Frelinghien

commune française du département du Nord

Frelinghien
Frelinghien
L'hôtel de ville.
Blason de Frelinghien
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Marie-Christine Fin
2020-2026
Code postal 59236
Code commune 59252
Démographie
Gentilé Frelinghinois
Population
municipale
2 581 hab. (2021 en augmentation de 6,65 % par rapport à 2015)
Densité 229 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 42′ 45″ nord, 2° 56′ 06″ est
Altitude Min. 14 m
Max. 20 m
Superficie 11,27 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Armentières (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Armentières
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Frelinghien
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Frelinghien
Liens
Site web http://www.ville-frelinghien.fr/

Frelinghien [fʁəlɛ̃ɡjɛ̃] est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Géographie modifier

 
Frelinghien dans son canton et son arrondissement

Situation modifier

Frelinghien est située dans la partie nord-ouest de la métropole lilloise. La commune est limitrophe de la Belgique.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 18 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Frelinghien est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Armentières (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 10 communes[10] et 78 804 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,5 %), prairies (4,4 %), zones urbanisées (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 75, 76, 80, 81, 82 et par les lignes de transport à la demande 22R, 27R, 75R, 76R et 82R du réseau Ilévia[16]. Elle est également desservi par la ligne 6 du réseau belge TEC Hainaut[17].

Toponymie modifier

  • Ferlingehem au XIe siècle, Frelinghen (1793), Frelinghiem (1801).
  • Le nom du village est d'origine germanique. II vient de Frelo suivi du suffixe -ing désignant la parentèle et de -heim « foyer, habitation » ce qui donne « habitation des gens de Frelo »[18].

Histoire modifier

On trouve mentionné le nom du village dans des écrits datant de 1066 relatant la cession d'une partie des biens du comte de Flandre « des manses et des bonniers « au chapitre collégial Saint-Pierre de Lille. Au Moyen Âge la zone de circulation des marchandises : draps, fils, laine, mais aussi produits agricoles, meubles, épices entre Ypres et Lille transitait par Frelinghien[18].

Faisant partie des Pays-Bas espagnols aux XVIe et XVIIe siècles, la seigneurie de Frelinghien appartiendra à la famille de Croix représentée par les marquis d'Heuchin de 1628 à la Révolution[20].

Frelinghien ne sera rattaché à la France qu'en 1713, après avoir souffert des guerres successives entre Capétiens et Habsbourg.

Mais le village se trouve une nouvelle fois mis en première ligne lors d'évènements douloureux datant de 1792 (les archives départementales du Nord font mention de faits se déroulant au lieu-dit : le Pont rouge...) « En les Autrichiens en guerre contre la France sont à Warneton. Les gardes nationaux de Frelinghien, assistés par ceux des communes voisines utilisent la redoute construite par Vauban au Pont Rouge. Ils forcent l'ennemi à repasser la Lys et accompagnent un convoi de bateaux de vivre destinés à l'armée française. Le Pont Rouge devient alors un haut lieu du patriotisme frelinghinois. »

En 1802-1803, il existe sur la commune un bac appelé Bac du Pont Rouge utilisé pour franchir la Lys et faciliter la communication entre Lille et Ypres[21].

Des évènements plus joyeux jalonnent l'histoire de la commune telle la fête musicale et militaire internationale de 1909 organisée au Pont Rouge. De nombreuses sociétés locales sont représentées car déjà à cette époque la vie associative frelinghinoise est très riche. Quelques exemples de sociétés actives :

  • Société des archers (4 recensées en 1819)
  • Société d'arbalétriers (3 recensées en 1862)
  • La musique municipale ou philharmonique fondée en 1862 par M. Dufour (frère Alcade) société encore au goût du jour et active puisqu'elle a fêté ses 140 ans le
  • La chorale « La Lyre » fondée en 1884
  • La chorale « Les amis réunis » fondée en 1890
  • Des sociétés diverses :
    • Société de saint Vincent de Paul
    • Cercle des bons amis
    • Anciens militaires
    • Société colombophile « L'Hirondelle » fondée en 1885
    • Société de gymnastique « la française » fondée en 1893
    • Vélo sport frelinghinois fondé en 1900

Entre 1895 et 1932, un tramway circule entre Armentières et Halluin, il passe par Bousbecque, Deûlémont, Frelinghien, Houplines, Wervicq-Sud.

Pendant la première guerre mondiale, en 1914, la ligne de front autour d'Ypres (voir Première bataille d'Ypres et Front de l'Yser où figure une carte du front) passe par Frelinghien, Ploegsteert, Messines, où se font face dans leurs tranchées, soldats britanniques et allemands. La commune de Frelinghien, affreusement détruite pendant la guerre, est également entrée dans l'histoire comme étant un des lieux de la célèbre trêve de Noël 1914 (voir Joyeux Noël). Les soldats des deux camps ont fait taire les armes, se sont parlé, se sont échangé cigarettes et cigares, ont chanté des chants de Noël, ont bu ensemble rhum et schnaps, ont même improvisé un match de football. La trêve se prolongera pendant quelques jours. Une plaque commémorative a été érigée et inaugurée le à Frelinghien pour rappeler l'évènement[22].

Les monuments, les habitations sont reconstruits progressivement, peu de constructions à part les blockhaus ayant résisté aux destructions. L’église Saint-Amand date de 1920. La cloche qu’elle abrite a été fondue avec les débris de celle brûlée en . Le monument aux morts a été inauguré en 1924. Les maisons de brique de la Place des Combattants et de la rue d’Armentières datent en général des années 1920.

Héraldique modifier

Les armes de Frelinghien se blasonnent ainsi :"D'azur au nom de Frelinghien d'argent, mis en bande entre deux cotices d'or, et accompagné en chef à senestre d'un écu d'or au lion de sable (le lion des Flandre)."

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Maire de 1802 à 1807 : L. F. Breuvart[23],[24].

Maire en 1881 : Destombes[25].

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
1891 1903 François Lesmesre    
1903 1904 Jean Baptiste Ducroquet    
1904 1922 Émile Pruvost    
1922 1929 René Leblon    
1929 1935 Désiré Philippo    
1935 Michel Pruvost    
Isaac Masse    
mai 2020 Michel Pacaux DVG Artisan-commerçant retraité
Président du Syndicat intercommunal de Quesnoy-sur-Deûle,
Frelinghien et Deûlémont
mai 2020 En cours Marie-Christine Fin DVG Biologiste retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives modifier

La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 2 581 habitants[Note 3], en augmentation de 6,65 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1632 1722 0702 1652 3692 2372 1852 1522 084
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1742 1492 1652 0342 2362 3882 6012 5232 614
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5332 3762 2629561 5041 5181 5091 5371 561
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 5601 7031 9422 1812 2282 3952 3632 5662 494
2014 2019 2021 - - - - - -
2 4002 4472 581------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 196 hommes pour 1 235 femmes, soit un taux de 50,8 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,7 
6,3 
75-89 ans
8,4 
16,5 
60-74 ans
17,4 
22,6 
45-59 ans
22,1 
18,9 
30-44 ans
19,5 
15,8 
15-29 ans
15,0 
19,4 
0-14 ans
16,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux et monuments modifier

  • L'observatoire militaire de la guerre 1914-1918, inscrit à l'inventaire des monuments historiques en 1922[33].
  • « L'étang de pêche » : Creusé en 1988. La première ouverture de pêche s'y est faite au printemps 1991. Attenant aux manèges de l’Ahfra. C’est un des lieux de promenade privilégiée des Frelinghinois. Son aménagement paysager s’est fait progressivement (terminé depuis le printemps 1989) Les plantations sont maintenant étoffées et donnent de l’ombre aux promeneurs, mais aussi aux nombreux pécheurs qui se rassemblent sur les berges de l’étang de pêche.
  • les manèges de « l'AHFRA » : Les premiers chevaux ont été accueillis dans le manège en . Un deuxième manège est en service depuis 1991
  • Depuis peu, la municipalité a lancé l'ouverture de la médiathèque à l'emplacement de l'ancienne mairie.
  • Le monument aux morts situé devant l'église. Il fut déplacé il y a quelques années.
  • La mairie, en service depuis 2006.
  • La rivière de la Lys.

Monuments Chrétiens modifier

  • L'église : Comme presque tout le village, l'église de Frelinghien n'a pas survécu à la guerre de 1914-1918. Elle a été détruite le par les Anglais, car elle servait d'observatoire Allemand. Les travaux de reconstruction ont débuté en juin 1923 sous les ordres de l'architecte M. Louis Six. La pose de première pierre a été faite le . La bénédiction et l'inauguration ont été faites le . L'église est dédiée à Saint Amand, évangélisateur des Flandres. Elle est aussi un lieu de dévotion à Sainte apolline et Sainte Saturnine.
  • Le cimetière : Il n’est pas excentré comme dans de nombreuses villes mais bien intégré au cœur du village. Agrandi en 1991, « Le nouveau cimetière » possède un columbarium.
  • Un observatoire allemand de la Première Guerre Mondiale, classé vestige de guerre, est visible à Frelinghien. Il couvre la visibilité sur plusieurs blockhaus.
  • Calvaire Notre-Dame des Douleurs. Érigé en 1939 et béni par le Cardinal Liénart en 1941.
  • Calvaire du Temple.
  • Chapelle "à la gloire de Notre Dame" (avec statue de Notre Dame de Dadizele).
  • Chapelle "Marie, Mère de miséricorde".
  • Chapelle "Notre Dame de la Médaille Miraculeuse".
  • Chapelle "Notre Dame de la Providence". Construite en 1934 par la famille Destombe-Roland pour avoir été préservée pendant la première guerre mondiale en dépit d'activités dans la résistance.
  • Chapelle "Sainte et Immaculée Mère de Dieu" (avec statue de Notre Dame de Lourdes).
  • Chapelle "Saint Michel" et Square du Train de Loos.

Galerie modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Frelinghien et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Armentières (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
  17. « Fiches horaires de la ligne 6 Comines - Houplines » [PDF], sur letec.be, (consulté le ).
  18. a et b Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 105
  19. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  20. Louis Théry, "Une Commune rurale de la Flandre française au début de la Révolution: Frelinghien" Revue du Nord, (lire en ligne), pp. 193-205
  21. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 211, lire en ligne.
  22. Jean-Claude Delhermet, « A Frelinghien, le jour de Noël, les canons se taisent », dans Cent ans de vie dans la région, Tome II 1914-1939, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 février 1999, p. 19.
  23. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  24. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur LillOnum Bibliothèque numérique, p. 132-133 (image 162-163).
  25. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2..
  26. Les maires de Frelinghien
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Frelinghien (59252) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  33. Notice no PA00107533, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.