Discussion:Autogire

Dernier commentaire : il y a 1 an par 90.37.149.106 dans le sujet Motorisation
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C'est moà qui est créé le lien autogyre depuis la page aerodyne... jetais certain de lecriture pour lavoir souvent tapé sur le site dun client dédié aux ULM...

Pourtant, maintenant, je doute...Mon Larousse de 1980 ne connais pô cette expression, il utilise le mot 'autogire'.

Za me surprend, car le nom de cette appareil s'inspire de l'expression 'gyroscopie'.... Alors que faire ? Quelqun peut verifier sur un dico plus récent ?!! :o|

Sur google, on trouve des sites de references avec les deux expressions. Mais si il fô choisir, voila le resultat de la googlefight: autogire (1190) vainqueur contre autogyre (480) :o. .oO(jaurais parié linverse)

Olie ze kat 5 aoû 2003 à 15:12 (CEST)

'jour kat,
Le TLFI dit comme ton Larousse, autogire, mais il mentionne autogyre comme variation. Pourquoi pas le y, parce que le mot est d'origine espagnole, et que l'ortographe en espagnol est plus simplifié/moins conservatrice qu'en français. À part çà (dixit toujours le TLFI), ça vient bien du grec guros (γυρος), le "gyre" habituel en français. Autogyre serait une forme où la francisation est poussée plus loin.
Didup 5 aoû 2003 à 15:43 (CEST)
Maintenant quon sait que les deux sont valables, il serait bon de faire la page autogIre aussi...mais laquelle serait la redirection ? autogyre ou autogire ?
En gros, on suit la voix populaire (dixit googlefight), historique (origine espagnole), et académique (Larousse) en choisissant autogire comme référence, ou la voix de la logique cartésienne et scientifique pour l'autogyre !!! :o|
ou alors, la voix du faignant...plus simple de créer autogire avec une redirection plutôt que de transférér les textes et discussions :op
Olie ze kat 5 aoû 2003 à 16:04 (CEST)
Effectivement, autogire devrait s'écrire avec un "Y" en Français, sauf que le mot est d'origine espanole (autogiro) puisque l'inventeur aussi: Juan De La Cierva.
Dans le milieu aéro nous avons pris l'habitude de conserver le "i", quoique certains lui préfèrent le "y". En fait, c'est comme vous voulez !
Moi je lui préfèrerais l'appellation de gyrocoptère, traduction de l'américain "gyrocopter": autogire propulsif réinventé dans les années 50 par Igor Bensen.
En effet, l'autogire originel était tractif comme un avion.
Mais c'est un avis personnel...
De toutes façon, pour mon site internet j'ai pris les 2 noms de domaine: autogire.com et autogyre.com. Vous pouvez toujours y faire un tour...cela vous éviterais de vous prendre la tete pour un petit problème d'orthographe ;-)
Hervé TERRASSON
Instructeur d'autogire ou autogyre, comme vous le désirez...
— Le message qui précède, non daté, a été déposé le 18 août 2003 à 16:16‎.

Cher M. Terrasson

Gyrocoptère est un faux dérivé d'hélicoptère. Prenons diptère = à 2 ailes. Aile = ptère (en grec). Puis hymen(o)ptère: on voit que le 'o' n'est qu'une liaison phonétique entre la dernière lettre du premier membre (hymen....) et la première du second (....ptère) du fait qu'il y a succession inprononçable de trois consonnes. Idem pour hélicoptère, dont la césure n'est d'alleurs pas hélicop-tère, mais hélico-ptère. Les non-initiés (et les Américains) croient en effet qu'il existe une sorte de désignation générique pour un aéronef du genre soucoupe volante ou compact comme un hélico, soit le terme anglais 'copter' (comme par ex. cet hélico-jouet nommé SUPER-COPTER), d'où la formation de gyro/coptère, c.-à-d. un coptère avec une voilure giratoire. L'expression correcte est donc 'gyroptère'.

Petite mise en garde: ne pas confondre le giroflier (qui produit les clous de girofle) avec le gyroflyer (qui pourrait être un autre nom pour autogyre/autogire)...

Et le protoptère alors? Mais voyons, c'est l'oiseau à une aile qui a précédé celui à deux...

Oscar FLEURY, inventeur du rotoptère (ça, c'est encore tout autre chose!)

28 septembre 2005

ATTENTION.
Il y a de grosses erreurs sur les capacités dites des autogires. Il ne peut en rien monter " quasiment à la verticale" et le prélanceur ne permet pas de décoller verticalment, mais uniquement de limiter considérablement la vitesse de décollage. L'autogire n'a en effet aucun moyen de rester stable en suspension. Il permet par contre le vol stationnaire, mais à l'inconvénient sur l'hélicoptère de perdre alors ne altitude s'il reste sur place, se qui lui donne alors sa stabilité. A corriger.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 86.197.227.227 (discuter), le 18 février 2008 à 22:58‎
Si je puis écrire quelque chose de mes travaux !Précurseur de l’autogire : en France en 1917 LE GYROPTÈRE CHAUVIÊRE (brevet et page 244 du livre "TOUTE L'AVIATION - Collection Scientifique Moderne (1930 - 1931) par Edmond BLANC - Ingénieur des Arts et Manufactures - Capitaine aviateur - Ingénieur des constructions Aéronautiques - LE VENT; L'OISEAU; L'HOMME; L'AVIATION) Le mot autogire a été inventé en 1923 par un ingénieur espagnol, Juan de la Cierva. Ses trois premiers appareils manquaient de stabilité. Ils s’inclinaient trop au décollage et cassaient leur pales. Sa quatrième conception, l'autogire C-19, était un autogire plus perfectionné. Montré en Angleterre en 1925 à un groupe d'officiers, il impressionna par son comportement et sa maniabilité.Pistons-Libres (d) 18 janvier 2013 à 14:10 (CET)Répondre

Précession ? modifier

Bonjour. La précession fait basculer les rotors d'un quart de tour en retard, pas comme à l’arrêt. Faut-il corriger l'article, svp ? domsau2 (discuter) 11 février 2015 à 05:01 (CET)Répondre

J'allais le dire ! Sur les hélicoptères justement, les actionneurs de plateau cyclique sont décalés de 90° par rapport à l'axe qu'ils contrôlent réellement. Ça m'a un peu choqué de lire ces erreurs sur l'article...--Friday83260 (Wanna talk ??) 29 décembre 2017 à 19:10 (CET)Répondre
  domsau2 et Friday83260 : c'est vrai, mais en quoi l'article comporterait-il des erreurs ? Peux-tu citer le passage concerné ? Je ne vois nulle part où on parle de ces actionneurs— Df (discuter) 31 décembre 2017 à 23:25 (CET)Répondre
  df : Dans le passage « En vol, pour monter, on bascule la tête du rotor vers l’arrière ; le phénomène de précession gyroscopique abaisse l’arrière du rotor et augmente ainsi son angle d’incidence. Une autre solution consiste à augmenter la vitesse de rotation du rotor à incidence constante. Inversement, pour descendre, on bascule la tête du rotor vers l’avant. Le même phénomène de précession gyroscopique monte l’arrière du rotor, son angle d’incidence baisse tout en restant positif. », du paragraphe Manœuvrabilité. Tel que c'est écrit, on pourrait penser que le rotor doit être poussé par l'arrière pour être abaissé vers l'avant. Pour les actionneurs, effectivement il n'y en a que sur les hélicos (et c'est d'ailleurs l'intérêt de l'autogire, il est moins complexe et moins cher). Je parlais de ça juste pour dire que les actions sur le disque d'un rotor ont toujours un effet qui arrive avec 90 degrés de retard par rapport à leur point d'application  .--Friday83260 (Wanna talk ??) 1 janvier 2018 à 00:16 (CET)Répondre

Motorisation modifier

Le paragraphe concernant la motorisation me parait hors sujet, car les informations qu'il contient n'est pas propre aux autogires et concerne tous les moteurs d'avions. 90.37.149.106 (discuter) 10 août 2022 à 09:30 (CEST)Répondre

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