Gare de Hombourg-Budange

gare française

La gare de Hombourg-Budange est une gare ferroviaire française située sur le territoire de la commune de Hombourg-Budange, dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Hombourg-Budange
Image illustrative de l’article Gare de Hombourg-Budange
L'ancien bâtiment voyageur, côté voies.
Localisation
Pays France
Commune Hombourg-Budange
Lieu-dit Hombourg-Budange Gare
Adresse Rue de la Gare
57920 Hombourg-Budange
Coordonnées géographiques 49° 16′ 57″ nord, 6° 21′ 03″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire Communauté de communes de l'Arc Mosellan (BV) / SNCF
Exploitant SNCF
Code UIC 87191353
Service TER, Train touristique
Caractéristiques
Ligne(s) Thionville à Anzeling
Bettelainville à Waldwisse (en partie HS)
Voies 2
Quais 2
Transit annuel 1 993 voyageurs (2014)
Altitude 222 m
Historique
Mise en service 1917
Correspondances
Cars voir Intermodalité
Géolocalisation sur la carte : Moselle
(Voir situation sur carte : Moselle)
Hombourg-Budange
Géolocalisation sur la carte : Lorraine
(Voir situation sur carte : Lorraine)
Hombourg-Budange
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Hombourg-Budange

Elle est mise en service en 1917 par la Direction générale impériale des chemins de fer d'Alsace-Lorraine (EL).

C'était une gare voyageurs de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), du réseau TER Grand Est, desservie par des trains express régionaux. Elle est également l'un des terminus du chemin de fer touristique de la vallée de la Canner.

Situation ferroviaire modifier

Établie à 222 m d'altitude, la gare de Hombourg-Budange est située au point kilométrique (PK) 20,171 de la ligne de Thionville à Anzeling, entre les gares ouvertes de Kédange et d'Ébersviller. Gare de bifurcation, elle est située au PK 6,966 de la ligne de Bettelainville à Waldwisse, en partie déposée, aujourd'hui utilisée comme chemin de fer touristique.

Histoire modifier

La gare de Hombourg-Budange est construite en 1917 par la Direction générale impériale des chemins de fer d'Alsace-Lorraine (EL)[1].

Le , la gare entre dans le réseau de l'Administration des chemins de fer d'Alsace et de Lorraine (AL), à la suite de la victoire française lors de la Première Guerre mondiale. Puis, le , cette administration d'État forme avec les autres grandes compagnies la SNCF, qui devient concessionnaire des installations ferroviaires de Hombourg-Budange. Cependant, après l'annexion allemande de l'Alsace-Lorraine, c'est la Deutsche Reichsbahn qui gère la gare pendant la Seconde Guerre mondiale, du jusqu'à la Libération (en 1944-1945).

Depuis 1985, la gare est desservie par un train touristique, le chemin de fer touristique de la vallée de la Canner.

En 2014, la SNCF estime la fréquentation de la gare à 1 993 voyageurs[2].

Service des voyageurs modifier

Accueil modifier

Arrêt routier SNCF[3], c'est un point d'arrêt non géré (PANG) à accès libre.

Desserte modifier

Hombourg-Budange était desservie[3] par les trains TER Grand Est qui effectuent des missions entre les gares de Thionville et de Bouzonville.

Intermodalité modifier

Le stationnement des véhicules est possible à proximité. Elle est desservie par des autocars TER Grand Est (ligne Thionville - Bouzonville - Creutzwald gare routière).

Train touristique modifier

La gare de Hombourg-Budange, dont le bâtiment voyageurs appartient à la Communauté de communes de l'Arc mosellan[4], constitue le terminus du Chemin de fer touristique de la vallée de la Canner. Ce train touristique relie Hombourg-Budange à Vigy en empruntant le tronçon de Hombourg-Budange à Bettelainville de l'ancienne ligne de Bettelainville à Waldwisse, puis le tronçon de Bettelainville à Vigy de la ligne de Metz-Ville à la frontière allemande vers Überherrn[4].

Notes et références modifier

  1. Kédange - Téterchen sur le site d’Étienne Biellmann (consulté le 29 septembre 2016).
  2. Fréquentation gare de Hombourg-Budange sur SNCF Open Data (consulté le 29 septembre 2016).
  3. a et b Site SNCF TER Grand Est, la gare de Hombourg-Budange (consulté le ).
  4. a et b Site officiel de l'ALEMF, La ligne aujourd'hui, lire (consulté le 13 mai 2014).

Voir aussi modifier

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Liens internes modifier

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