Hangard

commune française du département de la Somme

Hangard
Hangard
La mairie.
Blason de Hangard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité Communauté de communes Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Olivier Dutilleux
2020-2026
Code postal 80110
Code commune 80414
Démographie
Population
municipale
128 hab. (2021 en augmentation de 4,07 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 25″ nord, 2° 30′ 47″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 102 m
Superficie 6,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Hangard

Hangard est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Cartographies de la commune
 
  La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Situé à une dizaine de kilomètres au sud-est d'Amiens, le village est accessible, au niveau routier par l'axe Amiens - Saint-Quentin ou par l'axe Amiens - Noyon.

Localisation modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Hangard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,2 %), forêts (23,3 %), zones urbanisées (4,5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens)[13].

Toponymie modifier

Le Dictionnaire topographique du département de la Somme indique comme formes anciennes du nom du village, d'après des documents historiques, Hangart (mentionné à plusieurs reprises, dès 1135), Hangardum (mentionné en 1146), et Hangard (depuis 1507) ; y figurent aussi les graphies alternatives Hangar, Hanguart et Angart[14].

Du vieux-francique *haimgard (« clôture autour de la maison »), composé de *haim (« hameau ») et de *gard (« jardin, enclos »).

Histoire modifier

Préhistoire - Antiquité

Des armes, des pierres travaillées ont été trouvées sur son territoire, des silex taillées polis, les uns en forme de couteau, de racloir et d'autres en forme de hache[15].

Un dolmen, aujourd'hui disparu dans les marais d'Hourges, est descendu par le simple effort de son poids à 0,80 m au-dessous de la surface du sol. Il se compose de deux grès de 1,50 m de long, et de deux autres de 0,80 m, ils sont placés à angle droit, les uns à côté des autres, de manière à former un rectangle orienté du nord au sud, la table en a disparu depuis longtemps[15].

Des fouilles faites en 1890 par maître Perin, notaire, n'ont rien mis au jour.

Moyen Âge

En 1362, des vignes sont mentionnées dans un dénombrement du fief que tenait madame Jehanne de Rivery (extrait châtellenie de Boves).

Quelques seigneurs du village :

  • Bernard de Hangard 1146 ;
  • Jehan de Hangard 1219 ;
  • Henri de Hangard 1248 ;
  • Drieu de Hangard 1337 ;
  • Jean de Hangard 1350 ;
  • Jean de Hangard 1380 ;
  • fils Gilles de Hangard 1437 ;
  • Jacques de Hangard 1473.
Temps modernes
 
Le château de Hangard vers 1912, peu avant sa destruction en 1918.
  • Charles de Monthomer de Marieux vers 1685 ;
  • Pierre d'Incourt de Hangard 1703 ;
  • Pierre-François d'Incourt de Hangard 1736, maire d'Amiens 1757-1760 ;
  • Pierre-Antoine d'Incourt de Hangard de 1760 jusqu'à la fin du droit féodal en 1789.

Pierre-François d'Incourt seigneur de Hangard (c.1725-1760), fut maïeur (maire) d'Amiens entre 1757 et sa mort survenue en 1760 (voir la liste des anciens maïeurs d'Amiens).

-En 1829 un violent incendie ravage Hangard, 7 députés de la Somme écrivent au roi Charles X qui le 30/4/1829 donne 400 frs à partager entre les victimes du sinistre

Première Guerre mondiale

Le village se trouve dans la zone des combats ou de leurs arrières, pendant la Première Guerre mondiale.

La commune est notamment concernée par l'offensive du printemps[16],[17],[18] qui se déroule du au .

Le , l'évacuation du village est organisée par M. Farcy instituteur-secrétaire de la mairie de Hangard. Seul Timothée Gaby resta avec son épouse jusqu'au dimanche au soir dans sa maison.

En , on assiste à la destruction totale du village[19]. Démuin, Moreuil, Marcelcave et Hangard sont jusqu'à cette date l'objet de combats acharnés, ces villages marquent la ligne du front atteint par l'ennemi. Le , on se bat à l'arme blanche dans les rues de Hangard.

Du au jour de l'évacuation, M. Farcy a consigné dans son journal « de guerre », noté jour par jour, que la commune a logé 102 000 hommes de troupe, 3 000 officiers, 40 000 chevaux.

Un don de la ville de Tanger (Maroc) permettra la reconstruction du village.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[20], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[21], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye  », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[22],[23]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[24] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [25] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [26], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 M. Dominique Paille[28] EXG  
2014[29] En cours
(au 8 octobre 2020)
Olivier Dutilleux   Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 128 habitants[Note 3], en augmentation de 4,07 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
244289300298314331342345322
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
343324310299286290264232224
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
214196172811081001089794
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
7175827387100114118122
2018 2021 - - - - - - -
124128-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

L'école du village fait partie du regroupement pédagogique intercommunal de la Luce qui comprend les écoles de Démuin, Thennes, Domart-sur-la-Luce et Berteaucourt-lès-Thennes. Les villages associés d'Ignaucourt, Aubercourt et Cayeux-en-Santerre ne disposent pas de classe sur leur territoire.

Le regroupement est géré par un syndicat intercommunal scolaire (SISCO) dont le siège est situé à Démuin.

Une garderie à Berteaucourt-lès-Thennes accueille les écoliers des sept villages constituant le RPI[34].

Culture locale et patrimoine modifier

 
L'église Saint-Martin.

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Martin[35].
L'église est placée sous le vocable de saint Martin.
Elle fut construite en 1523. Sous le clocher est la pierre tombale de Claire de Frucourt, femme de Jacques de Roye, seigneur de Hangard, morte le . C'est elle qui aurait fait construire l'église. En 1612, celle-ci compte deux cloches qui furent remplacées par quatre autres cloches en 1786 puis une cloche qui a été bénite en 1839.
Restaurée après les destructions de la Première Guerre mondiale, elle comprend des vitraux conçus et réalisés en 1926 par Jean Hébert-Stevens, Pauline Peugniez et André Rinuy[36],[37],[38],[39],[40],[41],[42],[43].

Héraldique modifier

 
Armoiries des d'Incourt de Hangard : « de gueules au daim saillant d'argent ramé d'or ». Ce sont des armes parlantes pour d'Incourt : « daim (qui) court ».

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
de gueules aux trois molettes d'argent.

Personnalités liées à la commune modifier

Anecdotes modifier

Au XIIe siècle, l'un des seigneurs de Hangard s'appelait Foulques Lehardi, c'était un preux chevalier, qui avait donné cent preuves de son adresse, de sa force et de sa bravoure dans maints combats. Il s'était surtout fait remarquer dans deux batailles[Lesquelles ?] livrées contre les musulmans. Blessé gravement dans une rencontre à la tête des troupes qu'il commandait, il tomba au pouvoir des ennemis qui le firent soigner avec les plus grands égards, dans l'espoir qu'après sa guérison on offrirait une forte rançon pour un tel chef, ce qui eut lieu en effet[15].

Le dimanche , l'abbé Cauet, curé doyen de Moreuil avait mission de baptiser trois nouveau-nés (ou ressuscités de la grande guerre), Marie-Thérèse avait comme parrain et marraine, M. et Mme d'Hautefeuille, Berte, M. et Mme Léonide Dieudonné et Marcelle, M. Denis Emery et Mlle Marcelle Hume. En présence de l'abbé Jovelet curé desservant Hangard, avec la musique de Demuin et les voix des jeunes filles de Mézières, accompagnée de leur organiste.

Les habitants de la commune étaient appelés « ches boyeux rouges d'Hangard ».
Ce sobriquet, appliqué aussi aux gens de Guilaucourt et aux Artésiens, semble faire allusion à la couleur rouge ; il est à supposer que les habitants recherchent cette nuance pour leurs vêtements.

Autre sobriquet : « ches carimaros »
Le mot carimo vient du latin carmen qui veut dire chant sacré, et par extension, sortilège, on a dû dire d'abord « carimareur » (sorcier) dit aussi des habitants de Fresnoy-en-Chaussée et de quelques autres communes[Lesquelles ?].

Il existe en Prusse rhénane (Allemagne) près de Neunkirchen un village du nom de Hangard dont la plupart des familles, originaires du département de la Somme se sont installées dans ce pays entre les années 1670-1690 (quelques noms des habitants : Didion, Didie, Piro, Purring, Ruffing). Il semblerait que ce soient des protestants persécutés sous Louis XIV.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Hangard et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 1, éd. J.-B. Dumoulin, impr. Lemer, 1867, p. 459-460. Mémoires de la Société des antiquaires de Picardie, 3e série, tome 1. [lire en ligne].
  15. a b et c « Histoire », Mairie de Hangard (consulté le ).
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Cachy (près et au sud-ouest). Première ligne française tenue par le 94e régiment d'infanterie. A l'extrême droite, à l'horizon, Hangard-en-Santerre », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 7, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Section photographique de l'armée, « Photo : Villers-Bretonneux (À 1000 mètres au sud de). Route de Hangard. Tank allemand "Elfriede" tombé dans une carrière au cours de la première attaque des tanks allemands, le 24 avril. La carrière sert de poste avancé français », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 6, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  18. Section photographique de l'armée, « Photo : Bois de Hangard. A la lisière du bois : fusiliers mitrailleurs français sortis des trous où ils s'étaient terrés pendant la préparation d'artillerie ennemie et tirant sur les vagues d'assaut allemandes cherchant à franchir le feu de barrage de nos 75 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  19. Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  22. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  23. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  24. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  25. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  26. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  27. « Les maires de Hangard », sur francegenweb.org (consulté le ).
  28. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  30. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Sur le site de la mairie de Thennes.
  35. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Hangard, canton de Moreuil, d'après nature,  », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  36. « Verrière figurée : Vierge à l'Enfant », notice no IM80000740, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. « >Verrière figurée : Sainte Jeanne d'Arc », notice no IM80000739, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. « Verrière figurée : Saint Michel honore la tombe d'un soldat inconnu », notice no IM80000738, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  39. « Verrière figurée : Saint Joseph et l'enfant Jésus », notice no IM80000737, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  40. « Verrière figurée : Saint Domice et sainte Ulphe », notice no IM80000736, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  41. « Verrière figurée : Immaculée Conception », notice no IM80000735, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. « verrière figurée : Calvaire », notice no IM80000734, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. « Verrière figurée : Annonciation », notice no IM80000733, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. « Marie Auguste Joseph Charles Boudoux d'Hautefeuille », base Léonore, ministère français de la Culture.
  45. « Stèle du pilote Lt Boudoux d’Hautefeuille » [PDF], Dossier de monument, sur mairie-chateau-thierry.net (consulté le ).
  46. « Le lieutenant aviateur Charles Boudoux d’Hautefeuille », Portraits de combattants, Santerre 14-18 - Préserver la mémoire de la Grande Guerre dans le Santerre, (consulté le ).