Discussion:Carlisme (Espagne)/archives1

Dernier commentaire : il y a 2 mois par CaféBuzz dans le sujet Avis
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Avis modifier

Le carlisme était un courant conservateur, attaché la défense de la religion catholique et au maintien des prérogatives royales. Il s'oppose à l'isabellisme, plus libéral. Cette phrase n'est pas vrai, ausi que pas néutralle. Elle ne respond qu'aux interés espagnols de ridiculiser les droits de Catalogne et de cacher que la constitution espangole ne respecte pas les droits des Constitutions catalanes--Friviere 2 décembre 2005 à 22:41 (CET)

Il manque une bonne WP:SOURCE pour étayer votre affirmation. Et cela ne s'applique plus à la version actuelle (et probablement depuis longtemps). CaféBuzz (d) 9 mars 2024 à 13:35 (CET)

Points à compléter modifier

J'ai fait un peu de mise en forme, mais il faudrait que quelqu'un connaissant le sujet ajoute un paragraphe sur l'exclusion d'Alphonse XIII et de sa descendance de la succession carliste, bien qu'il soit devenu en 1936 l'aîné des Bourbons.

Un petit laïus sur les dissensions au sein des Bourbons-Parme serait également le bienvenu. Edeluce 19 juin 2006 à 12:31 (CEST)

En relisant cet article, je me suis rendu compte d'une chose : il y a une confusion dans la rédaction entre la liste des prétentants carlistes et celle des légitimistes français (les "blancs d'Espagne").

Ensuite l'ajout d'une référence à Montejurra ne me semble pas inutile.

Il se trouve que je connais assez bien le carlisme sur lequel je possède un petit fond de bibliothèque d'ouvrages espagnols (il n'en existe pas en français). Dirais-je qu'il mérite mieux que cette entrée... Il faudrait surtout accentuer le fait qu'il fut une opposition à Franco dès le lendemain de la guerre civile.

On trouve quelques informations intéressantes en français dans Jean Chalvidant, L'Espagne e Franco à Zapaterao, Atlantica, 2006. Steppen

Non, il n'y a pas de confusion dans la rédaction entre la liste des prétendants carlistes espagnols et celle des prétendants légitimistes français. Il se trouve simplement que ces deux courants politiques avaient de 1887 à 1936 les mêmes prétendants, et qu'à partir de 1936, si la majorité des carlistes espagnols suivirent François Xavier de Bourbon, nommé « régent » du carlisme espagnol par le vieil Alphonse Charles de Bourbon, d'autres carlistes espagnols ont suivi la logique généalogique salique et se sont rangés derrière l'ex-roi Alphonse XIII d'Espagne, suivant en cela les légitimistes français. Puis après la mort d'Alphonse XIII, ces carlistes-là se sont divisés entre partisans de l'aîné, Jacques de Bourbon, « duc de Ségovie », et partisans du cadet, Jean de Bourbon, « comte de Barcelone ». Jacques (devenu Jacques Henri) de Bourbon, fut même proclamé « roi Jacques IV d'Espagne » par certains carlistes espagnols à Montejurra en 1960 (voir http://de.wikipedia.org/wiki/Carlismus#Weitere_Pr.C3.A4tendenten). Les carlistes espagnols étaient assez divisés après 1936, ce qui était logique puisque François Xavier de Bourbon n'était, sur le plan salique, qu'un lointain cousin d'Alphonse Charles de Bourbon, et sa tentative de s'imposer comme prétendant à partir des années 50 rencontra évidemment des résistances de la part des carlistes espagnols attachés au respect de l'aînesse dynastique, qui s'incarnait dans la personne du « duc d'Anjou et de Ségovie ». Ce dernier renonça à ses droits espagnols en faveur de son neveu Juan Carlos en 1969, ce qui n'empêche pas son petit-fils Louis de Bourbon, l'actuel « duc d'Anjou », d'avoir encore des partisans carlistes espagnols. De son côté François Xavier de Bourbon, puis ses deux fils Charles Hugues et Sixte Henri conservèrent eux aussi des partisans en Espagne. -- Perfidia 30 juillet 2006 à 02:55 (CEST)
Enfin une explication claire...Si je comprend bien...après Alphonse Charles, ça devient un peu n'importe quoi...parceque si après ils se mettent à choisir un nouveau Roi qui ne suit même pas la règle de progéniture alors qu'il s'agissait de la raison principale des guerres carlistes...Bill123456 (d) 7 octobre 2012 à 18:24 (CEST)

Si on se réfère à des ouvrages universitaires Jean Chalvidant, L'Espagne e Franco à Zapaterao, Atlantica, 2006 ou Joseph Zabalo, Le Carlisme, J et D, 1993 (je peux citer d'autres références, j'ai une vingtaine de livres sur le sujet dans ma bibliothèque, on considère comme carlisme stricto sensu les partisants de Charles VIII à Charles Hugues I au nom desquels s'est effectuée toute l'action politique carlistes de ces 70 dernières années. Pour Chalvidant et Zabalo, les autres "prétendants" n'ont été que des manoeuvres franquistes pour tenter de liquider un courant politique oppositionnel (comme le fut l'exil de son principal chef Fal Conde). Je ne dis pas qu'il ne faut pas les intégrer dans cette notice, mais on ne peuxpas le faire en les mettant sur le même plan que les autres, et il faut mentionner alors leur instrumentalisation politique.--Steppen 29 décembre 2006 à 09:22 (CET)

Je fais quelques corrections de style.

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