Discussion:Lemmus lemmus

Dernier commentaire : il y a 14 ans par Jacques21 dans le sujet Source possible
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Comment calculer le nombre de lemmings dans les années futures ?

"... Pour corriger ce paragraphe faux, je dirais que les lemmings se suicide bel et bien : une race particulière d'araignées a trouvé comme meilleur environnement depuis des millénaires pour pondre leurs œufs le cerveaux des lemmings, or, la naissance de ces araignées passe par deux phases : l'une, le développement de l'œuf, qui se situe dans le cerveau, l'autre le développement d'un genre de larve qui doit se passer dans l'eau. Mais les petites araignées tout juste nées ne peuvent pas se déplacer, elles ont donc réussi, par l'intermédiaire du cerveau, à guider un lemming au suicide par noyade, et ainsi assure leur survie..."

Imaginons que cette hypothèse soit réelle.
Existe-t-il une seule espèce d'arachnide capable d'avoir une étape larvaire en dehors de l'œuf?
Si oui, merci de nous dire son nom, en particulier si celle ci est bien celle décrite dans cette intéressante anecdote?
A ma connaissance, il s'agirait plutôt d'une larve d'hyménoptère comme celles qui parasitent le cerveaux de nombreux insectes, mais peut-être suis-je dans l'erreur?

Faussetés? modifier

Ajouté dans l'article par je ne sais qui et supprimmé par je ne sais qui :

Pour corriger ce paragraphe faux, je dirais que les lemmings se suicide bel et bien : une race particulière d'araignées a trouvé comme meilleur environnement depuis des miilénaires pour pondre leurs oeufs le cerveaux des lemmings, or, la naissance de ces araignées passe par deux phases : l'une, le dévellopement de l'oeuf, qui se situe dans le cerveau, l'autre le dévellopement d'un genre de larve qui doit se passer dans l'eau. Mais les petites araignées tout juste nées ne peuvent pas se déplacer, elles ont donc réussi, par l'intermédiaire du cerveau, à guider un lemming au suicide par noyade, et ainsi assure leur survie.

Je déplace ici   Félixggenest le 19 janvier 2009 à 00:45 (HAE)


Source possible modifier

Il y aurait bien des choses objectives et intéressantes à dire sur les lemmings, par exemple en s'inspirant de l'article d'Olivier Gilg et Brigitte Sabard, spécialistes du problème, dans le fascicule "30 ans d'exploration naturaliste dans l'Arctique", édité par le GREA, Dijon, p.108. La thèse du suicide ne tient pas. Les auteurs passent en revue les différentes hypothèses concernant la fluctuation de la population de lemmings, en particulier dans l'Arctique Est-Américain, et proposent leur solution (thèse de doctorat d'Olivier Gilg), basée sur de nombreux relevés et observations sur le terrain. Si rien n'évolue prochainement dans cet article trop succinct, je me propose d'ajouter mon grain de sel après avoir demandé l'accord des deux auteurs. --Jacques21 (d) 8 août 2009 à 18:01 (CEST)Répondre

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