Discussion:Principe holographique

Dernier commentaire : il y a 12 ans par Nipou dans le sujet Masse, énergie et forme
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2D,3D,4D? modifier

Bonjour, est-ce que le principe holographique s'occupe uniquement des surfaces entourant des volumes ou bien est-il généralisé aux hypersurfaces à 3 dimensions entourant des hypervolumes à 4 pour tenir compte de la relativité?Klinfran (d) 21 février 2009 à 17:28 (CET)Répondre

La forme bordel !!! modifier

Bon, ce principe est tellement trivial qu'il me sidère. L'information d'un corps est entièrement comprise sur sa surface ; en effet, nous appelons cela la forme et l'étymologie latine du mot information signifie d’ailleurs mise en forme ou donner une forme.

Que l'information entre dans la physique comme quelque chose de fondamental est probablement révolutionnaire mais la forme... elle existe depuis toujours sous les yeux de tous les physiciens.

C'est comme la couleur des ailes des mouches qui est restée invisible pendant 300 ans simplement parce qu’on les regardait sur du carton blanc... il fallait du carton noir ; ou un trou noir.

--Nipou (d) 18 juin 2011 à 00:02 (CEST)Répondre

Le chat de Schrödinger modifier

Question : la limite à la densité d'information ne donnerait-elle pas une limite formelle au plus gros chat de Schrödinger constructible ? Il s’agirait donc d’une contrainte sur l’intrication quantique. --Nipou (d) 19 juin 2011 à 17:55 (CEST)Répondre

Le chat de Schrödinger est mort modifier

Je viens de lire le Scientific American de septembre 2011 où la conception la plus primitive et simpliste du problème du chat de Schrödinger est exposé. Première correction, le chat de Schrödinger n'est pas mort et/ou vivant, il se retrouve dans un ensemble exponentiels d'états en fonction du temps avant observation et réalisation de la décohérence. À chaque échelle de temps de Planck de la possible désintégration du corps radioactif, un nouveau chat se superpose. De plus, chaque nouveau chat est un nouveau monde quantique possédant ses propres bifurcations. Ainsi, l'espace doit pouvoir contenir une densité infinie d'information car il n'existe aucune limite de temps impartie avant la réalisation de la décohérence. Plus amusant, cette quantité est mathématiquement indénombrable (aleph0) soit isomorphe à l'ensemble des nombres réels. Dans une physique où la discrétisation prend de plus en plus de place depuis un siècle, il s'agit d'une véritable verrue sur le nez de la physique.--Nipou (d) 11 octobre 2011 à 03:39 (CEST)Répondre

Deuxième erreur, il ne faut pas confondre taille de l'intrication au sens de volume avec celui de taille au sens de densité de l'information. Une intrication de spin comme on le réalise dans un cristal peut être aussi grande que l'on veut car on diminue la densité de l'information alors que l'intrication de fréquence d'une micro-tige (expérience de Aaron O'Connel et Max Hofheinz) atteindra une limite formelle de superposition de fréquence.--Nipou (d) 11 octobre 2011 à 03:59 (CEST)Répondre

Épistémologiquement, je me demande très sincèrement si le problème du chat de Schrödinger ne fut pas ignoré et même rejeté simplement car il permettait un retour de la transcendance en physique ; le monde serait bel et bien magique, regardez le chat de Schrödinger, il est bien plus beau que le chat de Cheshire.--Nipou (d) 15 octobre 2011 à 16:52 (CEST)Répondre

Masse, énergie et forme modifier

La grande unification se fera entre la théorie de la calculabilité et la physique. La masse est la quantité d’information stockée dans l’espace alors que l’énergie est le potentiel de réalisation de phénomènes déterministes (potentiel de calcul). Leurs strictes équivalences est simplement la conséquence du fait qu’il y a équivalence entre information (produit d’un phénomène déterministe) et complexité de calcul (au sens de Kolmogorov). La forme (équivalent à la masse) est simplement le moyen utilisé par l’univers pour stocker l’information dans l’espace. Tout phénomène concernant la masse (inertie et gravitation) n’est, par conséquence logique, que le résultat des contraintes de représentation de l’information dans l’espace. --Nipou (d) 15 octobre 2011 à 17:28 (CEST)Répondre

Ainsi la sphère est le niveau nul de forme, toute injection d’énergie absorbée par cette sphère sera transformée en forme. Par exemple, une mole de métal sphérique n’a pas la même masse que cette même mole représentant une statue de Michelangelo (variation infime au niveau de l’énergie mécanique). Cette variation de masse est également proportionnelle à l’algorithme de complexité de Kolmogorov nécessaire pour réaliser cette mise en forme. --Nipou (d) 15 octobre 2011 à 21:12 (CEST)Répondre

Puis-je savoir en quoi ceci, et les paragraphes précédents, a pour but l'amélioration de l'article ? Je rappelle que wikipedia n'est pas un forum.--McSly (d) 16 octobre 2011 à 01:37 (CEST)Répondre
Le plus intéressant n’est pas le principe holographique en soit mais ses implications. Le prendre comme axiome génère la conception que je viens de mentionner, vous pouvez toujours parler des travaux de Erik Verlinde voir son article On the Origin of Gravity and the Laws of Newton, 2010. Il est possible que je sois le premier dans l’histoire du monde à avoir posé la stricte équivalence entre l’information, la forme et la masse. Par contre, si ce n’est pas le cas, il serait important de mentionner ces travaux (Verlinde endosse encore le principe physique de séparation entre information et masse ; bien que la contrainte holographique soit celle de l’information stockée dans l’espace et qu’elle conduise à l’émergence de la gravitation).--Nipou (d) 16 octobre 2011 à 21:05 (CEST).Répondre
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