Discussion:Louisfert

Dernier commentaire : il y a 11 ans par Léah 30 dans le sujet Re-droits d'auteur.
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Il est très fortement déconseillé de faire de la publicité commerciale sur WP. J'ai donc supprimé celle concernant l'auberge des Pierres Bleues. ℍenry (Jaser !) 18 juillet 2007 à 13:30 (CEST)Répondre

Droits d'auteur ? modifier

Wikipedia a-t-elle l'autorisation de citer dans cet article le texte ci-après même si l'auteur, Pierre Raisonnier, est cité ? Faute de ce droit, je l'enlève :

René Guy Cadou naît le 15 février 1920 à Sainte-Reine de Bretagne, dans la Loire-Atlantique. En 1936, Cadou fait la rencontre de Michel Manoll, qui l'introduit dans les milieux poétiques et lui fait connaître notamment Max Jacob et Pierre Reverdy. La première publication ne tardera guère : Brancardiers de l'Aube, en 1937, et ce seront désormais des années de poésie ardente, où l'ivresse de la création viendra se heurter à de nouvelles épreuves : la mort du père, la guerre, la débâcle. Mobilisé en juin 40, Cadou échoue dans la retraite, à Navarrenx puis à Oloron-Ste-Marie où, malade, il est hospitalisé. Réformé le 23 octobre, il regagne la région nantaise où le hasard de ses nominations en tant qu'instituteur suppléant le conduit aux quatre coins du département. Cadou eut, semble-t-il, toujours le pressentiment qu'il quitterait le monde prématurément : Je ne ferai jamais que quelques pas sur cette terre

Autour de René Guy Cadou et de Jean Bouhier, père-fondateur de l'Ecole de Rochefort, se retrouvaient de jeunes poètes proclamant l'amour de la vie, l'espoir et la liberté au moment où la mort et l'esclavage régnaient. Le jour le plus important de la courte vie de René Guy Cadou fut sans doute le 17 juin 1943, jour où il rencontre une jeune fille de Nantes, Hélène Laurent. Cette rencontre eut lieu à CLISSON au sud est du département de la loire atlantique. Hélène, qu'il devait épouser en 1946 et qu'il célébra dans "Hélène ou le règne végétal". Nommé à Louisfert en octobre 1945, Cadou s'y installe et mène avec les gens du village, la vie simple du maître d'école en sabots et pélerine; et c'est la kyrielle des copains, "Les Amis de haut bord" qui, la classe terminée viennent saluer le poète. Mais bientôt la maladie va faire son oeuvre inéluctable : interventions chirurgicales en janvier et mai 1950 suivies d'une période de rémission qui ne durera que le temps d'un été. Quelques jours après avoir signé " Les Biens de ce Monde ", René Guy Cadou meurt dans la nuit du 20 mars 1951, entouré d'Hélène et de Jean Rousselot qui était venu le voir par hasard.Il dit à ceux qu'il aime " continuez . Le temps qui m'est donné que l'amour le prolonge."

Pierre Raisonnier (Vivre en Poésie 27)
De toutes façons, ce texte fait double emploi avec celui de l'article sur le poète, René-Guy Cadou. ℍenry (Jaser !) 18 juillet 2007 à 13:53 (CEST)Répondre

Re-droits d'auteur. modifier

J'ai supprimé ceci car, bien que la source soit indiquée, le texte est copyrighté, c'est écrit en fin de l'article :

En complément, voilà les informations du site http://www.infobretagne.com/louisfert.htm

L'église Saint-Pierre-es-liens (1917), édifiée du temps de l'abbé Amédée Lebec. L'église du XVIIe siècle, édifiée par l'abbé Yvon, (vers la fin de son rectorat, survenue le 23 mai 1668) est totalement restaurée et remaniée entre 1913 et 1917. Les restes de l'abbé reposent devant l'autel de la Sainte Vierge, dans l'enfeu de ses prédécesseurs. L'église édifiée en 1668 avait eu au moins deux ou trois sœurs aînées, qui étaient à la fois église prieurale et paroissiale. La paroisse de Louisfert, en effet, tirée d'une côte de Saint-Aubin-des-Châteaux, s'était enrichie des terres prises sur la paroisse de Moisdon-la-Rivière, au-delà de la Cosne. La croix d'autel de l'église actuelle date du XVIIe siècle. La cloche date du XIXe siècle. La statue de Saint-Francois d'Assise, en bois, date du XVIIe siècle. La Vierge à l'Enfant, œuvre du sculpteur Jean Fréour, date de 1956. Plusieurs éléments artistiques : porte du tabernacle, deux crucifix retiennent l'attention. Jadis le cimetière de Louisfert entourait l'église. Il est transféré en 1857 près d'une vieille chapelle, la chapelle de Sainte-Catherine (en ruine vers 1872), et bénit le 24 mai 1857 par l'abbé Deniaud ;

L'Oratoire de la Rifetière (1957), dédié à Saint-Michel et édifié par l'abbé Joseph MOREAU à l'emplacement d'une ancienne léproserie (siège d'une Templerie et d'un relais de Saint Jacques de Compostelle). Elle était dirigée par la Commanderie de Saint-Aubin-des-Châteaux ;

Le calvaire monumental (époque préhistorique - 1892), édifié par l'abbé Jacques Cotteux de 1871 à 1892. L'abbé Cotteux (1835-1905) fait transporter à partir de 1871 les menhirs et autres mégalithes de Louisfert sur une colline où il érige un calvaire. Ce calvaire est béni par Mgr Fournier, le 13 juillet 1872 ;

La croix Galpin, située sur le bord du chemin qui conduit du village du Creux à La Touche ;

Le château (XV-XVIIe siècle) de Caratel, rebâti au XVIIe siècle. Propriété de William Thornton en 1830. Cette famille Thornton ou Thornston, industriels anglais, était amis des Jouffroy d'Abbans (établie aux forges de La Jahotière). Edmond Thornton naît à Caratel en 1824, fils de William et de Jeanne de Cognacq. A signaler que Louis Charles Lelièvre habite Caratel en 1824. On raconte qu'une jolie châtelaine y logeait. Très aimée par un gentilhomme poète, tous deux vécurent heureux en l'une des deux tours d'amour qui subsistent. Le château avec ses toitures élevées, sa façade entourée de deux pavillons, garde une cour d'honneur flanquée à gauche d'une chapelle dédiée à Sainte Catherine. Un souterrain, dit la tradition, reliait Caratel avec Beauregard (qui fut la première seigneurie du lieu). D'après les états des vingtièmes pour la commune de Louisfert les propriétaires nobles étaient : de Virel, Bouexic de La Driennais, la dame du Breil du Châtelier, Edmond Thornton, Le Quen d'Entremeuse et François de Cambourg ;

L'ancien château de Beauregard (vers 1275). Cette seigneurie s'étendait sur le pays de Louisfert, de Saint-Vincent-des-andes, Issé, et se prolongeait jusqu'à Nozay (connu aussi sous le nom de Nozac). Elle appartient à la baronnie de Derval, puis à Jean de Laval, aux de Montmorency et aux Condé. C'est ce qui explique pourquoi ce domaine avait été surnommé la "Huguenoterie". Cette branche des de Condé était en effet passée au protestantisme. Parmi ses hauts fonctionnaires, on relève les noms de Maujouan-du-Gasset (en 1768) et plus tard, Cathelinays du Maretz, Bauduz, Cotelle, etc ... De ce dernier édifice, on ne trouve plus qu'un puits, des traces de douves et d'un étang limité par la chaussée du pont-aux-moines ;

L'ancien manoir (XVI-XVIIIe siècle), situé à La Loctière ;

La Bréchetais (XVIII-XIXe siècle) ;

Le moulin à vent du Bois-Vert (XIXe siècle) ;

ℍenry (Jaser !) 18 juillet 2007 à 14:17 (CEST)Répondre

Ce n'est plus une ébauche ! modifier

La suppression du bandeau me semble judicieuse Léah 30 (d) 5 novembre 2012 à 00:11 (CET)Répondre

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