Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac

commune française du département du Gard

Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac
Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac
Vue (en arrivant de l'Est) du village médiéval de Durfort, avec sa tour, le temple à sa droite et le clocher de l'église à sa gauche.
Blason de Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Piémont Cévenol
Maire
Mandat
Robert Condomines
2020-2026
Code postal 30170
Code commune 30106
Démographie
Population
municipale
753 hab. (2021 en augmentation de 9,29 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 59′ 29″ nord, 3° 57′ 22″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 324 m
Superficie 16,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quissac
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac
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Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac

Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Rivière Crespenou, le ruisseau de Crieulon, le Conturby, le ruisseau de Banassou et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac est une commune rurale qui compte 753 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Ses habitants sont appelés les Durfortois ou Durfortoises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : château de Durfort, inscrit en 2008.

Géographie modifier

Localisation modifier

Le village est situé à l'ouest du département du Gard, à 43 km de Nîmes et à 22 km d'Alès, entre Sauve et Anduze. Il est situé sur les contreforts des Cévennes à une altitude plutôt basse.

Hydrographie et relief modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 037 mm, avec 7,1 jours de précipitations en janvier et 3,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Générargues à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 239,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports modifier

Milieux naturels et biodiversité modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[7] : la « mare de Vibrac » (20 ha), couvrant 3 communes du département[8] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[7] : les « plaines de Pompignan et du Vidourle » (12 043 ha), couvrant 12 communes dont 9 dans le Gard et 3 dans l'Hérault[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[I 1],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,8 %), cultures permanentes (26 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), prairies (4,1 %), zones urbanisées (1,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la rivière Crespenou et le ruisseau de Crieulon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1994, 1995, 1998, 2001 et 2002[15],[13].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[16]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 76,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 480 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 463 sont en aléa moyen ou fort, soit 96 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Toponymie modifier

Occitan Dur-Fort, du roman Durfort, Dufort, Dulfort, du bas latin Castrum de Duroforti[19].

Saint-Martin-de-Saussenac, en 1548. Parrochia Sancti Martini, in Terminio Andusanico, en 1037 [31]

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

Le château de Durfort remontait au XIIIe siècle. Il a été détruit et vendu à l'époque de le Révolution[20].

Époque moderne modifier

Révolution française et Empire modifier

Époque contemporaine modifier

La commune actuelle est le fruit de la fusion, par décret du [20], des deux communes voisines de Durfort et de Saint-Martin-de-Saussenac[20],[21], peuplées respectivement, au recensement de 1861, de 988 et de 87 habitants[21]. Cette dernière commune porta, à partir de la Révolution française et durant le XIXe siècle, le nom de Saussenac[21],[20].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 2001 Louis Caucanas PS Conseiller général du canton de Sauve (1997-2008)
2001 2014 Stéphane Allut DVD Expert-Comptable
2014 En cours Nicole Pratlong DVG Employée
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 753 habitants[Note 4], en augmentation de 9,29 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
852846864907965922932926984
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
973988946902873766757741755
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
813977712611571574538517505
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
471454410388492595651645729
2015 2020 2021 - - - - - -
689750753------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

La population de Saint-Martin-de-Sossenac était, avant la fusion avec Durfort de 1862 : 116 en 1793, 84 en 1800, 87 en 1806, 99 en 1821, 109 en 1831, 89 en 1836, 102 en 1841, 160 en 1846, 100 en 1851, 91 en 1856, 87 en 1861[25].

Enseignement modifier

Santé modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

Une fête votive organisée a lieu chaque année en juin[réf. souhaitée].

Cultes modifier

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 319 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 674 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 330 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 12 % 11,1 % 12,5 %
Département[I 7] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 421 personnes, parmi lesquelles on compte 74 % d'actifs (61,5 % ayant un emploi et 12,5 % de chômeurs) et 26 % d'inactifs[Note 6],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 77 emplois en 2018, contre 99 en 2013 et 110 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 265, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,9 %[I 10].

Sur ces 265 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture modifier

61 établissements[Note 7] sont implantés à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 61
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
3 4,9 % (7,9 %)
Construction 13 21,3 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
19 31,1 % (30 %)
Information et communication 2 3,3 % (2,2 %)
Activités immobilières 1 1,6 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
15 24,6 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
2 3,3 % (13,5 %)
Autres activités de services 6 9,8 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,1 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 61 entreprises implantées à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac), contre 30 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture modifier

1988 2000 2010 2020
Exploitations 47 24 13 5
SAU[Note 9] (ha) 700 355 141 68

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[26]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (47 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 68 ha[28],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine locaux modifier

Édifices civils modifier

  • Village médiéval : une tour d'époque offrant une vue typiquement méridionale que l'on peut visiter une fois par an, vers le .

Édifices religieux modifier

 
L'« éléphant de Durfort », le spécimen de mammouth méridional le plus complet découvert en France, fut trouvé dans la commune de Durfort en 1869. Il est exposé à Paris, au Muséum national d'histoire naturelle.

Patrimoine géologique et paléontologique modifier

À 1 km du village de Durfort est découvert en 1869[29] un squelette complet de mammouth méridional (Mammuthus meridionalis) dont l'ancienneté est estimée entre un million d'années et 700 000 ans[30]. Il est exposé depuis 1873 au Muséum national d'histoire naturelle de Paris.

Fierté du village, le mammifère a donné son nom à la route du mammouth sur laquelle est située la mairie, et au bar-snack qui s'appelle Le repaire du mammouth[31].

Patrimoine environnemental modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Écartelé, au premier et au quatrième, d'argent à la bande d'azur ; au deuxième et au troisième, de gueules[20].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[27].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac et Générargues », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Générargues » (commune de Générargues) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Générargues » (commune de Générargues) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  8. « ZNIEFF la « mare de Vibrac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF les « plaines de Pompignan et du Vidourle » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 832, t. 1
  20. a b c d et e Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 75-76
  21. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. cassini.ehess.fr/fr/html/fiche.php?select_resultat=33382
  26. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  28. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Détails et illustrations du lieu de la découverte », sur geosciencesetarcheologieenpaysdoc.midiblogs.com (consulté le ).
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  31. Jérôme Diesnis, « L’extraordinaire histoire du mammouth de Durfort, redevenu la star du muséum d’histoire naturelle », sur 20minutes.fr, .

31 -Dictionnaire topographique du Gard, M.E. Germer-Durand, p. 219, Paris DCCCLXVIII.