Huclier

commune française du département du Pas-de-Calais

Huclier
Huclier
L'église Notre-Dame.
Blason de Huclier
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
Patrick Galiot
2020-2026
Code postal 62130
Code commune 62462
Démographie
Population
municipale
154 hab. (2021 en augmentation de 18,46 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 48″ nord, 2° 21′ 14″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 163 m
Superficie 3,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Huclier
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Huclier
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Huclier

Huclier est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes d’Huclier
Hestrus Tangry
Conteville-en-Ternois   Valhuon
Troisvaux

Paysages modifier

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[1].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 898 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fiefs à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Huclier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,7 %), prairies (13,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formesNuclearium en 1101 (cart. de Saint-Georges, f° 11 r°), Huclers en 1136 (cart. de Watten, f° 196 v°), Hucliers en 1193 (cart. de Watten, f° 161 r°), Hucliers-en-Ternois en 1516 (Arch. nat., J. 1005, n° 3), Huquelier-lez-Saint-Pol en 1739 (Maillart, p. 36), Huquelier en 1793[15].

D'un nom de personne germanique Hugo suivi du germanique laar « clairière »[16].

Histoire modifier

Pendant la Première Guerre mondiale, des troupes françaises stationnent sur Huclier, située en arrière du front de l'Artois, par exemple en avril 1915[17].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune faisait partie de la petite communauté de communes du Pernois créée fin 1993.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [18] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[19]. À l'initiative des intercommunalités concernées[20], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[21] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [22],[23].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [24].

Circonscriptions administratives modifier

La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Bernard Roussel    
mars 2008 2014[25] Louis Cadet    
2014 En cours
(au 24 mars 2022)
Patrick Galiot   Agriculteur[26],[27]
Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 154 habitants[Note 4], en augmentation de 18,46 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
129128115149144143129147120
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
126132146145144127130119124
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
126131144117111117109112101
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
89797159767796111118
2014 2019 2021 - - - - - -
130144154------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 9,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 76 hommes pour 64 femmes, soit un taux de 54,29 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
0,0 
2,6 
75-89 ans
4,5 
5,1 
60-74 ans
4,5 
19,2 
45-59 ans
21,2 
26,9 
30-44 ans
27,3 
14,1 
15-29 ans
21,2 
30,8 
0-14 ans
21,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Enseignement modifier

L'école de la commune a fermé en 1965, et les enfants sont scolarisés à Conteville[27].

Équipements communaux modifier

La commune se dote en 2016 d'une salle des fêtes de 300 m2 qui lui faisait défaut et nécessitait d'utiliser les équipements comparables des villages proches de Valhuon, Tangry ou Brias.

Elle est construite à l'emplacement de l’ancienne salle de classe, fermée en 1964[35],[36].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
de gueules aux trois maillets d’or.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Huclier et Fiefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
  17. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  18. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  19. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  20. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  21. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  22. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  23. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  24. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  25. Alexis Degroote, « « Le Bilan de maire » à Huclier : les élus ont commencé à travailler sur un projet de salle polyvalente : Le maire, Louis Cadet, n’a pas souhaité répondre à nos questions, pour notre rubrique des « Bilans des maires ». Nous avons donc consulté les registres des délibérations du conseil municipal pour dégager les grandes lignes de ce mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Huclier - Patrick Galiot à la tête d’un conseil municipal élargi », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. a et b Aline Chartrel, « Huclier : le maire veut une salle à 500 000 € pour les 132 habitants : Aux commandes depuis le mois de mars, Patrick Galiot commence à se familiariser avec sa nouvelle fonction de maire. Mais élu au conseil depuis 1995, il maîtrise déjà les rouages de la gestion communale. Entretien avec un premier magistrat qui nourrit un projet d’envergure pour sa petite commune. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Huclier (62462) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  35. « Bientôt, Huclier pourra faire la fête chez lui… et plus chez ses voisins : C’est une situation peu confortable que connaissait la commune, contrainte de louer les locaux des villages voisins lors d’événements, faute de posséder sa propre salle des fêtes. Il était temps pour le maire d’y remédier : les travaux de construction débuteront dans moins d’un mois », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  36. Aline Chartrel, « Projet emblématique du milieu rural, la salle polyvalente inaugurée : Ça n’est pas tous les jours qu’une commune d’un peu plus de 150 habitants fait construire un bâtiment communal à plus d’un demi-million d’euros. Il aura fallu huit ans pour qu’une salle polyvalente voie le jour à Huclier, et c’est en nombre que les officiels ont salué samedi son aboutissement. Voilà pourquoi », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne) « Les élus ont dû prendre leur bâton de pèlerin pour obtenir trois appuis : l’État, le Département et la CAF, à hauteur de 53 % du coût total de l’opération, chiffré à 580 000 € fin 2015. L’autre moitié, la commune a dû la supporter avec 20 % d’autofinancement et la souscription d’un emprunt, sans hausse des impôts locaux ».