Falvy

commune française du département de la Somme

Falvy
Falvy
L'étang.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de l'Est de la Somme
Maire
Mandat
Frédéric Lecomte
2020-2026
Code postal 80190
Code commune 80300
Démographie
Gentilé Falviens
Population
municipale
160 hab. (2021 en augmentation de 9,59 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 30″ nord, 2° 57′ 35″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 91 m
Superficie 6,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Falvy
Liens
Site web http://falvy.free.fr/

Falvy est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Falvy est un village picard de la haute vallée de la Somme, situé à 12 km au sud de Péronne et à 8 km de Nesle.

Il est aisément accessible par l'ancienne route nationale 37 (actuelle RD 937) reliant Château-Thierry à Péronne et par les autoroutes A29 et A1.

Il est limité au nord par l'autoroute A29.

Communes limitrophes modifier

  Ennemain  
Épénancourt N Croix-Moligneaux
O    Falvy    E
S
Pargny Villecourt Y

Hydrographie modifier

 
L'étang et l'église de Falvy, Somme, France.

La commune est limitée à l'ouest par la Somme, un fleuve côtier picard, ainsi que par ses étangs et marais.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Falvy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,1 %), eaux continentales[Note 2] (7,6 %), zones urbanisées (6,9 %), forêts (5,5 %), zones humides intérieures (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Fala - puis Fal viacum[13], Faleviacum[14] en 1135 ; Falevi en 1142 ; Falvi en 1143[14] ; Phalevi en 1146[13] ; puis Flavi en 1152 ; Falevy en 1230 ; Falvy en 1347 ; Falevy-sur-Somme en 1567 ; Falny en 1573 ; Flavy en 1579 ; Tahy en 1638 ; Tany en 1657 ; Sulvy en 1681 ; Faalvy en 1697 ; Flavy-sur-Somme en 1728[14].

Histoire modifier

Falvy, ainsi que Nesle, trouve ses origines comme village gaulois.

En général, les seigneurs de Nesle[Note 3] et de Falvy, aux XIIe et XIIIe siècles, sont aussi comtes de Soissons.

Dates principales :

Première Guerre mondiale

Le , 23e victoire de Georges Guynemer à Falvy. Celui-ci en comptabilisera 53 pendant la Grande Guerre, dont 21 dans la Somme (Saint-Christ, Nesle, etc.).

Le , le pont de Falvy est bombardé d'une hauteur de 1 000 pieds (environ 300 mètres) par un as de la Royal Air Force, le lieutenant James Alfred Keating, de nationalité américaine. Il a remporté six victoires dans les environs de Falvy qui lui ont valu la Distinguished Flying Cross.

Le village subit des destructions lors des combats de la Première Guerre mondiale[15],[16].

Considéré comme détruit à la fin de la guerre[17], il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Nesle[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Ham.

Intercommunalité modifier

La commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Neslois (CCPN), créée fin 2001, et qui succédait au district de Nesle, créé par arrêté préfectoral du .

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le 30 mars 2016 prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[21].

La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[22],[23].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Jean-Louis Duclaux UMP  
mars 2008 2014 Albert Desmidt[25]    
mars 2014[26] En cours
(au 8 octobre 2020)
Frédéric Lecomte   Réélu pour le mandat 2020-2026[27]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 160 habitants[Note 4], en augmentation de 9,59 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
360384368391436442480510528
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
490480425385355321342350328
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
316299263163179179157149138
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
119118108116106100125127128
2015 2020 2021 - - - - - -
146159160------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) qui rassemble les communes de Saint-Christ-Briost, Épénancourt, Cizancourt, Falvy, Pargny, Ennemain et Athies[31]. Le Sisco des Étangs de la Haute-Somme assure la gestion financière.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Église Sainte-Benoite[32],[33],[34]

L'église placée sous le patronage de sainte Benoîte d'Origny, avait autrefois des dimensions en rapport avec une population plus importante. L'église Sainte-Benoîte trouve en effet son origine comme chapelle du château fort démantelé par Louis XIII. Les parties conservées de l'édifice primitif, comme le clocher, la nef et le portail à la Tudor, etc. attestent une construction de la belle époque romane. La richesse de l'architecture témoigne de la foi des anciens seigneurs.

Le sanctuaire, sans doute remanié, comme la magnifique chapelle du midi offre des caractères de style ogival flamboyant. À défaut des écussons supprimés dans les pendentifs des élégantes voûtes de l'intérieur, se retrouve, au dehors, parmi les riches sculptures conservées des contreforts, le lion héraldique de la maison de Vendôme, propriétaire de la seigneurie du lieu aux XVe et XVIe siècles (dont Henri IV a hérité). D'origine romane, la construction date de 1140 remaniée au XVe siècle, elle se distingue par un mélange de styles roman et gothique.

Cette église, on le voit, se remarquait autant par l'élégance de son architecture que par la richesse de ses ornementations. Mais, comme tant d'autres, elle a été victime du vandalisme révolutionnaire (1792) qui l'a dépouillée de ses ornements et en a brisé l'harmonie par la destruction des bas-côtés. Les arcades permettant d'y accéder ont été murées, donnant aux murs l'aspect actuel.

L'abside a été transformée au XVe siècle et, sur le côté sud, Marie de Luxembourg a fait construire une chapelle considérée comme un chef-d'œuvre de l'art gothique.

Dans le transept de gauche, on peut aussi remarquer un beau christ du XVIe siècle. À ses pieds gisent les membres des seigneuries de Y et de Falvy.

Sur les murs, alignées comme des stations du chemin de croix, les armes des seigneurs qui possédaient cette église, nous racontent une belle page de son histoire. On remarquera bien sûr le blason d'Henri IV, qui vendit le fief de Falvy et son église 5 000 écus pour les beaux yeux de Gabrielle d'Estrées. (information sujette à caution, voir histoire).

Une vitrine présente également une jolie collection d'objets retraçant l'histoire locale du néolithique à la Première Guerre mondiale. Devant une autre châsse, le visiteur pourra également s'attarder devant une rétrospective des rois de France et de leur monnaie, depuis huit siècles d'histoire dont ont été témoins les vieilles pierres de Sainte-Benoîte.

L'église est éclairée intérieur et extérieur, intérieur sonorisé. Fortement abîmée en 1914, parfaitement remise en état.

Visite libre - renseignements voir les offices de tourisme Ham - Péronne.

Étangs de la Haute-Somme.
Canal de la Somme.

Personnalités liées à la commune modifier

Vers l'an 1000 vivait Yves, seigneur de Nesle, père d'Ives et de Dreux, seigneur de Nesle et de Falvy. Il se distingua à la croisade et est qualifié vir fortis et princeps terrœ Galliarum Dogo de Nahella, père de Raoul, 1119, allié à la fille de Guillaume II, comte de Soissons, et d'Ade, héritière de ce comté, descendue des anciens comtes de Vermandois, issus de Charlemagne ; d'où Yves, seigneur de Nesle et de Falvy, comte de Soissons, sans enfants de Yolande de Hainaut ; Dreux, sans enfants ; Raoul, châtelain de Bruges, en Flandre ; Thierry, archidiacre de Cambray... Gertrude, héritière de Nesle, épousa Raoul de Clermony, ce qui donna lieu à la seconde maison de Nesle, dite de Clermont[réf. nécessaire].

Liste de seigneurs de Falvy
 
Blason de Guillaume de Falvy
Écartelé : I et IV, d'hermine, à la croix de gueules, chargée de cinq coquilles d'or (Falvy) ; au II et III, d'azur, semé de fleurs de lis d'argent (Bazentin), sur le tout de gueules, à deux bars adossés, trefflés d'or (Clermont-Nesle), le tout au filet en bordure de gueules. Cimier : Une chauve-souris s'essorant de sable, entre deux plumes de faisan d'or, une capeline aux armes.
  • 1097 : Drogon seigneur de Nesle
  • 11?? : Raoul I de Nesle, seigneur de Nesle et de Falvy, donna en 1119 le moulin de Falvy-sur-Somme à l'église de Saint-Quentin.
  • 1135-1153 : Raoul II de Nesle, châtelain de Bruges, parut à la cour du comte de Flandre. Était apparemment mort en 1157 puisqu'il n'est point fait mention de lui dans le testament du comte son frère.
  • 1146 : Yves III de Soissons
  • 1157 : Yves de Nesle
  • 1175 : Église des Prémontrés
  • 1177 : Jean de Nesle, châtelain de Bruges après la mort de son père, hérita des seigneuries de Nesle, de Falvy et de la Herelle cette année-là. Il fut un grand seigneur dans la cour de Flandre, d'où il sortit mécontent en 1212. Il se retira dans ses terres de Picardie, y mourut en 1214 et fut enterré dans l'abbaye d'Orcamp.
  • 1214 (?) : Jean II de Nesle, celui-ci est probablement mort sans descendance, car c'est son frère Raoul de Nesle (décédé avant février 1225) qui fut le père de Jean III (de Nesle, bien sûr). Note : ce point reste à confirmer.
  • 1231 : Jean de Nesle intervient en mars 1231 dans une charte de Jean de Béthencourt, au titre de seigneur dominant d'une terre appartenant à feu Symon de Coquerel sur le chemin de Nesle à Béthencourt (voir : Jürgen Klötgen,"Une charte rare et inédite de Jean de Béthencourt (1231)", in Revue Historique et Archéologique du Maine, Le Mans,2005,t. CLVI,p. 321-330).
  • 1270 : Jehan (ou Jean) III de Nesle, seigneur de Falvy et de la Herelle, devint comte de Ponthieu par sa seconde femme, fut avec ses fils de l'expédition du roi Louis IX de France en Afrique l'an 1270, marcha en 1271 avec douze chevaliers de sa compagnie, dont trois bannerets, à la suite du roi Philippe le Hardi contre le comte de Foix. Il vivait encore en 1289.
  • 1324 : Jean de Vendeuil II
  • 1400 : Famille de Béthune
  • 1435 : Louis de Luxembourg
  • Jean de Bar, seigneur de Falvy
  • 1477 : Marie du Luxembourg. François de Bourbon Vendôme
  • 1515 : Famille de Valencay
  • 1566 : Prince de Navarre
  • 1589 : Henri de Navarre - Henri IV
  • fin 1592 : François d'Amerval se marie discrètement à Noyon avec Gabrielle d'Estrées. Le roi Henri IV lui fait don de la seigneurie de Falvy-sur-Somme, du domaine de Saint-Lambert (canton de Marle), ainsi que de 8000 écus. La raison de ce don se trouve facilement par la consultation de la biographie d'Henri IV (ses relations avec Gabrielle d'Estrées).
  • 1611 : Isaac- seigneur de Saint-Simon
  • 1629 : Destruction du château ordonnée par Louis XIII (dans le cadre du démantèlement des forteresses médiévales)
  • 1780 : Balthazar de Saint-Simon Rouvroy
  • 1789 : Claude Henri de Saint Simon

Héraldique modifier

  Blason
Burelé d'argent et d'azur, à la bande de gueules brochant sur le tout[36].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
 
Alias du blason de Falvy
Fascé d'argent et d'azur de dix pièces, au lion de gueules, couronné d'or, brochant sur le tout[35].

Nesle de Falvy en Picardie. Burelé d'argent et d'azur de dix pièces, brisées d'une bande de gueules sur le tout.

Ou encore : Néelle de Falvy Burelé d'argent et d'azur, à la bande de gueules, brochant sur le tout. Cri : SOISSONS !

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. On note aussi l'utilisation occasionnelle du nom Néelle en lieu et place de Nesle à cette époque.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Falvy et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b « Bienvenue à Falvy », Accueil, sur falvy.free.fr (consulté le ).
  14. a b et c Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 352 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. Section photographique de l'armée, « Photo : Falvy. Une rue », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Falvy. Panorama », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  18. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  21. Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
  22. V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
  23. « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
  24. « Les maires de Falvy », sur francegenweb.org (consulté le ).
  25. « Le mot du maire », Le Canard de Falvy, no 20,‎ , p. 2 (lire en ligne [PDF], consulté le ) « En effet, cela fait maintenant 30 ans, mandat après mandat, que vous m'accordez votre confiance et je vous en remercie : De 1983 à 1994 conseiller municipal - De 1994 à 2008 Adjoint au Maire - De 2008 à 2014 Maire ; aussi, je pense que le moment est venu de passer la main, d'apporter du sang neuf pour un nouveau départ, de nouveaux projets ».
  26. « Ces maires déjà installés », Le Journal de Ham, nos 14/2014,‎ , p. 3.
  27. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Le SISCO des Étangs de la Haute Somme », Groupement scolaire, sur saintchristbriost.free.fr (consulté le ).
  32. « L'église », notice no PA00116151, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Falvy, d'après nature 28 septembre 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  34. Oswald Macqueron, « A) Église de Falvy. - [Calque] extrait du Pouillé du diocèse de Noyon. B) Falvy : Église Ste Benoîte d'Origny. - Tiré de "L'histoire de l'arrondissement de Péronne" par l'abbé Paul de Cagny, 1869. C) Falvy-sur-Somme : vue générale. - [Carte postale] Coll. "Picardie illustrée". », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  35. « La banque du blason2 - Tous vos sujets en décoration ! », sur La banque du blason2 (consulté le ).
  36. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier