Discussion:Famille d'Arcimoles
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Histoire
modifierSi cette famille avait été noble depuis le 15e siècle elle aurait été maintenue à partir de 1666 or ni cet article ni Gustave Chaix d'Est-Ange ne mentionne de maintenue(s) en la noblesse. Ni même une éventuelle dérogeance. Cordialement, Iyy (discuter) 17 octobre 2018 à 10:22 (CEST)
Retraits de l'article
modifierLes informations suivantes ont été retirées de l'article, faute d'un lien suffisamment sourcé avec la famille d'Arcimoles actuelle et d'informations sur une noblesse non prouvée et non consensuelle + risques d'homonymies :
Selon le document « d'Arcimoles Quercy » de 1884, Jean d'Arcimoles a été qualifié « noble et seigneur de Verdale » dans les actes des , et [1]. Les documents de la famille, antérieurs à 1453, auraient été détruits, soit par les Anglais qui pillèrent les archives de Sousceyrac pendant la guerre de Cent Ans, soit par le capitaine Jean Bessonias pendant les guerres de Religion[1]. En 1590, François d'Arcimoles, écuyer, seigneur de Verdale et de Campendu, quitte Sousceyrac et s'établit au château de Roumégoux à Théminettes. Cette terre lui a été apportée par son mariage avec Antoinette de Donadieu[1]. En 1661, Margeritte Meja, la veuve de maître Guillaume d'Arcimoles était atteinte d'une maladie nerveuse. La faculté de médecine de Montpellier déclara qu'elle était ensorcellée[1].
En 1793, pendant la Révolution, Guillaume d'Arcimolles, écuyer et procureur du roi, se retira dans son château de Roumégoux dont il dut abattre les tours et les girouettes. Son fils Jean-Louis, chevalier, quitta ce château pour s'installer dans celui de Rueyres hérité de sa tante de Delpon[1], il épousa en 1800 Charlotte de La Chèze-Murel fille d'un ancien député à la Constituante.
Jean d'Arcimoles est prieur de Nôtre Dame d'Escarmeil (paroisse de Saint-Saury) de 1490 à 1500[2].
Iyy (discuter) 23 février 2021 à 16:00 (CEST)
- Impr. de Chaix, d'Arcimolles : Quercy, , 4 p. (lire en ligne).
- Abbé J. Nanglard, Pouillé historique du diocèse d’Angoulême, vol. 6e série, t. 2, Société archéologique et historique de la Charente, (lire en ligne), p. 76.