Discussion:Féminisation des noms de famille

Dernier commentaire : il y a 16 ans par Švitrigaila dans le sujet Sources
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Deux informations à intégrer:

fils de... fille de... Langues nordiques sauf Islandais: -son/ -sen pour les deux sexes, (Ander(s)son/Andersen, Per(s)son/Persen etc. (Fils d'André, Pierre), Islandais: -son (fils) OU -dóttir (fille): Donc pour un homme: Andersson, pour une femme: Andersdóttir

Appellations familières En Allemand (régions rurales), jusqu'au XX s. l'empoi familier des formes fém. comme p. ex. Die Müllerin (La Meunière) pour Mme Müller (Meunier). Ceci vaut également pour le sud de la France: dans le langage courant, on féminisera volontiers des noms de famille qui le permettent. Mais on ne transformera pas Mme Cheval en Mme Jument, mais plutôt en "La Chevale" ou encore "La Chevalette".

(à intégrer également) Toujours dans le sud de la France, les registres paroissiaux d'Ancien Régime portent la trace d'une féminisation assez systématique des noms de famille (N. Puelle fille de N. Puel, N. Vergnette fille de N. Vergnes etc...). Certains noms de familles actuels sont des formes féminisées, qui ont été ensuite figées. Peps 7 mars 2006 à 16:16 (CET)Répondre

Sources

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Cet article manque de références. Pwet-pwet · (discuter) 13 juillet 2007 à 18:48 (CEST)Répondre

C'est le moins qu'on puisse dire... C'est aussi un peu pour ça que j'en ai laissé tomber la rédaction à l'époque où je voulais en faire un grand article ultra-complet sur le sujet. Švitrigaila 13 juillet 2007 à 21:23 (CEST)Répondre

Langues letton et lithuanien

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Il faut ajouter les données sur les langues letton et lithuanien. Evidemment, les Russes sont plus nombreux. Mais cela ne veut pas dire qu'il faut mépriser les citoyens d'Union Européenne.

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