Fortel-en-Artois

commune française du département du Pas-de-Calais

Fortel-en-Artois
Fortel-en-Artois
Fortel-en-Artois.
Blason de Fortel-en-Artois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Dominique Dourlens
2020-2026
Code postal 62270
Code commune 62346
Démographie
Gentilé Fortelois
Population
municipale
215 hab. (2021 en augmentation de 0,94 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 29″ nord, 2° 13′ 29″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 144 m
Superficie 5,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fortel-en-Artois
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fortel-en-Artois
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Fortel-en-Artois
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Fortel-en-Artois

Fortel-en-Artois est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fortelois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

Localisée dans le sud du département, Fortel-en Artois est une commune rurale située à mi-étape entre Auxi-le-Château (à environ neuf kilomètres) et Frévent, et à 18 kilomètres au sud-ouest de Saint-Pol-sur-Ternoise.

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Géologie et relief modifier

Superficie modifier

La surface communale est de 684 hectares et le village se trouve à 122 mètres d'altitude.

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Paysages modifier

La commune est située à la jonction de deux paysages tels qu'ils sont définis dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[7] :

  • les « paysages du val d’Authie, qui concerne 83 communes, se délimitent : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[8] ;
  • les « paysages du Ternois » qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.
Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.
Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[9].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le mont de Boffles. Le sol crayeux de cette ZNIEFF permet notamment l’expression d’une flore et de végétations de pelouses calcicoles issues d’une exploitation pastorale séculaire, et qui présentent un intérêt patrimonial majeur en région Nord-Pas-de-Calais[10].

et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] :

  • la moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie. Cette ZNIEFF de la moyenne vallée de l’Authie comprend une organisation paysagère régulière avec le fond de vallée humide, des versants calcaires, pentes boisées et hauteurs cultivées[11] ;
  • la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[12].

Espèces faunistiques et floristiques recensées modifier

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 254 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 16 protégées et 4 menacées[13].

Urbanisme modifier

 
Une entrée de la commune.

Typologie modifier

Fortel-en-Artois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,6 %), prairies (18,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Voies de communication modifier

La commune est desservie par les routes départementales D 115 et D 115 E2 et est limitrophe, au nord, de la D 941, reliant Frévent et Auxi-le-Château[20].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Forestiel en 1252 ; Forestel en 1259 ; Fortel en 1477 ; Fortel-lès-Hesdin en 1530 ; Fretel en 1611 ; Fortiele au XVIIIe siècle[21] ; Fortel en 1793 et 1801 ; Fortel-en-Artois depuis 1924[22].

Histoire modifier

En , sont données des lettres patentes, enregistrées le , qui réunissent les seigneuries de Fortel et la baronnie de Ligny-sur-Canche à la principauté de Râches et ordonnent qu'à défaut d'enfant mâle de Jean Joseph de Berghes (maison de Berghes-Saint-WinocK) et de Marie Josèphe Isabelle de Berghes, son épouse, il y ait substitution pour le titre de prince de Râches, en faveur de la fille qui se trouvera la plus proche, à la charge de celui avec qui elle sera mariée de prendre et porter les armes de Berghes-Râches. Jean Joseph de Berghes est le frère cadet de Philippe Ignace et Marie Joseph Isabelle de Berghes, son épouse est la fille et héritière du défunt Philippe Ignace, (Jean Joseph a donc épousé sa nièce). Les terres de Fortel-en-Artois et de Ligny-sur-Canche ont été acquises par Jean Joseph de Berghes et son épouse par retrait, (retrait lignager), comme lignage de dame Claude de Bourbon sa trisaïeule); Fortel-en-Artois est mouvante du roi à cause du château d'Hesdin, Ligny-sur-Canche relève de l'évêque d'Amiens. Ils demandent aussi la substitution masculine, graduelle et perpétuelle portée par leur testament du , ce qui leur est accordé[23].

En 1472, le village et les communautés voisines de Vacquerie et de Boffles sont détruits lors des batailles où Français et Espagnols s'affrontent.

Lors de la Révolution française, des villageois fidèles à leur prêtre réfractaire s'opposent au nouveau prêtre constitutionnel. Ils sont arrêtés.

Le village bénéficie de la découverte d'un gisement de phosphates qui sera surtout exploité à Buire-Bachimont mais traités après y avoir été apportés par une voie de chemin de fer spécialement construite[réf. nécessaire] à Fortel, raccordée à la ligne de Fives à Abbeville.

La commune conserve les séquelles des deux guerres mondiales et tout particulièrement de la Première Guerre mondiale dont la Somme fut l'un des plus grands champs de bataille (bataille de la Somme).

Pendant 1914-1918, Fortel-en-Artois était située à l'arrière du front d'Artois et de la Somme. Des troupes françaises sont passées par la commune. Y ont séjourné des soldats relevés du front et envoyés à l'arrière pour récupérer, reconstituer les unités etc., par exemple au début de juillet 1915[24].

Douze soldats de la commune sont morts pour la France lors de cette guerre, dont Omer Carpentier, Denis Petit et Léopold Delhomel dans les combats de la Somme ou de Verdun[25].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[22]..

Commune et intercommunalités modifier

La commune faisait partie de la petite communauté de communes de la région de Frévent, créée fin 1998.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le préfet du Pas-de-Calais a publié le un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[27].

À l'initiative des intercommunalités concernées[28], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le un amendement à ce projet, proposant la fusion de :

Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [30],[31] et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [32].

Circonscriptions administratives modifier

La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Auxi-le-Château[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014[33] Daniel Nivel UMP  
avril 2014 En cours
(au 4 mars 2022)
Dominique Dourlens   Enseignant[34],[35],[36]
Réélu pour le mandat 2020-2026[37],[38]

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre une école élémentaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 37)[39].

Justice, sécurité, secours et défense modifier

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[40].

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants sont appelés les Fortelois[41],[42].

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44].

En 2021, la commune comptait 215 habitants[Note 5], en augmentation de 0,94 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
366322347356358354352356328
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
290294302307307331293272285
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
293266280234216237221247225
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
208187160186181155197205219
2015 2020 2021 - - - - - -
213216215------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

La commune compte en 2016 un silo qui collecte les céréales et vend de l’engrais, une entreprise de commerce de bêtes de viande, deux entreprises de bâtiment, des commerces de proximité (café, épicerie), un bureau de poste et cinq exploitations agricoles[46].

Deux entreprises s'installent au village en 2016/2017 : l’entreprise de teillage et une entreprise spécialisée dans le domaine agricole et les vis sans fin[47].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Monument historique modifier

Autres lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Pierre (XVIIIe siècle)[50].
  • La chapelle Notre-Dame-de-Grâce (XIXe siècle)[49].
  • La chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Mort (1722)[49].
  • Le monument aux morts[51].
  • L'ancienne gare, détruite aujourd'hui, qui était située sur la ligne de Fives à Abbeville.
  • Le circuit des puits anciens, qui permet de faire le tour du village[52].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Joseph Valart (1698-1781), ecclésiastique, philologue, critique, grammairien et éditeur de nombreux livres classiques, né et mort à Fortel-en-Artois.

Héraldique modifier

  Blason
D'argent au coq hardi de sable, crêté, barbé, becqué et membré de gueules[53].
Détails
La commune relève les armes parlantes de la famille Le Cocq.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Fortel-en-Artois et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  8. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « ZNIEFF 310013685 - Mont de Boffles », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013733 - La moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  22. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 404, lire en ligne.
  24. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commémorations du 11 novembre : Pour que nous puissions vivre libre », L'Abeille de la Ternoise, nos 8597-1646,‎ , p. 36.
  26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  27. « Ternois : le redécoupage des intercommunalités est en marche ! : La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunissait hier après-midi à la préfecture pour continuer à dessiner les contours du futur nouveau découpage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  28. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  29. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  30. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  31. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  32. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  33. Alexis Degroote, « Bilan des maires : à Fortel-en-Artois, « l’école a été entièrement refaite ! » : Maire depuis 2001, Daniel Nivel ne sait pas encore s’il va se représenter en mars prochain. Un maire qui durant ce mandat a mené à bien, avec son équipe, un gros chantier, à savoir la rénovation complète de l’école. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Un petit village, de nouvelles têtes, mais les ambitions ne manquent pas : Adjoint, Dominique Dourlens a rejoint le fauteuil majoral lors des dernières élections. Dispenseur de bons conseils auprès de ses élèves, au sein du lycée Châtelet de Saint-Pol, il continuera à faire de même auprès de son conseil », L'Abeille de la Ternoise, no 8466,‎ , p. 35.
  35. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  36. Alexis Degroote, « Fortel-en-Artois : la défense incendie est en route, l’aménagement du centre en réflexion : Premier mandat de maire pour Dominique Dourlens qui ne manque pas de projets, avec son équipe. Réaménagement, du centre, nouveau cimetière, possibles travaux à l’église ou à la lagune… Du pain sur la planche, donc, pour la nouvelle équipe… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  38. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  39. « École de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  40. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  41. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  42. page sur la commune sur le site de la communauté de communes de la Région de Frévent, consulté 2009 12 31
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. « Zoom sur les entreprises », L'Abeille de la Ternoise, nos 8574-1623,‎ , p. 32.
  47. « Après l’installation de Van Robaeys, Eurovis rejoint le site : L’économie du village se développe », L'Abeille de la Ternoise, nos 8572-1621,‎ , p. 33.
  48. « Croix de grès », notice no PA00108281, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. a b et c « Deux chapelles et une croix de grès: le riche patrimoine de Fortel-en-Artois : La commune de Fortel possède un véritable patrimoine religieux, composé deux chapelles, toutes deux dédiées à Notre-Dame, et une croix de grès classée monument historique. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. « Fortel-en-Artois : l’église Saint-Pierre et son clocher chargés d’histoire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  52. « Fortel-en-artois : les puits anciens, un circuit faisant le tour du village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  53. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).