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Danielle Petit

peintre française d'art naïf

Danielle Petit, née Renée Contini le à Morhange (Moselle) et morte le à Chaumont (Haute-Marne) est une peintre d’art naïf.

Danielle Petit
Dessin représentant Danielle Petit.
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 72 ans)
ChaumontVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Renée ContiniVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
signature de Danielle Petit
Signature

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Elle peint à Chaumont, expose à Paris, en province et à l’étranger (Rio de Janeiro, Londres[1], Tokyo, Bruxelles, Amsterdam, Morges, Baden-Baden[2]).

Nombre de ses œuvres sont reproduites dans les ouvrages consacrés à l'art naïf et font partie des collections de musées français.

Biographie modifier

Ses parents sont originaires de Torcenay[3],[4], elle passe son enfance à Morhange et en Allemagne où son père est en garnison, puis vient habiter Chaumont en 1929 où elle fréquente l’école publique jusqu’à l’âge de 14 ans, puis le pensionnat privé à Langres jusqu’à 18 ans[1].

Elle apprend la sténodactylographie avant d’être secrétaire pendant la Seconde Guerre mondiale à la préfecture de Haute-Marne. Arrêtée par les Allemands sous l'Occupation[5] pour falsification de pièces d’identité, elle contracte la tuberculose[5] à la suite de mauvaises conditions d'internement ce qui la contraint à plusieurs cures en sanatorium après sa libération.

Elle épouse Robert Petit, instituteur et professeur d’État de karaté en 1950[1]. Elle travaille de 1952 à 1963 comme secrétaire au Génie militaire de Chaumont. Répondant à une note invitant le personnel à participer au Salon de l’armée au Ministère à Paris, elle réalise en 1956[6] sa première œuvre (gouache) La Bataille de Fontenoy qui lui vaut le premier prix.

En 1968, après une nouvelle rechute de tuberculose et un nouveau séjour en sanatorium, elle obtient une pension pour invalidité à titre définitif.

Fragilisée par sa maladie, elle ne quitte guère sa maison et se consacre entièrement à sa peinture à Chaumont où elle vit avec son mari et ses chiens en 1967[7] jusqu'à sa mort en décembre 1997[1]. Sa dernière œuvre est Le Cirque de Moscou qu'elle mettra plusieurs mois à terminer avant qu'elle soit livrée au Musée Jakovsky.

En son honneur, la ville de Chaumont baptise l'une de ses rues (quartier dédié aux peintres) la rue Danielle Petit-Contini.

Parcours modifier

C'est une autodidacte comme tous les naïfs. Bien que reçue à l’École des Beaux-Arts[Laquelle ?] à l'âge de 16 ans, elle s'en voit interdire les portes par son père qui juge cela peu convenable pour une jeune fille[4]. Elle continue à dessiner et à peindre seule, à sa manière, là où sa fantaisie et ses rêves la conduisent.

En 1967, encouragée par le critique d'art André Cœuroy, elle se lance dans une première exposition dans les salons de la mairie de Chaumont[3],[4].

Rencontre avec la Galerie Séraphine modifier

Elle peint à l'instinct, ignorant encore que ses œuvres sont assimilables à l'art naïf[3],[1].

En mars 1969 une amie parisienne guide la provinciale devant la Galerie Séraphine, galerie d'arts de tradition populaire à Paris. Elle se sent attirée par les œuvres de l'artiste présenté et, se sentant en terrain familier, s'enhardit à ouvrir ses cartons à dessin à la directrice de la galerie qui lui offre l'opportunité de participer, dès juin, à une exposition sur le thème du mariage[1] dont le catalogue est préfacé par Louise de Vilmorin[3],[1]. Le bouquet de la mariée est la première œuvre de Danielle Petit exposé à Paris, à la Galerie Séraphine.

Danielle Petit signe un contrat d'exclusivité avec la Galerie Séraphine[3]: elle y exposera en compagnie d'autres peintres naïfs[8] et fera l'objet d'une exposition dédiée en mai 1970, et une autre en 1974.

La Galerie Séraphine, au 22 rue de l'Odéon (galerie aujourd'hui disparue) est dirigée par Marie Cuttoli[1], créatrice et mécène de la tapisserie moderne en France qui a remis au goût du jour cet art en faisant réaliser des cartons aux plus prestigieux artistes de son époque (Picasso, Rouault, Derain, Dufy, Léger, Mirò, Man Ray)[1]. Elle possède un solide carnet d'adresses dans le monde des arts en Europe et outre Atlantique ce qui va permettre à Marie Cuttoli d'inviter Danielle Petit à participer à de nombreuses expositions en France comme à l'international.

À partir de 1970 lui seront consacrés des articles dans des revues d'art: Jardin des arts[9],[10], L'Œil[11],[12], Plaisir de France[13], L’officiel de la Mode de Paris[5] Art Look[14], et des revues comme Racing[15], La Lorraine populaire[16], Le Californien de San Francisco[17] et Cosmopolitan[18].

Œuvre modifier

Un support unique : du papier cartonné pour des formats modestes (30 x 40)[8], suffisamment petits pour être exécutés sur un pupitre sur sa table de cuisine[5]. De la gouache[8] avec une technique personnelle: elle mélange la gouache pure à de l'albumine, ce qui donne une matière épaisse et brillante à la fois[3]. Elle aime les rouges éclatants, les bleus profonds et les jaune d'or puissants: pour les obtenir elle procède par superposition de couleurs de la même gamme jusqu'à ce que ces couleurs « jaillissent de leur environnement, même pour le plus petit des détails »[3].

La minutie qui caractérise sa peinture exige l'usage d'une loupe[16], elle travaille jusqu'à 15 heures par jour et parfois plusieurs mois sur chacune de ses œuvres[1], pour produire naturellement assez peu. 178 œuvres ont été répertoriées à ce jour.

Pas d'esquisse, ni de dessin préalable: elle commence par remplir l'arrière plan avec un paysage qu'elle commence par le haut pour le finir en bas[5]. Elle construit son décor autour du thème choisi[9].

Elle aime décrire avec minutie et poésie, dans une ambiance très colorée à la manière des enluminures du Moyen Âge[8], des scènes de la vie à la campagne et les fêtes populaires. Les ciels sont majoritairement lumineux, les prairies fourmillent d'espèces arbustives, de fleurs, et d'animaux terrestres ou volants. Elle interprète librement ses sujets et peut mêler poésie et imaginaire à des éléments architecturaux, des personnages et des faits historiques bien réels.

Thèmes modifier

«Je peins ce que j’aime, ce qui me rend heureuse. Des paysages et la vie des gens heureux, des petites maisons gaies qui ont une âme, les saisons. Les maisons ouvertes, qui ressemblent aux maisons de poupée de mon enfance, avec des gens dans leur contexte intérieur et la nature autour. Des sujets plus mystiques, inspiré de la Bible et de l'Orient, le jour, la nuit, la féerie, une légende, une histoire… Je préfère peindre des pays où il fait bon vivre, des pays de bonheur, de bonté. Pas le monde tel qu’il est, mais comme j’aimerais qu’il soit. Est-ce là ce que recherchent, comprennent et aiment les amateurs de peinture naïve? La joie simple de nos paradis terrestres.» Danielle Petit[3].

Les maisons ouvertes, comme Le Noël des poupées ou encore Les Arts martiaux qui lui permettent de proposer plusieurs scènes principales dans le même tableau[1],[19].

Les fêtes populaires, comme Le grand pardon des filles de joie de Sainte-Marie-Madeleine du Bassigny[20], Carnaval à Venise[19], ou religieuses comme La première communion[20].

La vie à la campagne, comme L'heure des vêpres[21], Les Nailles (fête de la moisson au Musée Van Gogh), des paysages empreints de «nostalgie bucolique» comme J'irai au paradis avec mes chiens[22],[23], des arbres[23] et des bouquets comme Le bouquet de la mariée[1] et des jardins merveilleux Le jardin des bonheurs, La Chapelle aux Tournesols[24].

Le rêve, comme Belle nuit, douce nuit[25], des scènes mystiques ou mythiques, comme Les jardins de Babylone, Les jardins de Mélusine, L'Atlantide[24] Le pèlerinage des maris trompés à Saint-Gengoulf[1].

Des descriptions de lieux ou des scènes historiques : Langres (Si Langres m'était conté), la Mecque, Colombey-les-Deux Églises[1].

Expositions modifier

  • 1967 : Danielle Petit-Contini et ses miniatures. Mairie de Chaumont[1],[6].
  • 1970 : 1er prix du Conseil Général de la Haute-Marne[6].
  • 1970 : Galerie Séraphine. Paris, exposition personnelle catalogue préfacé par Raymond Cogniat[26],[27].
  • 1970 : Exposition d'Art Figuratif International. Tokyo (Japon)[2],[28].
  • 1972 : Exposition de prestige à la Galerie R.G. à la Suite du 1er prix de la peinture à l'eau à Paris en 1971[6] pour ses œuvres L'arbre de joie et Le Toine est mort[29],[2].
  • 1972 : Galerie Isy Brachot. Bruxelles[2],[28]
  • 1974 : Galerie Séraphine. Exposition personnelle, catalogue préfacé par Colette Decluzeau.
  • 1975 : Galerie Séraphine: exposition Floralies. Le jardin des bonheurs, La Chapelle aux Tournesols, Les jardins de Babylone, Les jardins de Mélusine, L'Atlantide[24] y seront exposés.
  • 1974 : Le forum des Arts. Paris avec André Parineau[2].
  • 1975 : Salon mondial de la peinture naïve. Levallois-Perret sous la présidence de Max Pol Fauchet[2].
  • 1975 : Féérie de l'art naïf. Le Vésinet avec Max Pol Fauchet.
  • 1976 : Panorama de la peinture naïve en France. Tours[2].
  • 1977 : Naïfs Français. Amsterdam[2],[28].
  • 1978 : Salon de l'aquarelle et de la peinture à l'eau. Paris, Grand Palais[2].
  • 1978 : Exposition Internationale à la galerie Pro Arte. Morges (Suisse) sous la présidence d'Anatole Jakovsky[2], sélectionnée pour se confronter à plus de 70 représentants de cet art, parmi les plus reconnus de son époque[1].
  • 1980 : Les Naïfs rue de Nesle. Paris, sous la présidence du Prince Thibaut d'Orléans[2].
  • 1981 : Les Naïfs et la fête. Exposition organisée par la ville de Paris sous la présidence de Jacques Chirac, maire de Paris[2].
  • 1982 : L'Art naïf international contemporain. Paris, sous la présidence de Michel Droit de l'Académie Française[2].
  • 1982 : Primitifs du XXe siècle. Annecy, Atelier Roudnoff, sous la présidence de Marie-Kristine Hugonot.
  • 1982 : VIIIe Biennale Internationale. Mérignac.
  • 1982 : Académie du Vernet. Vichy, avec la participation du Musée d'art naïf d'Île-de-France.
  • 1983 : Exposition internationale d'Art naïf. Baden-Baden (Allemagne)[2].
  • 1985 : L'Art naïf international. Brive, catalogue préfacé par Max Fourny, 110 exposants de tous pays[30].
  • 1993 : Rétrospective Danielle Petit. Chaumont, Office de la culture[2].
  • 1989 : Exposition Internationale. Nice, musée Anatole Jakovsky à Nice sous la présidence de Mme Jakovsky[2].
  • 1993 : Les miniatures de Danielle Petit : 60 œuvres originales. Chaumont[31].

Unicef modifier

Elle est sélectionnée deux fois pour illustrer la carte de vœux de l'Unicef, chaque tirage d'environ 5 millions d'exemplaires[4]. En 1971 : French village on snow, 1972 et en 1980 : Children's Christmas (1979) (titre original : Noël des enfants éblouis).

Musées modifier

Certaines de ses œuvres ont été sélectionnées ou offertes par des mécènes pour rejoindre diverses collections de musées.

Bibliographie modifier

  • Raymond Nacenta, Les naïfs[33], Nouvelles Editions Françaises, Encyclopédie des peintres naïfs, coll. Grands Peintres Modernes. 1973.
  • Anatole Jakovsky, Lexique des peintres naïfs du monde entier, Editions Basileus Presse- Bâle[34]. 1975.
  • Jean Cusenier, L'art populaire en France[35], Société Française du Livre, 323 p.. 1975. p. 110.
  • Anatole Jalovsky, Les proverbes et les naïfs[36], Editions Max Fourny, 1977.
  • Madeleine Gavelle, Les peintres naïfs illuminés de l'instinct, Editions Filipacchi, 70 p., Paris. 1977. Page 55[37].
  • Jean-Claude LAURET et Josip DEPOLO, La fête et les naïfs[20], Editions Max Fourny, Art et industrie, Vilo, 1979, 180 p. avec une représentation couleurs pleine page de La première communion (1979).
  • Marie Kristine Hugonot, La peinture naïve en France, un art vivant, Editions Sous le Vent de Paris[38].
  • Philippe Camby[39], Editions Max Fourny. 1983. 319 p., p. 56-57 avec une représentation couleurs pleine page de J'irai au paradis avec mes chiens (1983).
  • Robert Thilmany, Critériologie de l'Art Naïf, Vilo - Paris, Editions Max Fourny Art et industrie, 176 pages, 15 octobre 1984, Page 115[22] : reproduction couleurs pleine page de J'irai au paradis avec mes chiens (1983).
  • Marie Kristine Hugonot, Guide naïf des provinces de France[40], Editions Hervas, 1985, 160 p. (ISBN 2-903118-16-7).p. 109 et 156 avec une reproduction couleurs Le grand pardon des filles de joie à Ste Madeleine du Bassigny.
  • Jacques Brosse, L'arbre et les naïf, Arbre symbolique et peinture naïve[23], Max Fourny Art et industrie, 15 octobre 1990, 238 p..
  • Max Fourny, Album mondial de la peinture naïve, Paris, Editions Hervas, 1990, 207 p.[21]. Reproduction couleurs pleine page de L'heure des vêpres.
  • Hélène Renard, Le rêve et les Naïfs[25], Editions Max Fourny. 1983. Modèle:Nb p.332. Reproduction de Belle Nuit, Douce Nuit p. 41.
  • Bernard Masson, Peintres en Haute-Marne au XXe siècle[19], Langres, Editions Dominique Guéniot, décembre 1998, 156 p. (ISBN 2-87825-167-9). p. 74-75, reproduction couleurs pleine page de Carnaval à Venise (1970).
  • François Veillerette, Illustres chaumontais[6].
  • Raymond Cogniat, Danielle Petit, Le jardin des Arts, avril 1970, no 185. Page 79[9]
  • Raymond Nacenta, Danielle Petit, revue L'Œil[11] : mai 1974
  • Léone de Grandville, Danielle PETIT, revue Plaisir de France, mai 1974[13].
  • Jean-Paul Crespelle, Les naïfs explorateurs du merveilleux : Jacqueline Benoit et Danielle Petit, revue L’officiel de la Mode de Paris, juillet 1975[5].

Notes et références modifier

  1. ↑ a b c d e f g h i j k l m n o et p Patrick Gilbert, « L'œuvre de Danielle Petit : Sélectionnée pour la Grand Prix international de peinture naïve », Le Journal de la Haute-Marne,‎ , pleine page
  2. ↑ a b c d e f g h i j k l m n o et p Office de la Culture, mairie de Chaumont, Retrospective Danielle Petit (Catalogue d'exposition), Chaumont, Impression Gamonet, 28 p.
  3. ↑ a b c d e f g et h Interview de l'artiste pour la galerie Séraphine, Coll. Maurice Daumesnil.
  4. ↑ a b c et d Loïc Le Lagadec, « Danielle Petit a refermé définitivement sa boîte à couleurs », La Haute-Marne Dimanche,‎
  5. ↑ a b c d e et f Jean-Paul Crespelle, « Les naïfs explorateurs du merveilleux : Jacqueline Benoit et Danielle PETIT », L’officiel de la Mode de Paris,‎
  6. ↑ a b c d e f g h et i François Veillerette, Les illustres Chaumontais : des origines à nos jours, Saint-Dizier, F. Veillerette, , environ 300 p, p. 286 et 287
  7. ↑ Sophie Bethe, « Art lorrain à Paris », La revue lorraine populaire, n° 9,‎
  8. ↑ a b c et d Max-Pol Fouchet, Floralies chez Séraphine (catalogue d'exposition), Séraphine, galerie d'arts de tradition populaire, 24 p., p. 17
  9. ↑ a b et c Raymond Cogniat, « Danielle Petit », Le jardin des Arts n°185, page 79,‎
  10. ↑ « Inconnu », Jardin des arts,‎ , p. 31
  11. ↑ a et b Raymond Nacenta, « Danielle PETIT », l’Œil,‎
  12. ↑ inconnu, « Un trio de naïfs », L'Oeil,‎
  13. ↑ a et b Léone de Grandville, « Danielle PETIT », Plaisir de France,‎
  14. ↑ « inconnu » ("A painting should radiate , it should dazzle the viewer. My painting can be considered as being light - hearted and gay , although personally I am a tragic figure . Danielle Petit is now on show in Seraphine Gallery ."), Art look,‎ , p. 5
  15. ↑ Inconnu, « Danielle Petit, peintre naïf », Racing,‎
  16. ↑ a et b Sophie Berthe, « L'art lorrain à Paris avec Danielle Petit », La Lorraine populaire,‎ avril 1976, n°9
  17. ↑ Jacqueline Tesnière, « En passant par la Lorraine », Le Californien (San Francisco),‎
  18. ↑ Marie-Kristine Hugonot, « Les naïfsen Blanc, Bleu, Gai », Cosmopolitan,‎
  19. ↑ a b et c Bernard Masson, Peintres en Haute-Marne au XXe siècle par, Langres, Editions Dominique Guéniot, , 156 p. (ISBN 2-87825-167-9), p. 74 et 75
  20. ↑ a b et c Jean-Claude LAURET et Josip DEPOLO, "La fête et les naïfs". La grande famille des Naïfs au rendez-vous de la Fête, Editions Max Fourny, Art et industrie, Vilo, , 180 p.
  21. ↑ a et b Max Fourny, Album mondial de la peinture naïve, Paris, Editions Hervas, , 207 p.
  22. ↑ a et b Robert Thilmany, Critériologie de l' Art Naïf, Vilo - Paris, Editions Max Fourny Art et industrie, , 176 p., page 115
  23. ↑ a b et c Jacques Brosse, L'arbre et les naïfs Arbre symbolique et peinture naïve, Max Fourny Art et industrie, , 238 p.
  24. ↑ a b et c Bibliothèque nationale (France), Bibliographie de la France. 1ère partie, Bibliographie officielle : publications reçues par le Service du dépôt légal / notices établies par la Bibliothèque nationale, Paris, Bibliothèque nationale, , 1384 p., p. 1351 (dépôt catalogue 8 pages)
  25. ↑ a et b Hélène Renard, Le rêve et les naïfs, 1983, Editions Max Fourny, 332 p., p. 41
  26. ↑ Cercle de la librairie (France). Bibliothèque nationale (France), Bibliographie de la France : ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie, Paris, Pillet, , 2428 p., p. 848 (depôt catalogue exposition)
  27. ↑ Joel Derval, « A travers les galeries », Combat : organe du Mouvement de libération française,‎
  28. ↑ a b et c Samuel Mourin, « Un site internet pour ne pas oublier l'artiste chaumontaise Danielle Petit (1921-1997) », Les Cahiers Haut-marnais,‎ , p. 129 à 134
  29. ↑ « non connu », Revue moderne illustré des arts et la vie,‎
  30. ↑ Ville de Brive, - L'Art naïf international à Brive, catalogue préfacé par Max Fourny, 110 exposants de tous pays (Catalogue exposition), Brive, Edition G. Michel, 36 p., p.18
  31. ↑ Ville de Chaumont, Culture, EXPOS-CONCERTS 1993 (Catalogue des manifestations culturelles), Chaumont, Mairie de Chaumont, 20 p., p. 10 : Les miniatures de Danielle Petit : 60 oeuvres originales
  32. ↑ Inconnu, « Artiste peintre de renommée mondiale, Danielle Petit n'est plus. », L'Auxois, Le Chatillonnais,‎
  33. ↑ Raymond NACENTA, LES NAIFS, Nouvelles Editions Françaises, , 70 pages textes et 48 reproductions couleurs pleine page
  34. ↑ Anatole Jakovsky, Lexique des peintres naïfs du monde entier, Bâle, Editions Basileus Presse,
  35. ↑ Jean Cusenier, L'art populaire en France, Société Française du Livre, , 323 p., p. 110
  36. ↑ Anatole Jakovsky, Les proverbes et les naïfs, Editions Max Fourny,
  37. ↑ Madeleine Gavelle, Les peintres naïfs Illuminés de l'instinct, Paris, Editions Filipacchi, , 70 p., p. 55
  38. ↑ Marie Kristine Hugonot, La peinture naïve en France, un art vivant,, Editions Sous le Vent de Paris, , 143 p. (ISBN 9782858890262)
  39. ↑ Philippe Camby, "Le paradis et les naïfs", Editions Max Fourny, , 319 p., pages 56 et 57
  40. ↑ Marie Kristine Hugonot, Guide naïf des provinces de France, Editions Hervas, , 160 p. (ISBN 2-903118-16-7), p. 109 et 156

Liens externes modifier

Site présentant ses créations : https://danielle-petit.jimdofree.com/

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