouverneur de l'île en 1659.

En raison de sa participation au jugement et à la condamnation du roi Charles Ier, alors qu'il était sur le point d'être emprisonné, il préfère se suicider par l'absorption d'un poison en [2].

Origines et famille modifier

Le grand-père de James Chaloner, sir Thomas Chaloner, obtint son titre de noblesse à la suite de la bataille de Musselburgh. Il mourut en 1565, après avoir été ambassadeur en Espagne et en Allemagne[3].

Le frère de James Chaloner, Edward Chaloner, aumônier de Jacques Ier, fut l'un des plus célèbres prédicateurs de son temps. Il mourut de la peste en 1625[3].

Voir aussi modifier

Notes et références modifier

  1. (en) Biographie de James Chaloner, Manx Society, vol. X, 1868.
  2. (en) « Unpublished document 188 : Peel Castle Garrison, 1660 », sur www.isle-of-man.com (consulté le )
  3. a et b The biographical treasury, a dictionary of universal biography, Samuel Maunder, 1838, p.158.

Liens externes modifier

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