Discussion:Enfin pris ?

Dernier commentaire : il y a 19 ans par Guaka
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C'est NPOV ? un peu de moderation serait la bienvenue je pense... et des propos tel "Laisse un gout de moisissure verte dans la bouche" n'ont pas lieu ici.

Tout le monde peut "modérer" (disons plutôt participer à l'objectivisation d'un article), donc n'hésite(z) pas à modifier la page pour la rendre plus objective :)
Ryo 24 fév 2004 à 14:47 (CET)


merci, mais ne connaissant pas bien le personnage ni la polemique, je prefere attirer l'attention de tout a chacun.. et en particulier à l'auteur original qui peux s'autmoderer, c'est pas mal ainsi il ne se sentira pas victime et participera a la moderation. mais sur le fond je trouve cet article pas genial, pour qqun qui ne connais pas l'histoire(la polemique), on y comprends absolument rien !!! desolé.

TEXTE AU DEPART AU SEIN DE L'ARTICLE " Enfin pris?

On peut trouver étonnant que Pierre Carles s'en prenne ainsi à Daniel Schneidermann, son ancien "directeur", dans la mesure où celui-ci était alors le seul à réaliser un magasine hebdomadaire, "Arret sur images", critique sur la télévision. C'est que pour Carles, celui-là a retourné sa veste. Et qu'il est tout autant victime-manipulateur de la censure mediatique.

Ce film montre qu'il n'y a là aucun paradoxe; Pierre Carles montre comment, meme dans cette emission aux allures indepantes du pouvoir médiatique, Schneidermann refuse de laisser les rennes de son emission à Pierre Bourdieu. Pierre Carles est en effet devenu un "disciple" du socilogue et s'obstine à montrer comment "Sur la télévision" possède une vérité derangeante. Bref, meme l'emission censée montrer les rouages captieux du petit ecran est victime de sa dépendance dans le champ journalistique.

Ce film fait au passage figure d'archives pour la pensée de Bourdieu (On y découvre Bourdieu admirant Noam Chomsky).

Le passage montrant comment les journaux (télévisés et radio) ont enterrés l'homme "comme il fallait", c'est à dire en n'en disant que du bien alors que personne ne lui a donné la parole comme il voulait, ce passage témoigne du role spectaculaire de la société.

Le talent de Pierre Carles est de faire un film non seulement engagé sur le fond, mais aussi sur la forme puisque le documentaire est aussi une biographie, une autobiographie et un essai. On aura pas peur de nager dans les mises en abimes, la fiction, la réalité et les paradoxes pour finalement sortir plus convaincu de la fausse démagogie comme "Arret sur images", dont l'ambition n'est toutefois pas condamnable. Tel est pris qui croyait prendre.

Enfin, la dernière scène de psychanalyse (Pierre Carles s'allongeant sur le divan à défaut de Daniel Schneidermann) est fort agréable. "

Texte déplacé d'où ?
C'est pratique, signer avec ~~~~. Guaka 31 mai 2004 à 02:09 (CEST)Répondre
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