Grandfresnoy

commune française du département de l'Oise

Grandfresnoy
Grandfresnoy
Carte postale du village au début du XXè siècle.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Ivan Wasylyzyn
2020-2026
Code postal 60680
Code commune 60284
Démographie
Gentilé Fracnésiens, Fracnésiennes
Population
municipale
1 802 hab. (2021 en augmentation de 3,44 % par rapport à 2015)
Densité 170 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 12″ nord, 2° 39′ 20″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 131 m
Superficie 10,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
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Grandfresnoy
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Grandfresnoy
Liens
Site web https://grandfresnoy.fr/

Grandfresnoy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France,

Géographie modifier

Description modifier

 
Vue aérienne.

Grandfresnoy est un village picard situé Entre Chevrières et Estrees St Denis, proche d’un petit bois, dans lequel se trouve la chapelle Sainte Catherine.

Le village, aisément accessible par l'ancienneroute nationale 17 (actuelle Rd 1017) et l'autoroute A1, est traversé par le sentier de grande randonnée GR 124A

La butte de Grandfresnoy (ou Butte Sainte-Catherine) qui surplombe le village a été détachée par l’érosion du plateau calcaire du Clermontois, et domine la plaine d’Estrées-Saint-Denis qui, vers le nord, fait la transition avec le plateau picard.

Il est surnommé GFY par ses habitants[réf. nécessaire]

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Arsy, Bazicourt, Canly, Chevrières, Le Fayel, Houdancourt, Moyvillers et Sacy-le-Petit.

Communes limitrophes de Grandfresnoy
Moyvillers Arsy
Sacy-le-Petit   Canly
Bazicourt Chevrières
Houdancourt
Le Fayel

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Grandfresnoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,1 %), zones urbanisées (8,8 %), forêts (2,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 745, alors qu'il était de 696 en 2013 et de 650 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 93,2 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 5,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,1 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Grandfresnoy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,2 %) inférieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,4 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Grandfresnoy en 2018.
Typologie Grandfresnoy[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 93,2 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,2 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 5,6 7,1 8,2

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie, en 2024, par le service Hoplà Le Bus mis en place par la communauté de communes de la Plaine d'Estrées et par les lignes 638, 660, 661, 6215, 6301, 6322 et 6343 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Énergie modifier

Après un premier projet dans les années 2000, abandonné à l'époque en raison de l'opposition de l'armée compte tenu des besoins de la Base aérienne 110 Creil désormais inutilisée pour l'aviation[14], l'entreprise Enertrag envisage depuis 2020 la construction de cinq éoliennes le lonf de l'autoroute A1, à cheval sur les communes de Grandfresnoy et Chevrières, malgré l'opposition des deux conseils municipaux et d'une partie des habitants. Une consultation citoyenne est organisée dans les deux communes à l'automne 2022[15].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes « Fraxnidus villa proprietatis regis » (690)[16] ; Fraxinidum (695) ; « in pago Belvacensi villa que dicitur Fraxinodus » (831) ; « in pago Belvacense villam que vocatur Fraxinidus » (vers 860) ; Fraxinetum (890) ; Frasnidum (902) ; Radulphus miles de Fresnay (1181) ; Flaminius de Frenoe (vers 1200) ; de Fraxineto (1211) ; Fresnoi (1212) ; de Fraisneto (1212) ; oddone de fresnoi (1234) ; de Fresneio (1266) ; Fresnegum (1268) ; Fresnoium gistum regis (XIIIe) ; de Frenoe (XIIIe)[16] ; Fresnoy[17] (1317) ; Fraxundum (1330)[16] ; fresnoy en biauvoisins (1340) ; fresnay en biauvoisins (1343) ; Fresnetum (1350) ; Fresnettum (1350) ; « in villa de fresneyo in belvacino » (1359) ; fresnoy lez biauvoisiz (1359)[16] ; Fresnoy en Beauvoisis[17] (1380) ; Fresnoy le Grand[17] (1430) ; le Grand Fresnoy (1430)[16] ; ecclesia sancti Salvatorii de Fresneio (XVIe) ; le grand fresnois (1692) ; Grand Frenoy (XVIIIe) ; le Grand Fresnoy (1711) ; Fresnoy (vers 1780) ; Grand Fresnoy (1832) ; Grandfresnoy (1840)[16].

De l'ancien français fraisne, frasne, fresne du latin fraxinus (prononcé “frassinus”), qui a donné son nom au toponyme. Le suffixe -etum s’est transformé en -oy dans le Beauvaisis et en Picardie. Au cours des siècles, le latin fraxinetum est devenu l’ancien français fraisnoi, fresnoy étant l’endroit où se trouve un « bois de frênes » ; en français, une « frênaie » est un lieu planté de frênes.

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

Grandfresnoy disposait d'une maladrerie. Au lieu dit le Palais, on a retrouvé des traces de constructions, et un reste d'aqueduc se dirigeant vers l'église[18]..

Temps modernes modifier

En 1636, durant la terrible guerre de Trente Ans le mercenaire Jean de Werth au service de l'Espagne dévaste Grandfresnoy et sa région. Une inscription sur l'un des piliers qui spparent la nef des collatéraux de l'église porte l'inscription : « En l'an 1636, le 26 août, lespagnol a été icy[18] ».

De nombreux personnages assez connus de l’histoire ont séjourné à Grandfresnoy, et notamment à la poste, qui était autrefois une auberge. Le roi Louis XIV, allant de Compiègne à Liancourt, y a séjourné le [18].

Époque contemporaine modifier

En 1832, Grandfresnoy disposait d'un presbytère, d'une école et la commune était propriétaire de quelques ares de terres et de bois, ainsi que d'une sablonnière et d'une carrière. Il y avait alors sept moulins à vent et une briqueterie sur le territoire communal. Deux foires s'y tenaient chaque année[17].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1962   Aimé Devaux    
         
avant 1995[20]   Daniel Ducret    
         
mars 2001 1er septembre 2007[21] Robert Lannaud   Démissionnaire
2007 En cours
(au 6 juin 2023)
Ivan Wasylyzyn DVG Retraité
Réélu pour le mandat 2020-2026[22],[23]

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

Les enfants de la commune sont scolarisés au groupe scolaire “Les zocqs”, qui compte sept classes durant l'année scolaire 2019/2020[24]. Ils poursuivent habituellement leurs études au Collège Abel Didelet d'Estrées-Saint-Denis et aux lycées de Compiègne.

Le périscolaire de l'école est géré par la Fédération Léo-Lagrange[25].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 1 802 habitants[Note 3], en augmentation de 3,44 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9761 2171 2681 3571 1991 1941 0911 0821 097
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0421 0541 0301 0161 070954941965939
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
892864799834825823807801852
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
9749891 1411 1791 3381 5021 5291 5471 616
2014 2019 2021 - - - - - -
1 7261 7921 802------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 904 hommes pour 879 femmes, soit un taux de 50,7 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,1 
4,2 
75-89 ans
6,1 
15,6 
60-74 ans
14,2 
22,7 
45-59 ans
22,0 
20,9 
30-44 ans
23,0 
12,4 
15-29 ans
14,0 
23,5 
0-14 ans
19,6 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Sauveur a son origine dans une donation effectuée par Louis le Débonnaire en 830 au profit de l' abbaye Saint-Sauveur de Charroux, confirmée notamment en 1077 par Philippe 1er. C'est alors un prieuré-cure, dotée d'un autel dédié à la Sainte-Trinité pour le service de la paroisse. Le prieuré était situé à l'ouest de l'église, à l'emplacement de l'actuel presbytère, et il n'en subsiste qu’une cave gothique dont les quatre travées, inscrites dans un plan carré, retombent au centre sur une pile circulaire.
    Le prieuré est supprimé en 1760.
    Le plan de l’église est constitué d’une nef de quatre travées avec bas-côtés, d’un transept non saillant et d’un chœur pentagonal.
    L'église est particulièrement notable par son haut clocher du XVIe ou du début du XVIIe siècle surmonté d'un dôme, qui s’élève sur la première travée du bas-côté sud et une tourelle d’escalier flanque l’angle nord-ouest, sans doute en relation avec un bâtiment disparu du prieuré. À la base de sa façade sud est aménagé un portail en plein cintre sobrement décoré et surmonté par statue une de Saint-Sauveur placée dans une niche surmontée d’un dais de style Renaissance[32].
  • Le bois de Grandfresnoy héberge la chapelle Sainte-Catherine, l'un des édifices les plus anciens de la région et dont la porte est datée de 1644, qui pourrait être l'église paroissiale d’un village qui aurait été détruit à une époque indéterminée, peut-être lors de la peste noire de 1346, ou un ermitage du prieuré propriétaire des lieux.
    Cet édifice est en pierre de taille, le chœur paraît remonter à l'époque du style gothique flamboyant. Elle était le siège d'une procession qui s'est tenue jusqu'aux années 1950 le , jour de la sainte Catherine, au cours de laquelle les jeunes femmes célibataires 25 ans assistaient puis se retrouvaient autour d’un repas, dans l'espoir de se marier dans l'année[18],[33].

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Grandfresnoy et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Grandfresnoy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Marielle Martinez, « Des consultations citoyennes dans l’Oise pour faire obstacle aux parcs éoliens : Dans un paysage des Hauts-de-France déjà saturé par des milliers de mâts, des élus et des associations misent sur des référendums locaux pour décourager les promoteurs de l’énergie éolienn », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. Fanny Dolle, « Pour ou contre les éoliennes? Les habitants de Chevrières invités à voter : Suite à la réunion publique de mars dernier, les élus municipaux ont voté l’organisation d’une consultation citoyenne qui démarre ce mercredi afin de recueillir l’avis des habitants sur un projet d’implantation d’éoliennes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. a b c d e et f Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 251.
  17. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 106 p. (lire en ligne), p. 41-43, sur Google Livres.
  18. a b c et d Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 100-102, sur Gallica.
  19. « Les maires de Grandfresnoy », sur francegenweb.org (consulté le ).
  20. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5747.
  21. Stéphanie Forestier, « Le maire laisse le dossier des éoliennes à son successeur », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Grandfresnoy », Cartes de France (consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Groupe scolaire », Enfance > scolarité, sur grandfresnoy.fr (consulté le ).
  25. « Le périscolaire », Enfance, sur grandfresnoy.fr (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Grandfresnoy (60284) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. Dominique Vermand, « Grandfresnoy, église Saint-Sauveur : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  33. Mireille Cardot, « Un village, une histoire (1/6): la chapelle Sainte-Catherine de Grandfresnoy : Dans les années 1950, les jeunes filles célibataires de 25 ans participaient à une procession jusqu’à la chapelle Sainte-Catherine. La sainte était réputée pour aider à trouver un époux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).