Hervilly

commune française du département de la Somme

Hervilly
Hervilly
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Gaëtan Dodré
2020-2026
Code postal 80240
Code commune 80434
Démographie
Population
municipale
190 hab. (2021 en augmentation de 9,83 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 56′ 12″ nord, 3° 07′ 01″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 133 m
Superficie 6,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Hervilly
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Hervilly
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Hervilly
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Hervilly

Hervilly est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes d’Hervilly
Hesbécourt
Roisel   Jeancourt
Hancourt Bernes Vendelles
 
Entrée du village.

Description modifier

 
Vue panoramique d'Hervilly depuis la route de Bernes.

Situé à une quinzaine de kilomètres à l'est de Péronne, le village se trouve immédiatement au sud de Roisel.

Simple ferme il y a deux siècles, située alors au carrefour des routes de Bernes et de Vermand, le hameau de Montigny compte pratiquement autant d'habitants qu'Hervilly.

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épehy à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Hervilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96 %), zones urbanisées (4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 83, alors qu'il était de 77 en 2013 et de 72 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 91,6 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,2 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Hervilly en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,1 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Hervilly en 2018.
Typologie Hervilly[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,6 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,4 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 6 8,4 8,2

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Harvelli en 1276 ; Harvilli en 1285 ; Harvilly en 1214 ; Hervillies en 1539 ; Hervilly en 1567 ; Hervillé en 1696 ; Hervilli en 1733[14].

Histoire modifier

 
Carte postale de la râperie vers 1950.

En 1689, sous Louis XIV, Hervilly comptait 96 familles ; le patron de la paroisse était saint Jean-Baptiste et les seigneurs MM. Chanlatte et Boissay.

Une ferme nommée Montigny est éloignée d'un quart de lieue[15]. Une râperie aujourd'hui démolie, située le long de la voie ferrée, y a fonctionné jusque dans les années 1960.

Première Guerre mondiale modifier

Comme d'autres villages de la région, Hervilly est sorti meurtri de la Première Guerre mondiale car le village a été entièrement rasé en 1917 par les Allemands.

Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Hervilly[16]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en . Un terrain d'aviation qui sera bombardé le par l'aviation est installé[17].Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.

Voici des extraits d'un arrêté de la kommandantur d'Holnon valable pour 25 communes de la région: " Holnon le . Tous les ouvriers et les femmes et les enfants de 15 ans sont obligés de faire travaux des champs tous les jours aussi dimanche de quatre heure du matin jusque huit heure du soir... Après la récolte les fainéants seront emprisonnés 6 mois... Les femmes fainéantes seront exilées à Holnon pour travailler. Après la récolte, les femmes seront emprisonnées 6 mois... Les enfants fainéants seront punis de coups de bâton. De plus le commandant réserve de punir les ouvriers fainéants de 20 coups de bâton tous les jours...Les ouvriers de la commune Vendelles sont punis sévèrement".(voir le document entier sur Gallica en cliquant sur le lien ci-après[18]).

 
Carte montrant la prise définitive d'Hervilly par l'armée anglaise en .

En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Dès le les habitants furent évacués et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique. En , avant du retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église, la mairie, l'école et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à 1 m de hauteur[19].Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il sera le théâtre de nombreux combats en . Communiqué britannique du : "Ce n'est pas de moins de huit villages qui sont tombés au pouvoir des troupes britanniques. Certains de ces villages, comme Heudicourt, Hesbécourt, Hervilly, Jeancourt, n'ont été occupés qu'après de durs Combats"[20]. Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est qu'en , lors de la bataille de la ligne Hindenburg qu'Hervilly sera définitivement libéré par la 6e division britannique[21].

Après l'Armistice, pour les habitants qui revinrent s'installer, commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 362 habitants avant la guerre en 1911, Hervilly n'en comptait plus que 131 en 1921, soit près des deux tiers en moins.

Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[22], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [23].

Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 4 soldats d'Hervilly morts pour la France[24].

Ancienne gare de Montigny modifier

De 1880 à 1970, Hervilly-Montigny a possédé une gare située dans le hameau de Montigny, aujourd'hui « rue de La Gare ». Elle a été démolie dans les années 1980 pour faire place à des habitations. De nos jours, il ne subsiste qu'un bâtiment annexe et l'emplacement de la ligne. Cette gare était située sur la ligne de Chemin de fer de Vélu-Bertincourt à Saint-Quentin, qu'on dénommait en picard « ch'tiot Vélu ». Elle appartenait à la Compagnie des Chemins de fer du Nord. Ouverte en 1880 cette ligne a fonctionné jusqu'au pour le trafic voyageurs et au pour le fret. Les gares les plus proches étaient celles de Roisel à 4 km vers Bertincourt et la halte de Vendelles-Le Verguier à 2 km vers Saint-Quentin.

À une époque où le chemin de fer était le seul moyen de déplacement, cette gare était très utilisée par les habitants pour se rendre à Roisel, Vermand ou Saint-Quentin. Elle servait aussi au transport des marchandises et encore des betteraves jusqu'à la râperie de Montigny.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Roisel[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Péronne

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.

Intercommunalité modifier

Hervilly était membre de la communauté de communes du canton de Roisel, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a intégré le la communauté de communes de la Haute Somme dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mai 2020[26] Richard Jacquet   Président du SIVOS de la Haute-Somme (2012 → )
mai 2020[27] En cours
(au 8 décembre 2020)
Gaëtan Dodré    

Distinctions et labels modifier

Classement au concours des villes et villages fleuris : deux fleurs récompensent en 2007 comme en 2015 les efforts locaux en faveur de l'environnement[28],[29].

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

Le village n'a plus d'école.

Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal géré en 2020 par le syndicat scolaire de la Haute Somme (Sisco) concernant huit communes : Bernes, Pœuilly, Hancourt, Hervilly-Montigny, Hesbécourt, Vraignes-en-Vermandois, Villers-Faucon et Roisel. Le syndicat a la responsabilité de deux sites, avec deux classes maternelles à Bernes, et surtout neuf classes à Roisel, trois en maternelle et six en primaire[30].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 190 habitants[Note 2], en augmentation de 9,83 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
432401384393452451458465436
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
417389418427467419397383356
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
371357362131217202195198184
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
169174165184197204191189165
2017 2021 - - - - - - -
189190-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Jean-Baptiste.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • « Hervilly », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
  • Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Hervilly » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Hervilly - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Hervilly - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Somme » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. « Les horaires des lignes » Lignes du réseau Trans'80 », sur trans80.hautsdefrance.fr).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Hervilly et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 480 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. « Pouillé de l'ancien diocèse de Noyon. Fascicule 3 / , publié d'après le manuscrit par M. l'abbé Chrétien,... », sur Gallica, 1905-1911 (consulté le ).
  16. (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  17. « La Guerre mondiale : bulletin quotidien illustré », sur Gallica, (consulté le ).
  18. « Nouvelles de France : chronique hebdomadaire de la presse française », sur Gallica, (consulté le ).
  19. « Carte des positions 16 mars 1917 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  20. « L'Homme enchaîné : journal quotidien du matin / rédacteur en chef, Georges Clemenceau », sur Gallica, (consulté le ).
  21. « Le XIXe siècle : journal quotidien politique et littéraire / directeur-rédacteur en chef : Gustave Chadeuil », sur Gallica, (consulté le ).
  22. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  23. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  24. « Rechercher dans le fonds iconographique », sur geneanet.org (consulté le ).
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Richard Jacquet, maire de Hervilly-Montigny, ne repartira pas en 2020 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Richard Jacquet, maire sans interruption depuis 1995 de Hervilly-Montigny, un village de 195 habitants, a décidé de ne plus se représenter aux prochaines élections municipales ».
  27. « Gaëtan Dodre est le nouveau maire de Hervilly », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Richard Jacquet ayant décidé de se retirer alors qu’il était maire depuis 1995, c’est un conseil municipal fortement renouvelé, avec huit nouveaux membres sur onze, qui a porté à sa tête un jeune maire de 32 ans, Gaëtan Dodré, précédemment 1er adjoint ».
  28. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise.,‎ .
  29. « Liste des localités figurant au palmarès des villes et villages fleuris », sur Villes et villages fleuris (consulté le ).
  30. « Roisel claque la porte du syndicat scolaire », Le Courrier picard,‎ , p. 20.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.