Discussion:Droit musulman des successions

Dernier commentaire : il y a 5 mois par Chernobog1 dans le sujet Article malhonnete
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Ebauche modifier

Il s'agit d'un texte en ébauche, mais un contributeur a préféré la suppression. Je devais assister à une conférence en juin sur le thèmes et transférer mes notes ici.--mario SCOLAS 5 mai 2006 à 18:37 (CEST)Répondre

droit successoral modifier

diffère du droits de succession (Prélèvement foncier).--mario SCOLAS 5 mai 2006 à 18:53 (CEST)Répondre

De la succession modifier

  • La succession au début de l’Islam ;
  • Les droits attachés à la succession;
  • Les causes de la successibilité,
  • Les héritiers à asaba parmi les descendants,
  • Les héritiers à asaba parmi les frères,
  • Les parts successorales,
  • Les parts dévolues aux descendants,
  • La part dévolue au père,
  • La part dévolue à la mère,
  • La part dévolue à la fille,
  • La part dévolue à l’époux,
  • La part dévolue à l’épouse,
  • La part dévolue à la sœur,

On peut élargir le thème droit successoral dans le monde musulman modifier

Pour mieux situer in situ..sur la question...--mario SCOLAS 5 mai 2006 à 19:16 (CEST)

  • A l'époque préislamique, l'homme pouvait épouser la veuve de son frère par droit de succession et les héritiers universels du mari défunt avaient le droit de la marier à l'un d'entre eux ou à n'importe quelle personne de leur choix.
  • La veuve est séparée des siens de peur qu'elle emporte avec elle une partie du bien de son époux qui est naturellement amputée sur l’ensemble de la fortune de la famille.[1]

sources modifier

« Aux hommes revient une part de ce qu’ont laissé les père et mère ainsi que les proches; et aux femmes une part de ce qu’ont laissé les père et mère ainsi que les proches, que ce soit peu ou beaucoup : une part fixée. » [Sourate An-Nisa : 7]

« Voici ce qu’Allah vous enjoint au sujet de vos enfants : au fils, une part équivalente à celle de deux filles. Sil n’y a que des filles, même plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s’il n’y en a qu’une, à elle alors la moitié » [Sourate An-Nisa : 11]

Cf Discussion:Droit successoral de la femme dans le monde musulman/Suppression modifier

L'article ci-dessus n'a pas été supprimé mais a été, depuis, transformé en redirection vers celui-ci. Après vérification des pages liées, il n'y a aucun article liant vers lui et il est fort peu probable qu'une recherche soit formulée ainsi par un visiteur, j'ai donc décidé de le supprimer. La page de suppression le concernant est celle indiquée en titre. Cordialement Treehill Opérateur - Présentation - PdD 11 septembre 2014 à 04:37 (CEST)Répondre

Additions modifier

Bonjour,

Je ne veux pas me lancer dans les mathématiques, mais vous êtes sûr de l'authenticité ? Si on a que des filles, c'est 2/3, et 1/6 pour chacun des parents, à savoir 1/3 pour deux parents. Ce qui fait donc 1 (un). Mais il reste la part de l'épou(x)se à 1/4 ou 1/8 selon les cas ? Je suis nul en maths ou ça fait plus que 100% ? Tpe.g5.stan (discuter) 30 décembre 2015 à 16:34 (CET)Tpe.g5.stanRépondre

Réponse à ta question de 2015:

  • Mari : 1/4
  • Mère : 1/6
  • Père : 1/6
  • Filles : 2/3

Dénominateur commun est : 12 donc:

  • Mari : 3/12
  • Mère : 2/12
  • Père : 2/12
  • Filles : 8/12

Le total est 15, donc il faut une correction:

  • Mari : 3/15
  • Mère : 2/15
  • Père : 2/15
  • Filles : 8/15

Voila !

Article malhonnete modifier

L'article, à la fin (quand il essaye de dire que les femmes ne sont pas lésées) reprend le discours des livres d'apologétiques; en jouant sur les mots. Ce qui n'a clairement pas sa place sur wikipedia

Dire qu'il y a X cas où la femme touche autant ou plus que l'homme est faux, vue qu'il est précisé que dans ces cas elles ont une plus grand proximité avec le defunt. Donc c'est idot (il est normal qu'un enfant touche plus qu'un oncle/tante), et surtout cela trompe le lecteur qui en ne faisant pas attention au détail "plus grande proximité" pense que dans une majorité de cas la femme n'est pas lésée. Quand on parle de toucher autant, on implicite "a degrés égal". Dire que la fille du defunt touche autant que l'oncle ou autre collatéral plus éloigné n'est clairement pas un signe de privilège féminin

Il n'existe qu'un seul cas où homme et femme touche pareil :

Et si un homme, ou une femme, meurt sans héritier direct, cependant qu'il laisse un frère ou une sœur, à chacun de ceux-ci alors, un sixième.

Dès qu'il sont plus de deux personne, le découpe 1/2 femme/homme rentre à nouveau en application.

Pire encore dans la configuration avec 5 filles du defunt et un frère du défunt; ce dernier... bien que plus éloigné dans l'ordre de succession (vue qu'ils n'arrivent qu'après la part reservataire) touchera plus que chacune des filles, selon la règle du 2/3 (/5) des filles, 1/3 restant qui ira au frère. En terme de pourcentage, on est sur 13,3% / fille et 33,3% pour le frère.

Enfin, il y a une tromperie dans l'article, voulant restreindre l'asymetrie homme femme a ce seul cas d'héritage (et encore, en minimisant la situation comme vue ci-dessus) :

Seulement, la plupart de ceux qui soulèvent la question de la différence successorale entre les deux sexes ignorent que ce verset parle d’un cas unique n’impliquant aucune conséquence sur la capacité de la femme en tant qu’être humain jouissant d’un statut juridique tout à fait honorable. En effet, si dans un seul cas l’on attribue à la femme la moitié de ce qu’on attribue à l’homme, on est loin d’une règle générale traitant les droits successoraux de la femme de manière constante et immuable.

Dans le témoignage juridique on retrouve la même asymetrie : 2 témoins femme contre 1 témoins homme :

2 : 282 - Ô les croyants! Quand vous contractez une dette à échéance déterminée, mettez-la en écrit; et qu'un scribe l'écrive, entre vous, en toute justice; un scribe n'a pas à refuser d'écrire selon ce que Dieu lui a enseigné; qu'il écrive donc, et que dicte le débiteur: qu'il craigne Dieu son Seigneur, et se garde d'en rien diminuer. Si le débiteur est gaspilleur ou faible, ou incapable de dicter lui-même, que son représentant dicte alors en toute justice. Faites-en témoigner par deux témoins d'entre vos hommes; et à défaut de deux hommes, un homme et deux femmes d'entre ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l'une d'elles s'égare, l'autre puisse lui rappeler. (...)

Confirmé par les hadith :

(Bukhari 2658) Le Prophète a dit : “Le témoignage d’une femme n’est-il pas égal à la moitié de celui d’un homme?” Les femmes répondirent : “Oui.” Il a dit : “C’est en raison de la déficience intellectuelle de la femme.”

(Muslim 241) Il a été rapporté par Abdullah bin ‘Umar que le Messager d’Allah a dit : “Ô femmes, donnez avec charité et priez beaucoup pour obtenir le pardon, car j’ai vu que vous êtes la majorité des gens du Feu”. Une femme sage parmi eux répondit : “Pourquoi, ô Messager d’Allah, sommes-nous la majorité des gens du Feu?” Il dit : ‹”Vous maudissez beaucoup et vous êtes ingrats envers vos maris›. Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi déficient en intellect et en religion, et de plus accablant pour un homme de sagesse et de raison que vous.” Elle répondit : “Ô Messager d’Allah, que signifient le manque d’intelligence et de religion?” Il a dit : “Quant au manque d’intellect, le témoignage de deux femmes est équivalent à celui d’un seul homme – c’est une déficience intellectuelle. Et une femme ne pratique pas le Sâlat pendant plusieurs jours, et elle ne jeûne pas pendant ses menstruations au Ramadan – c’est un manque de religion.” Chernobog1 (discuter) 2 décembre 2023 à 04:53 (CET)Répondre

Je préconise le retrait du paragraphe essayant de faire croire que l'asymetrie ne concernerait que l'heritage (sur certaines configurations), vue qu'il est actuellement faux.
Ainsi que le retrait des deux lignes suivantes :
  1. Dans plus de 8 cas, la femme hérite la même part que l’homme -en général, quand son lien de parenté avec le défunt est plus proche que celui d'un homme.
  2. Dans plus de 10 cas, la femme hérite plus que l’homme ; quand le lien de parenté de la femme est plus proche du défunt que celui de l'homme.
en précisant qu'il n'existe qu'un seul cas de véritable symétrie :
Et si un homme, ou une femme, meurt sans héritier direct, cependant qu'il laisse un frère ou une sœur, à chacun de ceux-ci alors, un sixième.
Et que dans le cas où le défunt laisse plus de deux filles (sans aucun garçon) et un frère; alors le frère, bien que plus éloigné dans la succession touchera une part plus grande a titre individuel.
Il faut faire attention avec les apologétistes qui essayent de masquer la réalité des faits. Chernobog1 (discuter) 2 décembre 2023 à 05:00 (CET)Répondre
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