GoFirst
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GoFirst est une Compagnie aérienne à bas prix basée à Bombay. Elle commence ses activités en tant que GoAir en , et est détenue par le Groupe Wadia. En , c'est la cinquième compagnie aérienne la plus importante en Inde en part de marché[3]. Elle opère depuis l'Aéroport international Chhatrapati-Shivaji, à Bombay[4] et depuis l'Aéroport international Indira-Gandhi, New Delhi. En mai 2021, la compagnie change de nom pour GoFirst[5]. Elle se place en faillite le 3 mai 2023.
Fly Smart
| IATA | OACI | Indicatif d'appel |
|---|---|---|
| G8 | GOW | GO AIR |
| Date de création | 2005 |
|---|---|
| Date de disparition | 3 mai 2023 |
| Basée à | Aéroport international Chhatrapati-Shivaji |
|---|---|
| Programme de fidélité | GoClub[1] |
| Taille de la flotte | 57 (2020) |
| Nombre de destinations | 38 |
| Siège social |
Bombay, Inde |
| Société mère | Wadia Group |
| Dirigeants |
Jehangir Wadia (Managing Director) Wolfgang Prock-Schauer (CEO)[2] |
| Site web | www.goair.in |
Histoire modifier
GoFirst est fondée, sous le nom GoAir, en 2005 par Jehangir Wadia, le plus jeune fils de l'industriel Indien Nusli Wadia. La compagnie aérienne est détenue par Wadia Group[4], un conglomérat Indien détenant entre autres Bombay Dyeing et Britannia Industries[6].
En , GoAir commande 72 Airbus A320neo[7] qui seront livrés dès 2015, à raison de 12-15 appareils par an[7]. Le premier A320neo est livré début , et permet à la compagnie aérienne, maintenant détentrice de 20 monocouloirs remotorisés, d'envisager l'ouverture de destinations internationales (loi indienne 5/20)[8], dont l'Europe[9].
En 2013, la compagnie aérienne annonce que, face aux difficultés financières liées à la baisse de la roupie, elle compte privilégier le recrutement de personnel de bord féminin afin d'alléger le poids des portées de chaque vol[10].
En 2021, la compagnie change de nom pour Go First[5].
En mars 2023, elle est le cinquième transporteur intérieur indien avec 6,9% des parts de marché.
Le 3 mai 2023, elle se place sous la protection du la loi sur les faillites, blâmant les moteurs «défectueux» du constructeur Pratt & Whitney à l'origine de l'immobilisation de la moitié de sa flotte[11].
Flotte modifier
En , la flotte de GoAir consistait aux appareils suivants[9]:
| Appareils | En Service | Commandés | Passagers | Notes |
|---|---|---|---|---|
| Airbus A320-200 | 11 | — | 180 | |
| Airbus A320neo | 46 | 26 | 186 | Livraisons dès 2015[12] |
| Total | 57 | 26 |
Références modifier
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « GoAir » (voir la liste des auteurs).
- GoAir frequent flyer program
- (en) « GoAir appoints Wolfgang Prock-Schauer as new CEO », sur Business-standard.com, (consulté le )
- « Directory: World Airlines », Flight International, , p. 87
- « Inde : GoAir devient Go First », sur Air et Cosmos (consulté le )
- GoAir: About us
- GoAir orders 72 Airbus jets for Rs. 32,000 crore
- François Duclos, « GoAir troisième opératrice de l’Airbus A320neo », sur Ait-journal.fr,
- (en) « GoAir shows intent to fly to Europe », sur Indiatimes.com, (consulté le )
- Jean-Marie Pottier, « GoAir, une compagnie low-cost indienne, veut embaucher féminin pour économiser du carburant », sur Slate.fr, (consulté le )
- « Go First, compagnie aérienne à bas prix, se déclare en faillite, blâme Pratt & Whitney », sur Le Figaro,
- GoAir orders 72 new Airbus A320
