Houlette (Charente)

commune française du département de la Charente

Houlette est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Houlette
Houlette (Charente)
La mairie.
Blason de Houlette
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Annick Franck Martaud
2020-2026
Code postal 16200
Code commune 16165
Démographie
Gentilé Houlettois
Population
municipale
386 hab. (2021 en augmentation de 3,49 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 40″ nord, 0° 12′ 40″ ouest
Altitude Min. 18 m
Max. 41 m
Superficie 7,15 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jarnac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Houlette
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Houlette
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Houlette
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Houlette

Ses habitants sont les Houlettois et les Houlettoises[1].

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

La commune d'Houlette est située dans l'ouest du département de la Charente, dans le Pays-bas et en limite de la Charente-Maritime. Le bourg est à 9 km au nord de Jarnac et 31 km à l'ouest d'Angoulême.

Houlette est aussi à 11 km au nord-est de Cognac et 12 km à l'ouest de Rouillac[2].

L'ancienne voie romaine de Saintes à Lyon traverse toute la commune, de l'ouest à l'est, couverte par la D 188 et la D 55. Cette dernière la relie à Sigogne au sud-est et à la D 736 entre Jarnac et Rouillac, et à l'ouest à Cognac par Sainte-Sévère et la D 24[3].

Hameaux et lieux-dits modifier

Le centre de population le plus important de la commune est le gros hameau du Cluzeau, situé à environ un kilomètre au sud du bourg.

Le hameau du Peyrat est situé près de l'ancienne voie romaine.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes d’Houlette
Macqueville
(Charente-Maritime, sur 50 m)
Sainte-Sévère   Courbillac
Réparsac Sigogne

Géologie et relief modifier

Comme toute cette partie de la rive droite de la Charente dans laquelle se situe le territoire communal, Houlette a des assises géologiques relevant du Tithonien, anciennement nommé étage Portlandien, et présente des affleurements de marnes et d'argiles. La commune est presque entièrement située dans la vaste plaine du Pays bas, ancienne zone lagunaire du Purbeckien (fin du Jurassique, mordant sur le Crétacé inférieur, étage Berriasien), riche en gypse. Des alluvions datant du Quaternaire occupent la bordure sud de la commune[4],[5],[6].

Le point culminant de la commune est à une altitude de 41 m, situé sur la limite nord-est. Le point le plus bas est à 18 m, situé sur la limite occidentale le long du Thidet. Le bourg est à 31 m d'altitude[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Houlette.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Tourtrat, le Thidet, le ruisseau de la Bonnelle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Deux petits cours d'eau temporaires, le Tourtrat et le Thidet, arrosent la commune. Le Tourtrat, né près du bourg de Neuvicq, en Charente-Maritime, parcourt la partie orientale de la commune et sert ensuite de limite à cette commune, la séparant de la commune de Sigogne. Le Thidet prend sa source un peu au-dessus du bourg et va rejoindre la Soloire dans la commune voisine de Sainte-Sévère.

Le bourg d'Houlette est agréablement situé au-dessus de la source du Thidet[3].

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Houlette est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,6 %), terres arables (21,5 %), cultures permanentes (17 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Houlette est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Houlette.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 194 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 194 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie modifier

Les formes anciennes sont Oletta[21], Oullete en 1481-1482[22].

Selon Jean Talbert, le nom de Houlette viendrait de lauretum et signifierait « lieu planté de lauriers »[Note 3]. L'ajout du H- est dû à l'attraction paronymique[23].

Selon Albert Dauzat, l'hypothèse de Talbert est insoutenable, et il considère a priori l'étymologie de ce toponyme comme obscure et suggère sans grande conviction le sens de « creux » à partir du sens métaphorique du mot occitan ola, diminutif oleta et signifiant « petite marmite », fréquent dans le Sud de la France[24],[Note 4].

Remarque : l'homographie avec les microtoponymes (la) Houlette / (les) Houlettes de Normandie, voire du Nord, est fortuite. Il s'agit d'une formation toponymique régionale, diminutif de houle « trou », au sens de « terrier, entrée d'un terrier », terme issu du vieux norrois hola « trou dans la terre »[25].

Histoire modifier

Un fossé circulaire protohistorique repéré au lieu-dit les Érables signe l'ancienneté de l'occupation[26].

La voie romaine Saintes-Limoges passe au Peyrat et de très nombreux signes d'une occupation au Haut-Empire ont été retrouvés, ainsi qu'une nécropole du IVe siècle ou du début du Ve siècle.

Un site est aussi au Cluzeau (peut-être les vestiges d'une villa)[26].

Dans le premier quart du XIXe siècle, un des principaux propriétaires du Cluzeau était Jean-Pierre Briand, issu d'une vieille famille angoumoisine qui avait fourni à la France quelques hommes remarquables, notamment au XVIIe siècle. Originaire de Marcillac-Lanville, cette famille donna à cette principauté de nombreux juges et procureurs. Un de ses membres, Pierre Briand, écuyer, seigneur de la Chaussée, fut maire d'Angoulême en 1652.

Les registres de l'état civil remontent à 1669[27].

L'église dépend d'abord de l'abbaye Saint-Cybard d'Angoulême. Elle est donnée à l'abbaye de Bourgueil, puis en 1589 au prieuré Notre-Dame-de-Beaulieu d'Angoulême et enfin, en 1680, à l'abbaye Saint-Ausone d'Angoulême[28].

Le comte de Jarnac était le seigneur haut-justicier et la dîme était en totalité perçue par le curé d'Houlette[29].

Administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? ? Félix Lasserre ? Joueur de rugby
depuis 1983 En cours Annick-Franck Martaud SE Président de la CdC de Jarnac

En 2007 les impôts locaux sont au taux de 10,77 % pour la taxe d'habitation, 20,90 % pour la taxe foncière sur les propriétés bâties et 56,60 % pour la taxe foncière sur les propriétés bâties. La taxe professionnelle unifiée (TPU), au taux de 10,26 %, est perçue, comme sur toutes les autres communes, par la Communauté de communes de Jarnac. La communauté de communes de Jarnac reverse à chaque commune l'équivalent de la TPU qu'elle percevait lors de la création de la communauté moins les transferts de charges issus de la prise de compétences.

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 386 habitants[Note 5], en augmentation de 3,49 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
334324343391397411470508501
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
546528506450418457446461423
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
434392350310329308283304303
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
302338320373388389391367386
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 186 hommes pour 182 femmes, soit un taux de 50,54 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,6 
6,6 
75-89 ans
9,2 
15,4 
60-74 ans
18,7 
22,3 
45-59 ans
24,9 
20,4 
30-44 ans
17,9 
19,1 
15-29 ans
15,9 
16,2 
0-14 ans
11,8 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques modifier

En 2006, Houlette compte 152 ménages, en moyenne de 2,6 personnes avec 22,4 % des ménages constitués d'une personne seule. Entre 1999 et 2006 le nombre de ménages a augmenté de 7,8 % avec 11 nouveaux ménages.

En 2006, les 169 logements sont presque exclusivement des maisons (1,3 % d'appartements) dont 152 sont des résidences principales, 11 des résidences secondaires ou occasionnelles, et 6 sont vacants.

Économie modifier

Agriculture modifier

La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

Équipements, services et vie locale modifier

Enseignement modifier

L'école est un RPI entre Houlette et Réparsac. Réparsac accueille l'école élémentaire et Houlette l'école primaire. L'école de Réparsac comporte deux classes. Le secteur du collège est Cognac (collège Félix-Gaillard)[37].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

L'église paroissiale Saint-Martin date du XIIe siècle. C'était une vicairie perpétuelle du diocèse de Saintes qui dépendait de l'abbaye de Saint-Cybard; elle passe ensuite à l'abbaye de Bourgueil, puis, en 1589, au prieuré Notre-Dame-de-Beaulieu d'Angoulême. L'église, de forme simple, a eu beaucoup à souffrir des protestants. Remaniée vers 1728, en 1867 sa nef est réduite de longueur et le portail remonté. En 1881, elle est l'objet de nouvelles réparations. Son toit à longs pans est couvert de tuiles. Il existe un escalier en équerre[38],[28].

Il reste encore trois moulins : le moulin de l'Étang, le moulin de la Fosse et le moulin de la Grille sur des affluents de la Soloire[39].

La plupart des fermes sont des XVIIIe et XIXe siècles[39].

Le lavoir a été restauré et un espace aire de jeux et de pique-nique a été aménagé à côté.

Héraldique modifier

  Blasonnement :
De sinople à la houlette au naturel posée en bande, accompagnée en chef d'un berger aussi au naturel tenant dans sa main dextre une houlette du même et dans sa main senestre un agneau d'argent, et en pointe d'un mouton du même, à la filière d'or, le tout enfermé dans une bordure de gueules chargée en chef de l’inscription « HOULETTE » en lettres capitales de sable.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. En ancien occitan le o se prononçait ou (voir aussi Engolesme qui est devenu Angoulême). On retrouve Olette dans les Pyrénées-Orientales, dont le nom en catalan se prononce oulèta; il y a aussi Oletta en Corse. L'olée est encore le nom du laurier en patois de la région de Chef-Boutonne (Favre, glossaire).
  4. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Houlette » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Houlette », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Houlette », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Houlette », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 438
  22. La Mart.
  23. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 356.
  25. Elisabeth Ridel, les Vikings et les mots : L'apport de l'ancien scandinave à la langue française, éditions Errance, Paris, 2009, p. 231-232.
  26. a et b Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 132-133
  27. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 198
  28. a et b « Église d'Houlette », notice no IA00049620, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac..., abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Houlette (16165) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  38. Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne)
    Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
  39. a et b « Houlette », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier