Gilles Bourdouleix

homme politique français

Gilles Bourdouleix
Illustration.
Fonctions
Maire de Cholet
En fonction depuis le
(2 ans, 6 mois et 20 jours)
Élection (partielle)
Prédécesseur Lui-même
Délégation spéciale

(26 ans, 1 mois et 1 jour)
Prédécesseur Maurice Ligot
Successeur Délégation spéciale
Lui-même
Député français

(15 ans et 1 jour)
Élection
Réélection 17 juin 2007
17 juin 2012
Circonscription 5e de Maine-et-Loire
Législature XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République)
Groupe politique UMP (2002-2012)
UDI (2012-2013)
NI (2013-2017)
Prédécesseur Maurice Ligot
Successeur Denis Masséglia
Président du CNIP

(6 ans et 12 jours)
Prédécesseur Annick du Roscoät
Successeur Bruno North
Conseiller régional des Pays de la Loire

(4 ans, 4 mois et 17 jours)
Biographie
Date de naissance (63 ans)
Lieu de naissance Angers (Maine-et-Loire)
Nationalité Française
Parti politique UDF-PPDF (1995-2002)
UMP (2002-2012)
CNIP (2009-2015)
UDI (2012-2013)
LR (depuis 2022)
Conjoint Natacha Poupet-Bourdouleix
Profession Avocat

Gilles Bourdouleix, né le à Angers, est un homme politique français. Il est maire de Cholet depuis 1995, député de Maine-et-Loire de 2002 à 2017 et président de l'agglomération du Choletais depuis 2017.

Il préside le Centre national des indépendants et paysans (CNIP) de 2009 à 2015 après en avoir assuré le porte-parolat. Il est membre fondateur de l'Union des démocrates et indépendants (UDI), qu'il quitte en 2013. Il adhère au parti Les Républicains (LR) en 2022.

Il est mis en cause ou condamné dans de nombreuses affaires judiciaires liées à ses propos (diffamation, injures) ou manœuvres financières (détournement de fonds publics, abus de biens sociaux).

Biographie modifier

Vie privée modifier

Gilles Bourdouleix est marié avec Natacha Poupet Bourdouleix[1], conseillère départementale pour le canton de Cholet-2, depuis [2]. Il est également le beau-frère de Christian Prudhomme, directeur du Tour de France[3].

Fin , il annonce, sur les réseaux sociaux, porter plainte après le saccage d'une de ses propriétés[4].

Vie professionnelle modifier

Avocat associé et fondateur du cabinet d'avocats BM&A, il est inscrit au barreau de Paris depuis le [5],[6].

Il a été chargé de cours en droit constitutionnel à l'unité de formation et de recherche (UFR) en droit et sciences sociales de l'université d'Angers[6].

Parcours politique modifier

Mandats et candidatures à droite et au centre modifier

Gilles Bourdouleix est élu maire de Cholet pour la première fois le , avec 148 voix d'avance. Il succède à Maurice Ligot, dont il est le directeur de cabinet. Il est réélu maire en 2001, après que sa liste a obtenu 61,7 % des voix au second tour. Il est également président de la communauté d'agglomération du Choletais, créée en 2001, puis de l'agglomération du Choletais, fondée en 2017.

Conseiller régional pour la Convention démocrate – Fédération des Clubs Perspectives et Réalités entre 1998 et 2002, il quitte son mandat qui est non cumulable avec son mandat de député de la 5e circonscription de Maine-et-Loire. Après avoir essuyé un échec en 1997 contre Maurice Ligot, il est élu le avec 61 % des voix face à Antoine Mouly (Parti socialiste), puis réélu, le [7] avec 56 % des suffrages face à Laurence Adrien Bigeon (Parti socialiste).

Gilles Bourdouleix est inscrit au groupe UMP. Membre de la commission des lois, il est nommé rapporteur du projet de loi relatif à la réforme de la filiation () et du projet de loi portant fusion des professions d'avocat et d'avoué près les cours d'appel (). Il est également membre de la mission d'information sur l'optimisation de la dépense publique et membre de la mission d'information parlementaire sur la question du port du voile intégral, dès sa constitution en 2009.

Durant son mandat de député, bien que membre de la majorité, il n'hésite pas à marquer son opposition face à certaines mesures gouvernementales (réforme constitutionnelle, bouclier fiscal notamment)[réf. nécessaire]. Il vote contre le traité constitutionnel européen en 2005[8].

En 2008, la liste Cholet Passion qu'il conduit à Cholet l'emporte au premier tour, avec 51,5 % des suffrages exprimés[9].

De 2008 à 2017, Gilles Bourdouleix préside l'Association pour la gestion indépendante des réseaux de transport public (AGIR)[10], réseau de transport public indépendant qui représente un bassin de 4,7 millions d'habitants et 320 communes desservis. Il est également vice-président du Groupement des autorités responsables de transport (GART).

Il est candidat en deuxième position sur la liste du Centre national des indépendants et paysans (CNIP), conduite par Annick du Roscoät dans la circonscription Île-de-France, en vue du renouvellement de 2009 du Parlement européen. Cette liste arrive en 14e position, ne réunissant que 0,42 % des voix. D' à , il est président du CNIP.

Le , il se déclare candidat à l'élection présidentielle de 2012 afin d'y représenter le CNIP[11]. Il annonce le , jour du dépôt des parrainages, n'avoir obtenu que 205 signatures de maires et ne peut donc se porter candidat[12].

Il est réélu pour un troisième mandat de député le avec 51,07 % des voix[13] face à Laurence Adrien Bigeon (Parti socialiste). Il annonce le qu'il siège dans le groupe Union des démocrates et indépendants (UDI)[14]. Le [15], la direction du parti centriste choisit de se réunir afin de statuer sur son exclusion mais le député démissionne quelques heures avant celle-ci. En , il rejoint le groupe des non-inscrits[16]. En , dans le cadre du financement public des partis politiques, comme cinq autres députés, il se rattache financièrement à Debout la République[17].

Le , la liste Cholet Passion l'emporte pour la quatrième fois, avec 55,49 % des suffrages exprimés[18] au second tour face à la liste "Un nouvel élan pour Cholet", menée par Jean-Marc Vacher (PS).

Gilles Bourdouleix quitte la présidence du CNIP en 2015 sur fond de dissensions au sein du parti. Il se déclare ainsi contre tout rapprochement avec le Front national et n'exclut pas l'idée de créer un nouveau parti[19]. Bruno North, à qui il s'est opposé, est élu président du CNIP en [19].

Le , dans le cadre de l'affaire Fillon, il renonce à soutenir à l'élection présidentielle le candidat Les Républicains, François Fillon[20]. Il change d'avis la semaine suivante[21].

En raison de la réglementation interdisant le cumul de fonctions exécutives locales avec le mandat de député ou de sénateur, il décide de ne pas être candidat aux élections législatives de 2017. Il se présente en suppléant de Patrice Brault (divers droite), qui obtient 31,6 % des voix au second tour dans la 5e circonscription de Maine-et-Loire[22].

Le , le Conseil d'État annule les élections municipales de 2020 à Cholet, en raison d’un non-respect des dispositions du code électoral lors du second tour. De nouvelles élections sont organisées[23]. Le , Gilles Bourdouleix l'emporte au premier tour avec 56,8 % des voix, dans un contexte de forte abstention[24], il est réélu maire par le conseil municipal le . L'annulation des élections municipales de 2020 crée cependant un conflit judiciaire opposant la municipalité de Cholet et le tribunal administratif de Nantes concernant le paiement des indemnités des élus entre les élections municipales de et celles de [25]. Le , la Cour administrative d’appel de Nantes confirme que les adjoints et conseillers municipaux de la majorité du conseil municipal de Cholet doivent rembourser les indemnités de fonction touchées après les élections municipales de 2020. Gilles Bourdouleix annonce en réponse vouloir porter plainte au pénal contre la préfecture[26],[27],[28].

Le , il annonce son adhésion aux Républicains (LR) en vue du congrès du parti pour soutenir et parrainer la candidature de Bruno Retailleau à la présidence de ce mouvement[29] mais affirme ne pas avoir renouvelé son adhésion après l'élection du président des Républicains[30].

Le , Gilles Bourdouleix relance et prend la présidence de son micro-parti IFMOM qu'il renomme « Nation, République, Territoire »[31]. Ce micro-parti fait actuellement l'objet d'une procédure pénale pour abus de confiance, recel de biens sociaux et travail dissimulé[32]. Il se dit prêt à se rapprocher du Rassemblement national, principal parti d'extrême droite en France[33].

Rapprochement vers l'extrême droite modifier

En , il déclare qu'il n'écarte pas une alliance politique avec le parti d'extrême droite du Rassemblement national estimant que « Le RN fait partie du spectre républicain », qu'il n'y a pas de « problème de démocratie et de République au RN » et que selon lui « le danger pour la République est plus fort avec Mélenchon que Bardella »[34]. Après cette alliance, Christophe Béchu, ministre et ancien maire d'Angers se dit consterné par cette décision. En retour, Gilles Bourdouleix annonce vouloir porter plainte contre Christophe Béchu pour diffamation car il estime « que la majorité actuelle à la volonté de briser la liberté d'expression. »[35].

Tentative de "désinformation populaire orchestrée" dans la presse locale modifier

En , le quotidien Ouest-France révèle que le maire de Cholet a demandé à des soutiens politiques lors des réunions publiques d'intervenir avec des questions rédigées à l'avance qui « mêlent remerciements, critiques de la presse ou considérations sur le respect de la loi que représente le maire de Cholet ». Gilles Bourdouleix assume la démarche de désinformation populaire en précisant que selon lui « la presse a déjà fait le choix du tous contre la majorité »[36]. En octobre de la même année, le cabinet du maire rédige un faux courrier des lecteurs qui devait critiquer la presse régionale locale ; l'affaire a été révélée à la suite d'un envoi, par erreur, aux rédactions d'Ouest-France et du Courrier de l'Ouest[37],[38],[39].

Détail des mandats et fonctions modifier

Affaires judiciaires modifier

Procès pour apologie de crime contre l'humanité modifier

En , en marge de la visite d'un champ occupé par des gens du voyage qu'il souhaite faire expulser, Gilles Bourdouleix, excédé par des saluts nazis et des accusations de racisme, marmonne : « Comme quoi, Hitler n'en a peut-être pas tué assez ». Ces propos, rapportés par le journal Le Courrier de l'Ouest, provoquent un tollé[41] . Cette affaire intervient trois ans après la plainte classée sans suite par la ligue des droits de l'homme à la suite de propos en sur la communauté des gens du voyage[39]. Le maire de Cholet, réfute l'accusation et la référence à Hitler et estime avoir fait l'objet d'une « manipulation » [42].

Dans ce contexte, il déclare durant un conseil d'agglomération que « contrairement à ce qu'a écrit une petite pétasse de Libération, je ne suis pas un maire anti-gens du voyage ». Les propos à l'encontre de la journaliste du quotidien sont condamnés par la Société des journalistes et du personnel de Libération (SJPL) qui estime que ceux-ci « sont tout simplement indignes et abjects de la part d'un élu de la République »[43].

En , le tribunal correctionnel d'Angers condamne Gilles Bourdouleix à une amende de 3 000 euros pour apologie de crime contre l'humanité avec sursis[44]. En août suivant, la cour d'appel d'Angers le condamne à 3 000 euros d'amende[45]. En , la Cour de cassation annule cette condamnation, estimant que les propos ont été tenus « dans des circonstances exclusives de toute volonté de les rendre publics »[46].

Condamnations pour injures publiques et diffamation modifier

En , Gilles Bourdouleix est condamné pour injures publiques à l’égard du journal Ouest-France après avoir qualifié le quotidien de « journal facho » et de « fascistes ». L'élu se voit obligé de verser 3 000 euros en réparation du préjudice moral et 2 500 euros au titre des frais de procédure[47]. Cette peine a été confirmée en appel et après un pourvoi en cassation. À la suite de cela, l'élu affirme vouloir saisir la Cour européenne des droits de l'homme. L'ensemble des frais de justice de ce procès ont été pris en charge par la collectivité après un accord du conseil municipal de Cholet mais cette décision a été remise en question après la décision du parquet d'Angers de poursuivre le maire pour prise illégale d'intérêts[48].

Le , Gilles Bourdouleix est condamné pour diffamation envers la Ligue nationale de basket (LNB) et son président. Le tribunal l'oblige à verser la somme de 1 500 euros d’amende pour préjudice moral après avoir déposé des banderoles « Béral démission » et « LNB dictature » à la salle de la Meilleraie après une sanction de la LNB[49].

Condamnation pour outrages modifier

En , Gilles Bourdouleix est accusé d'actes d'intimidation et outrages envers des agents de l'inspection du travail et de l'Union de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d'allocations familiales (URSSAF) et de l'inspection du travail lors d'un contrôle anti-fraude durant un meeting aérien[50]. Le maire de Cholet est condamné en septembre suivant à 4 mois de prison avec sursis pour outrages et menace envers des agents chargés de mission de service public[51].

Soupçons de détournement de fonds publics et de concussions modifier

Une enquête préliminaire est ouverte à l'encontre de Gilles Bourdouleix à l'été 2021 pour détournement de fonds publics et concussion. Selon Anticor, le maire et les élus de sa majorité municipale sont soupçonnés, depuis 2008, de s'être octroyés des indemnités supérieures au plafond autorisé, pour un montant total de trois millions d'euros alors que les élus de l'opposition n'en touchent aucune[52],[53],[54]. L'élu, le directeur général des services et la directrice générale adjointe sont placés en garde à vue le [55]. Ils en ressortent au bout de trente-six heures sans qu’aucune mise en examen ne soit prononcée[54]. Le le parquet annonce qu'il été mis en examen des chefs « d’abus de confiance, recel d’abus de bien sociaux, travail dissimulé et travail dissimulé par dissimulation partielle d’activité » et placé sous contrôle judiciaire[56].

En 2022, l'association Contribuables actifs du Choletais dépose plainte contre Gilles Bourdouleix et une autre élue de la majorité pour concussion. Les membres de l'association reprochent aux deux édiles une absence de convention entre la ville de Cholet et le Stade olympique choletais pour l’utilisation du stade omnisports[57].

Plaintes pour menace et diffamation modifier

Gilles Bourdouleix dépose plainte en 2014 pour diffamation envers un proche d'une ancienne directrice d'Ehpad de Trémentines. Ce dernier est condamné à 1 500 euros d'amende[58].

En , un proche de Denis Masséglia accuse Gilles Bourdouleix de l'avoir menacé lors premier tour des élections législatives. Le maire de Cholet nie la menace et annonce porter plainte à son tour pour dénonciations calomnieuses et perturbation d'un scrutin[59].

Procès pour prise illégale d'intérêts modifier

En , Gilles Bourdouleix ne se retire pas d'un conseil municipal qui statuait sur une demande de protection fonctionnelle le concernant. Le parquet d’Angers estime alors que sa présence lors des débats constitue une prise illégale d’intérêts[60]. Le , le parquet a requis une peine de huit mois de prison avec sursis et une inéligibilité de cinq ans. Le , le tribunal d'Angers le relaxe des faits reprochés[61] mais le parquet fait appel de la décision[62].

Infractions à la réglementation sur les armes à feu et usages de faux modifier

Une enquête est ouverte pour des suspicions d'infractions à la réglementation sur les armes à feu et de faux et usages de faux[53].

Abus de confiance et recel d'abus de biens sociaux modifier

Le , Gilles Bourdouleix est mis en examen pour abus de confiance et recel d'abus de biens sociaux dans le cadre de la création de son micro-parti politique en 2012. Son associé dans le cabinet d'avocats BM&A et ex-conseiller municipal Benoît Martin ainsi que Michel Champion, ancien adjoint, ont aussi été mis en examen du chef de complicité d'abus de confiance. Selon le procureur d'Angers, Gilles Bourdouleix a « partiellement reconnu les faits » et a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de contact avec les autres mis en examen[63],[64],[65]. Le maire de Cholet se défend en évoquant une négligence concernant le prêt de 45 000 euros issu de son micro-parti politique[66].

Condamnation pour diffamation publique modifier

Gilles Bourdouleix fait l'objet d'une plainte pour diffamation publique déposée par un élu de l'opposition à la suite de propos tenus lors du conseil municipal de Cholet du [67]. Le jugement de l'affaire prévu le devant le tribunal judiciaire d’Angers[68],[69], intervient le . Gilles Bourdouleix est condamné à une amende de 1 000 euros. Il doit en outre indemniser la victime à hauteur de 3 000 euros pour ses frais de justice[70]. Le maire de Cholet a obtenu la protection fonctionnelle de la municipalité pour cette affaire[71].

L'affaire est jugée en seconde instance à la Cour d'appel d'Angers le , l'avocat de Gilles Bourdouleix demande un renvoi de l'affaire à la suite de l'absence de son client retenu par un déjeuner dansant de l'association Cholet Événement. La demande de renvoi est refusée et le procès se déroule sans le prévenu. Le délibéré de l'affaire est prévu pour le [72].

Enquête pour homicide involontaire modifier

Le , Gilles Bourdouleix est placé en garde à vue et remis en liberté sans charge en début de soirée — ainsi que deux responsables de l'association organisatrice — dans le cadre d’une enquête préliminaire pour homicide involontaire après le décès de deux personnes le [73] lors du feu d'artifice[74]. Le lendemain de sa garde à vue, le maire de Cholet annonce se désolidariser de l'association Cholet Événements et précise que la municipalité n'était pas organisatrice du feux d'artifice réfutant ainsi toute responsabilité pénale. De son côté, Philippe Renaudet, l'ancien directeur de cabinet du maire, précise que l'association « ne vit quasiment que de subventions qui émanent principalement de la commune » et estime que cela ferait de Gilles Bourdouleix « le véritable responsable du comité des fêtes de Cholet »[75].

Notes et références modifier

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