Estrées-Mons

commune française du département de la Somme

Estrées-Mons
Estrées-Mons
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Christian Picard
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80557
Démographie
Population
municipale
594 hab. (2021 en diminution de 0,17 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 52′ 44″ nord, 3° 00′ 27″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 102 m
Superficie 15,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Estrées-Mons
Liens
Site web http://www.mairie-estrees-mons.fr/

Estrées-Mons est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

En 1973, les deux anciennes communes d’Estrées-en-Chaussée et Mons-en-Chaussée ont fusionné pour former la nouvelle commune d’Estrées-Mons.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Description modifier

Le village est situé dans la vallée de l'Omignon, il est traversé par l'axe Amiens - Saint-Quentin, la route départementale 1029. Par la route, Amiens est à une soixantaine de kilomètres et Saint-Quentin à plus de vingt kilomètres[1].

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ESTREES-MONS-INRA (80) - alt : 87m, lat : 49°52'29"N, lon : 3°01'52"E
Records établis sur la période du 01-01-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,3 5,1 8,5 11,2 13 13 10,4 7,8 4,5 1,9 6,8
Température moyenne (°C) 3,7 4,3 7,3 10,1 13,6 16,4 18,7 18,6 15,5 11,6 7,3 4,3 11
Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,2 11,2 15,1 18,6 21,6 24,4 24,3 20,5 15,4 10,1 6,6 15,1
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
07.01.09
−12,7
07.02.1991
−10,2
13.03.13
−3,3
21.04.1991
−1
07.05.1997
1,5
05.06.12
4,6
11.07.1993
4,6
29.08.1989
0,7
30.09.18
−4,8
29.10.03
−9,1
24.11.1998
−12,5
18.12.10
−15,8
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,7
09.01.15
18,6
26.02.19
24
31.03.21
27
20.04.18
30,9
28.05.17
34,9
18.06.22
41,9
25.07.19
38,4
12.08.03
34,4
15.09.20
27,6
01.10.11
19,8
07.11.15
16,6
07.12.00
41,9
2019
Précipitations (mm) 49,6 43,8 45,8 37,1 58,8 59,8 56,6 65,2 51,3 58,2 57,9 63,4 647,5
Source : « Fiche 80557001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Estrées-Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %), zones urbanisées (4,5 %), eaux continentales[Note 3] (3,9 %), forêts (3 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Estrées est attesté sous les formes Strata… ; Estrées en 1148 ; Estrees in calceia en 1296 ; Estrée-en-le-Cauchie en 1519 ; Estrée-en-Cauchye en 1567 ; Estrée en 1573 ; Estrée-en-Cauchie en 1733 ; Estré-en-Cauchy en 1753 ; Etrée en 1757 ; Estré-en-Cauchie en 1764 ; Estrées-en-Chaussée en 1771[14].
Estrée, première partie du nom de la commune, est un mot d'ancien français, issu du latin strata (via), qui désignait une « voie couverte de pierres plates », par opposition à rupta (via) > route. Il s'est conservé dans la plupart des langues romanes (cf. l'italien et le roumain strada) et a été emprunté par le germanique (cf. l'anglais street, l'allemand Straße et le néerlandais straat[15]). Le mot estrée a disparu du français à la fin du Moyen Âge, mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particulièrement dans le Nord de la France, signalant la proximité d'une voie romaine[16]. Ici, cette voie est la chaussée Brunehaut, appelée aujourd'hui D 1029 dans les environs, ce qui justifie la terminaison des noms des deux anciennes communes qui se sont rassemblées : Estrées-en-Chaussée et Mons-en-Chaussée.

Mons est attesté sous les formes Mons en 960 ; Montes en 117. ; Monz en 12.. ; Montes juxta strata en 1200 ; Mons en le Cauchie en 1438 ; Mons en Cauchye en 1567 ; Mons en Cauchie en 1573 ; Mont-en-Cauchie en 1648 ; Mons-en-Chaussée en 1733 ; Mont-en-Chaussée en 1771 ; Mons-en-Cauchy en 1753[17]
Le nom « Mons » se retrouve dans de nombreux noms du Nord de la France ou de Belgique, comme pour les villes de Mons (en Belgique) ou Mons-en-Barœul (département français du Nord).

Le lieu-dit les Vignes[18], bien exposé, témoigne de la culture ancienne du raisin sur le territoire.

Histoire modifier

Les villages ont été détruits pendant la Première Guerre mondiale et ont été décorés de la croix de guerre 1914-1918 le [19].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Luftwaffe occupe l'aérodrome de 107 hectares qui avait été créé antérieurement[20].

L’armée allemande agrandit le terrain d'aviation par deux pistes d’envol bétonnées de 1 650 m x 50 m et 1 600 m x 50 m, orientées respectivement E / O et N-E / S-O et ceinturées par une voie de circulation périphérique desservant elle-même de nombreuses aires de dispersion[20]

Estrées-en-Chaussée est ensuite décorée de la croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze le [21].

En 1947, l'aérodrome est ouvert à l'aviation civile, puis, au milieu des années cinquante, accueille une base aérienne de l'OTAN de dispersion, équipée d’une piste E/O de 2 440 m.

À la fin des années 1960, l’OTAN ayant quitté le territoire français, le centre de recherche de l'INRAE est implanté sur une partie de l'ancienne base aérienne[22].

En 1973, les communes d'Estrées-en-Chaussée et de Mons-en-Chaussée fusionnent pour devenir la commune d'Estrées-Mons[23].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1856 1870 Joseph Guilbert    
    Armand Guilbert   Fils de Joseph Guibert
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2020[24] Jean-Paul Colard[25],[26]    
2020[27],[28] En cours
(au 8 octobre 2020)
Christian Picard   Retraité, ancien président du club de football local

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 594 habitants[Note 4], en diminution de 0,17 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
796690699719721706767766770
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
752741740701704678700715679
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
693672624452536510517452522
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
536520628631596609585581569
2015 2020 2021 - - - - - -
595588594------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Située au numéro 2, rue du Brasseur, l'école primaire communale (maternelle et élémentaire) compte 45 élèves à la rentrée scolaire 2019-2020. Elle est située en zone B, dans l'académie d'Amiens[33].

Autres équipements modifier

Le village dispose d'une agence postale communale[34].

Économie modifier

  • L'usine agro-alimentaire Bonduelle[35] dont le siège social est à Villeneuve-d'Ascq est la plus grande usine de transformation de légumes du monde. La qualité des eaux de la nappe phréatique et la proximité des meilleures terres d'Europe ont séduit l'industriel[36],[37].
  • INRA, implanté sur un site de 163 hectares où travaillent en 2020 152 chercheurs, ingénieurs et techniciens, qui étudie notamment l’impact des grandes cultures sur l’environnement, notamment en termes d’émissions de gaz à effet de serre et l’hygiène des procédés agroalimentaires[38],[22].
  • Sur le territoire de la commune est implanté l'aérodrome de Péronne - Haute-Somme. Il accueille un aéro-club et un centre de parachutisme très actif[39] en raison de la proximité de Paris[40].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Pierre de Mons.
  • Chapelle d'Estrées, reconstruite après la Grande Guerre[41].
  • Oratoire de Saint-Cren, du nom du hameau déjà cité en 1248. La croix avec son Christ, près de la mare, existait en 1700[41].
  • Aérodrome d'Estrées-Mons, le seul de la Somme à permettre de sauter en parachute[42].

Personnalités liées à la commune modifier

Paul-Armand Guilbert, né à Estrées-en-Chaussée, maire d'Estrées-Mons, considéré comme « le plus âgé maire de France », décédé en 1960, chevalier de la Légion d'Honneur (1956). Deux de ses fils sont décédés dans les combats de la guerre de 1914-1918, Guilbert Arthur-Eugène, décédé le 20 février 1918 et Louis-Gaston, décédé le 7 septembre 1914, morts pour la France.

Il est à noter que son père,Pierre-Louis-Joseph Guilbert,né à Estrées-en-Chaussée,a été maire d'Estrées-Mons de 1856 à 1870. Il est mort en 1884.

Héraldique modifier

  Blason
D'azur au pal diminué d'argent, adextré d'un arbre d'or sommé d'une aigle essorante et contournée d'argent, et senestré d'une crosse d'or surmontée d'une fleur de lis des jardins d'argent[43].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Bibliographie modifier

  • Laurenza van Hoegaerden-Julien, "Mons-en-Chaussée / Estrées-Mons et Villages voisins. Mémoires et Récits", Éditions La Vague-Verte,Coll."Souvenance", rééd. : coll. "Les Brochures-de-L'Histoire" (même éditeur, 68 p.), 182 p.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. ViaMichelin.
  2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 342 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. John Ayto, Dictionary of Word Origins, Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506
  16. Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales, éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, p. 32.
  17. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 68 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  18. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, Archives départementales de la Somme, tome 2, Amiens, p. 386, vue 196/267.
  19. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  20. a et b DGAC, « Atlas DGAC – Péronne – Mons-en-Chaussée », Atlas historique des terrains d'aviation de France métropolitaine 1919-1947, Anciens aérodromes, (consulté le ).
  21. « Communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), (consulté le ), p. 45.
  22. a et b Vincent Fouquet, « La ministre de l’Enseignement supérieur en visite ce vendredi 29 mai sur le site de l’INRAE à Estrées-Mons : Frédérique Vidal découvrira les coulisses de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement à Estrées-Mons. L’INRAE abrite des laboratoires qui préparent l’agriculture de demain », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Anciennes communes de la Somme
  24. « Jean-Paul Colard ne briguera pas un nouveau mandat de maire d’Estrées-Mons », Le Courrier picard,‎ .
  25. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  26. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  27. « Une première liste se déclare à Estrées-Mons », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale ».
  34. « Notre Agence Postale », Informations, sur mairie-estrees-mons.fr, (consulté le ).
  35. Bonduelle
  36. Pascal Mureau, « Bonduelle : comment la Haute-Somme lui a ouvert l'appétit », Courrier picard, édition d'Amiens,‎ , IV..
  37. Hugues Chaigneau, « Comment le site Bonduelle d’Estrées-Mons s’est adapté au coronavirus : Le spécialiste du légume fait front face à la crise du coronavirus. Si les objectifs financiers ont été suspendus, la capacité de production est pour le moment maintenue », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. Nicolas Totet, « La science en plein champ à Estrée-Mons pour la ministre : Estrées-Mons La ministre de l’Enseignement supérieur a conclu son périple par le centre INRAE. Instructif comme tout ce qu’elle a vu. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. Le CPPHS Centre de Parachutisme Paris Péronne Haute Somme
  40. Comment aller à l'aérodrome de Péronne
  41. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 260 (ASIN B000WR15W8).
  42. Vincent Fouquet, « S’envoyer en l’air en Haute-Somme : L’aérodrome de Péronne-Estrées-Mons est le seul de la Somme à permettre de sauter en parachute. Il est devenu la drop zone des Parisiens et des célébrités. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=20567