Hari Kostov
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| Hari Kostov (mk) Хари Костов | |
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| Fonctions | |
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| Président du gouvernement de Macédoine | |
| – (5 mois et 16 jours) |
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| Président | Branko Crvenkovski |
| Gouvernement | Kostov |
| Législature | IVe |
| Coalition | SDSM-BDI/DUI-LDP |
| Prédécesseur | Radmila Šekerinska (intérim) Branko Crvenkovski |
| Successeur | Radmila Šekerinska (intérim) Vlado Bučkovski |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Pichitsa (RS de Macédoine, Yougoslavie) |
| Nationalité | Macédonienne |
| Parti politique | Indépendant |
| Profession | Économiste |
| Religion | Christianisme orthodoxe |
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| Présidents du gouvernement de la Macédoine | |
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Hari Kostov (en macédonien : Хари Костов), né le à Pichitsa, est un homme d'État macédonien de centre gauche.
Il est ministre de l'Intérieur entre 2002 et , puis président du gouvernement jusqu'en .
Biographie modifier
Débuts professionnels et politiques modifier
Il commence sa carrière dans les années 1980, comme conseiller économique du gouvernement de la République socialiste de Macédoine. Il rejoint la Banque mondiale dans les années 1990.
Il est nommé le ministre de l'Intérieur dans le troisième gouvernement du social-démocrate Branko Crvenkovski. N'appartenant à aucun parti de la coalition au pouvoir, son mandat est marqué par les affrontements entre la police et les milices albanophones.
Président du gouvernement modifier
Le successeur de Crvenkovski modifier
Le , Hari Kostov est nommé à 44 ans président du gouvernement de Macédoine par Crvenkovski, devenu président de la République. Son gouvernement, dans lequel les principaux ministres sont confirmés, reçoit deux jours plus tard l'investiture de l'Assemblée par 68 pour et 12 contre[1].
Démission au bout de six mois modifier
Il annonce sa démission le , moins de six mois après sa prise de fonction. Il justifie cette décision par des tensions entre les ministres macédophones et albanophones de son équipe, probablement dues au référendum sur la décentralisation tenu huit jours plus tôt et qui risquait de remettre en cause les accords d'Ohrid. L'Assemblée approuve son départ le et Radmila Šekerinska lui succède à titre intérimaire.
