Discussion:Image matricielle
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À revoir modifier
Il faut absolument revoir le dernier paragraphe, que j'ai appelé « Utilisation » faute d'inspiration, désolé, car il contient beaucoup d'erreurs et de non-sens.
Je n'ai malheureusement pas le temps de le faire.
--Frédéric Momméja 27 janvier 2007 à 17:42 (CET)
Remarque modifier
Je ne vois pas l'utilité de "et en approchant une loupe, vous pouvez observer une aberration chromatique sur les bords de la loupe". Cela n'apprend rien sur le sujet. Les aberrations chromatiques se produisent sur tous les instruments à lentilles, dans toutes les circonstances : prenez des lunettes de vue et regardez un objet depuis la périphérie de la lentille et vous en aurez une. Cette phrase n'a l'air de se justifier que par l'effet "poudre aux yeux".
Nombre de bits pour le vert modifier
bonjour.
Je lis cette phrase dans cet article : « Le composant vert a parfois plus de bits que les deux autres, pour offrir à l’œil humain un plus grand discernement de cette couleur.»
Je pense bien connaitre le monde de l'image numérique et n'ai jamais entendu parler d'images telles que décrites ici.
Déjà, si c'est vrai, la phrase est mal formulée. L'œil humain n'a pas besoin d'une profondeur de bits plus grande dans le vert, puisque justement il est plus sensible à cette couleur. Je pense que vous confondez ici la profondeur de couleur et le suréchantillonnage du vert (par rapport au rouge et au bleu, car en fait ce sont eux qui sont sous-échantillonés) appliqué aux capteurs CCD pour obtenir une réponse proche de celle de l'œil humain, tout en réduisant le nombre de photosites d'un tiers.
A moins d'une réponse argumentée de votre part, je supprimerai cette phrase.
Dominique le 30 nov 2012
Pas de réponse. L'auteur a dû abandonner son article. Je modifie (2 /02/13).
L'auteur fait aussi référence à un "espace de couleur RVB". RVB est un modèle et non un espace. Je corrige aussi.
en fait, la totalité du paragraphe n'est que charabia :
"On peut également faire correspondre directement une couleur en codant un triplet de couleurs rouge, vert et bleu dans les informations associées à un pixel, dont le nombre de bits utilisé indiquera le nombre maximum de couleurs possibles. Par exemple 16 millions de couleurs pour un affichage standard sur 24 bits dont 8 pour chaque composante de l'espace de couleur RVB ou 2 seulement pour un affichage monochrome avec un seul bit par pixel."
Je vais essayer de traduire ceci en quelque chose de digeste sans trop travestir l'idée qu'a voulu transmettre l'auteur dans ce verbiage.