Français : Piaye (chaman) Emerillon (wayana) en Guyane, dans la région du Haut Maroni vers 1880. En Guyane, chez les amérindiens Roucouyennes, le mot « piaye » (ou pïjai) (source : Ouvrage |prénom1=Isabelle |nom1=Léglise |prénom2=Bettina |nom2=Migge |titre=Pratiques et représentations linguistiques en Guyane : regards croisés (voir p 111) |date=2008 |isbn=978-2-7099-1789-6 |isbn2=2-7099-1789-0 |isbn3=978-2-7099-1630-1 |oclc=949652484 |lire en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/949652484 |consulté le=2023-01-29) pouvait autrefois - au 19ème siècle au moins - désigner des chamans, ou ou encore les sorts (secrets magiques) qu'ils étaient supposés pouvoir lancer à distance, par exemple pour empoisonner quelqu'un ou au contraire pour soigner quelqu'un ; le mot est parfois utilisé comme un verbe : piayer quelqu'un est lui lancer un sortilège. Un dieu ou un esprit (Yoloch par exemple) peut aussi « piayer » ; et celui qui lance un sort est un « piayeur » (source : titre=La Guyane-au pays de l'or, des forçats et des peaux-rouge (voir page )|url=http://www.manioc.org/gsdl/collect/patrimon/tmp/ORK13185.html |site=www.manioc.org |consulté le=2023-01-29 ; Glossaire, in "Musique et Littérature en Guyane. Explorer la transdiction" ; Collection: Comparative Perspectives, n° 74 ; Series: Littératures et musique, n° 7 | https://classiques-garnier.com/musique-et-litterature-en-guyane-explorer-la-transdiction-glossaire-en.html?displaymode=full).