Erika Farías

femme politique vénézuélienne

Erika Farías est une femme politique vénézuélienne née à Caracas le . Mairesse de la municipalité de Libertador du District de la capitale Caracas de 2017 à 2021, elle est précédemment ministre du Bureau de la présidence et du Suivi de la gestion du gouvernement à trois reprises (2007-2008, 2011-2012, 2017), ministre de l'Agriculture urbaine (2017), ministre des Communautés à deux reprises (2007-2010, 2016-2017), gouverneure de l'État de Cojedes (2012-2016) et ministre de l'Alimentation (2006-2007).

Erika Farías
Illustration.
Erika Farías en 2012.
Fonctions
Mairesse de la municipalité de Libertador

(3 ans, 8 mois et 17 jours)
Président Nicolás Maduro
Prédécesseur Luis Lira (interim)
Jorge Rodríguez
Successeur Carmen Meléndez
Ministre vénézuélien du Bureau de la présidence et du Suivi de la gestion du gouvernement

(1 mois et 13 jours)
Président Nicolás Maduro
Prédécesseur Carlos Osorio
Successeur Jorge Márquez

(1 an et 5 mois)
Président Hugo Chávez
Prédécesseur Francisco Ameliach
Successeur Carmen Meléndez

(1 an)
Président Hugo Chávez
Prédécesseur Hugo Cabezas
Successeur Jesse Chacón
Ministre vénézuélienne de l'Agriculture urbaine

(6 mois et 26 jours)
Président Nicolás Maduro
Prédécesseur Lorena Freitez
Successeur Freddy Bernal
Ministre vénézuélienne des Communautés

(3 mois et 5 jours)
Président Nicolás Maduro
Prédécesseur Rosángela Orozco
Successeur Aristóbulo Istúriz

(3 ans)
Président Hugo Chávez
Prédécesseur David Velásquez
Successeur Isis Ochoa
Gouverneure de l'État de Cojedes

(3 ans, 9 mois et 2 jours)
Prédécesseur Teodoro Bolívar Caballero
Successeur Margaud Godoy
Ministre vénézuélienne de l'Alimentation

(1 an)
Président Hugo Chávez
Prédécesseur Rafael Oropeza
Successeur Rafael Oropeza
Biographie
Nom de naissance Erika Farías Peña
Date de naissance (51 ans)
Lieu de naissance Caracas (Venezuela)
Nationalité Vénézuélienne

Controverses modifier

Dans le cadre des sanctions internationales durant la crise du Venezuela, elle est sanctionnée le par le département du Trésor des États-Unis qui gèle ses avoirs dans ce pays[1].

Sources modifier

Notes et références modifier

  1. « Estados Unidos impuso sanciones a otros ocho funcionarios venezolanos », sur El Nacional (consulté le )