Discussion:Bataillon supplétif tonkinois/LSV 23132

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Archivage de la discussion modifier

Cette page contient l'archivage de la discussion d'une proposition d'anecdote.

Unité militaire pour le contrôle colonial des militaires modifier

13 avril 2024 à 23:45:20 : il est maintenant possible de clore la proposition. En analysant 3 avis modélisés, le bot a estimé une décision de probable acceptation, sous réserve d'un sourçage certifié (66.67%). Pour notifier les participants : {{Notif|Le Petit Chat|Loxyger|Bertrouf}}

  Proposition validée. L’anecdote qui suit, proposée par Le Petit Chat le 2024-03-10 08:40:00, a été certifiée par Fanfwah au niveau d'un passage appuyé par une référence et validée par Fanfwah. Elle va être déplacée sur la page de préparation des publications, pour être ensuite insérée automatiquement sur la page d’accueil après un passage dans l’antichambre Seconde Guerre mondiale :

Formulation initiale de la proposition (pour information) : Le bataillon supplétif tonkinois est une unité militaire qui, bien qu'équipée d'automitrailleuses, avait été créée avant tout pour encadrer les anciens policiers vietnamiens de la concession française de Shanghai et n'avait qu'une valeur militaire limitée.


Proposant : Le Petit Chat (discuter) 10 mars 2024 à 08:40 (CET)Répondre

Discussion :

  • On trouve d'autres unités militaires qui ont avant tout pour but de « contrôler » leurs soldats (bataillons disciplinaires, etc.) mais celle-ci est particulière par son contexte colonial. -- Le Petit Chat (discuter) 10 mars 2024 à 08:40 (CET)Répondre
  • Je n'avais pas vu cette proposition.  , rien ne vaut une automitrailleuse pour encadrer des policiers. Loxyger (discuter) 18 mars 2024 à 09:39 (CET)Répondre
  •   Je ne suis pas certain d'avoir compris le sens du mot "encadrer" dans ce contexte. L'article semble dire que les anciens policiers ont été affectés dans ce bataillon pour ne pas les lâcher dans la nature, mais la formulation semble au contraire dire que ce bataillon devait surveiller des policiers. Deux histoires différentes et je n'ai pas le temps de me plonger dans les sources pour confirmer la bonne. Bertrouf 4 avril 2024 à 10:31 (CEST)Répondre
      Bertrouf : dans une des sources (J. Sicard, L'Armée française en Chine, 1900-1946), il est expliqué que c'est pour ne pas les lâcher dans la nature (« pour éviter que les éléments indochinois de l'ex-police ne soient abandonnés à eux-mêmes en territoire étranger »). L'autre source (N. Bensacq-Tixier, La France en Chine) explique cela par la nécessité d'assurer la subsistance mais aussi de les contrôler :

    « Il faudra assurer aussi la subsistance des neuf cent soixante-huit Tonkinois employés dans la police, et prendre en charge leur rapatriement. La seule solution est de les rattacher au Corps d’Occupation de Chine (COC), ce qui permettra de les maintenir sous influence française [c'est moi qui souligne], et d’augmenter ainsi les effectifs du COC, mesure tout à fait utile en cas de troubles. »

    Je trouve que le terme "encadrer" rend bien l’ambiguïté : encadrer au sens de donner un cadre à des hommes qu'on ne souhaite pas abandonner et au sens de maintenir sous contrôle. Le Petit Chat (discuter) 4 avril 2024 à 11:15 (CEST)Répondre
    Oui, mais ce ne sont pas des policiers encadrés par des hommes armés d'automitrailleuses. La lecture que semble en faire Loxyfer ci-dessus montre que l'ambiguïté est trop grande, il faut être plus explicite. Si on ne lit pas l'article, on se trompe. À reformuler donc, stp. Bertrouf 4 avril 2024 à 11:42 (CEST)Répondre
      Bertrouf :
    Proposition en utilisant « garder sous contrôle », avec les limites de ce terme :
    1.   Les militaires du bataillon supplétif tonkinois étaient d'anciens policiers vietnamiens de la concession française de Shanghai que les autorités françaises voulaient garder son contrôle. Bien qu'équipée d'automitrailleuses, leur unité n'avait qu'une valeur militaire limitée.
    2.   Bien qu'équipé d'automitrailleuses, le bataillon supplétif tonkinois était constitué d'anciens policiers vietnamiens de la concession française de Shanghai que les autorités voulaient garder sous contrôle et n'avait qu'une valeur militaire limitée.
    3.   Le bataillon supplétif tonkinois est une unité militaire qui, bien qu'équipée d'automitrailleuses, avait été créée avant tout pour garder le contrôle de ses militaires, d'anciens policiers vietnamiens de la concession française de Shanghai, et n'avait qu'une valeur militaire limitée.
    On pourrait aussi
    a. supprimer la mention des automitrailleuses qui peut porter à confusion
    b. remplacer « garder le contrôle » par « ne pas abandonner ».
    -- Le Petit Chat (discuter) 4 avril 2024 à 18:27 (CEST)Répondre
    La 3 est la plus précise. Merci. Bertrouf 5 avril 2024 à 11:36 (CEST)Répondre
     . Merci. Le Petit Chat (discuter) 5 avril 2024 à 13:17 (CEST)Répondre


  Le Petit Chat : la clôture de ta proposition sera traitée en principe le 14 avril à 13h00. GhosterBot (10100111001) 13 avril 2024 à 23:15 (CEST)Répondre


Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot (10100111001) 14 avril 2024 à 13:02 (CEST) Répondre

  Le Petit Chat :   ton anecdote proposée le 2024-03-10 08:40:00 et acceptée le 2024-04-13 23:15:27 a été traitée par le bot. GhosterBot (10100111001) 14 avril 2024 à 13:02 (CEST)Répondre

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