Criquiers

commune française du département de la Seine-Maritime

Criquiers
Criquiers
La mairie.
Blason de Criquiers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
David Michel
2020-2026
Code postal 76390
Code commune 76199
Démographie
Gentilé Criquérois
Population
municipale
711 hab. (2021 en augmentation de 8,72 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 31″ nord, 1° 42′ 24″ est
Altitude Min. 164 m
Max. 245 m
Superficie 23,6 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Criquiers
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Criquiers
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Criquiers

Criquiers est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie modifier

Localisation modifier

Criquiers est un village-rue rural normand bâti le long de la RD 236 -Gaillefontaine - Poix-de-Picardie, située sur le plateau autrefois appelé « Montagne », à l'extrême est de la Seine-Maritime, en bordure du département de l'Oise.

La ligne de Saint-Roch à Darnétal-Bifurcation, qui assure les liaisons TER entre Amiens et Rouen, passe en limite sud du territoire, mais la gare la plus proche est la gare de Formerie.

Hameaux et écarts modifier

Criquiers possède deux hameaux importants : le Bois des Puits avec plus de 80 maisons et Les Anthieux avec environ 30 maisons.

On note également de nombreux lieux-dits : Pierrement, Hadancourt, le Vergenet, le Bout la Haut, le Paradis, les Fosses Catrèches, la Tête de Vache, le Calvaire, Huleux, le Moulin à Godet et le Nouveau Monde[1]....

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 894 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Criquiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,4 %), prairies (33,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), zones urbanisées (4,3 %), forêts (2,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 338, alors qu'il était de 339 en 2013 et de 324 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 81,3 % étaient des résidences principales, 10,1 % des résidences secondaires et 8,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Criquiers en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,1 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (83 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Criquiers en 2018.
Typologie Criquiers[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 81,3 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 10,1 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 8,6 8,1 8,2

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Criquehers (sans date)[15], Criquiers en 1337; Crequiers en 1401; 1431 (Longnon), 1433 et 1460; Ecclesia parrochia Beate Marie de Crequiers en 1495; Notre Dame de Criquiers en 1716[16]; Créquiers en 1648; Criquiers en 1704 (Pouillé); Créquier ou Criquier en 1715 (Frémont); Criquiers en 1757 (Cassini)[17].

Histoire modifier

Les plus anciennes preuves connues d'une présence humaine remontent à l'Antiquité. Ainsi, les traces d'une voie romaine ont été retrouvées à Criquiers. Certains historiens, tels que Jean Benoît Désiré Cochet, pensent que cette voie reliait Dieppe à Beauvais[18]. D'autres, comme N.-R. Potin de La Mairie, pensent qu'elle reliait Rouen à Amiens[19]. Ce qui est sûr, c'est que cette voie forme aujourd'hui la rue principale de Criquiers, auparavant appelée chaussée Brunehaut[18]. Des débris romains ont également été retrouvés à la section des Authieux, ainsi qu'au hameau du Bos-des-Puits[18].

Au Moyen Âge, l'ancien village de Criquiers est détruit, puis reconstruit afin de favoriser le repeuplement du secteur, au début du XIVe siècle par l'abbaye Saint-Laurent de Beaubec qui donne aux habitants des franchises. « Outre l’église, dont l’établissement est soumis à l’autorisation de l’ordinaire, les religieux feront faire à leurs frais une mare, un puits et un four. La charte règle de manière précise, voire tatillonne, la condition des tenanciers. Chacun se voit accorder en perpétuel héritage une « resséantise » – un terrain portant sa demeure – pour laquelle il est tenu de verser un chapon à Noël, et des terres, à raison de 10 sous l’acre. Les hommes pourront user de leurs tènements et resséantises à volonté ; les transmettre à leurs héritiers moyennant le versement d’un relief de 5 sous par resséantise, somme qui acquitterait une acre de terre, les terres de plein champ se relevant à raison de 12 deniers l’acre[20] ». Ce nouveau village prend un temps le nom de Neuville, mais l'ancien nom de Criquiers s'impose rapidement[19].

Par une charte datant de l'année 1314, Enguerrand de Marigny, chambellan et ministre de Philippe le Bel, donne à Criquiers « trois acres de terre pour établir un cimetière, une église et un presbytère »[19]. Le presbytère est fondé en 1326 par l'abbaye de Beaubec[19].

Avant la Révolution française, Criquiers était « une paroisse de l'archidiaconé d'Eu, du doyenné, de la vicomté et de l'élection de Neufchâtel[19] ».

Un grand fossé existait, à une époque inconnue, entre Criquiers et Formerie. Ce fossé était appelé le fossé Castresse, et avait également le nom plus ancien de fossa Castrensis[18].

Politique et administration modifier

 
La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Aumale[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Criquiers est désormais rattaché au canton de Gournay-en-Bray.

Intercommunalité modifier

Criquiers était membre de la petite communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du prescrivant, dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, l'intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle dont Criquiers est désormais membre.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1808 Jean Monnier    
1808 1810 Pierre Jean Bourdet    
1811 1833 Pierre Antoine Beaurain[Note 2]    
1835 1839 Aimé Buée    
1839 1840 Pierre Antoine Bourdet    
1840 1846 Théodore Doré    
1848 1863 Aimé Buée[Note 3] Républicain Conseiller général d'Aumale (1901 → 1910)
1863 1871 François Pinguet    
1871 1874 Théodore Doré    
1874 1875 François Bourdet    
1876 1912 Aimé Buée[Note 4]    
1912 1936 Louis Buée    
1937 1945 Alphonse Dusolon    
1945 1959 Albert Lambert    
1959 1977 René Hatté    
1977 1995 Jean Noyon    
juin 1995 mars 2008 Paul Couaillet    
mars 2008 mai 2020 M. Claude Michel[23] EXD Cantonnier en chef
mai 2020[24] En cours
(au 2 juin 2022[25])
David Michel   Fils du précédent

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de la commune sont appelés les Criquérois [26].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 711 habitants[Note 5], en augmentation de 8,72 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8908379069531 0211 018966972921
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
876843854784800799799791751
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
736732721707706739746746719
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
678615545530581602637637676
2015 2020 2021 - - - - - -
654711711------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

 
Préau de l'école maternelle.

Criquiers possède une école maternelle ainsi qu’une école élémentaire de 2 classes scolarisant environ 65 élèves en 2019. Ils disposent d'un restaurant scolaire dans la salle des fêtes et un accueil périscolaire[1].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Notre-Dame, fondée en 1326 par l'Abbaye Saint-Laurent de Beaubec, et dont le curé dépendait encore de l'abbaye en 1661. Le premier curé séculier est Marie Henry, en fonction de 1674 à 1706. La restructuration de l'église de 1866 lui donne son aspect actuel, avec la reconstruction du chœur, le relèvement des murs de la nef, construction d'un contrefort entre chaque fenêtre de la nef, puis, en 1875, percement de 12 nouvelles fenêtres, réfection des dallages. L'autel, en marbre blanc de Carare, a été offert par Mme veuve Maubert-Quesnel en mémoire des combattants de la Première Guerre mondiale[30]
  • Chapelle Saint-Lambert (les Anthieux), reconstruite en 1876, puis rénovée et embellie en 2010-2011[31].
  • Huit calvaires se trouvent au village et dans ses hameaux[32] :
    • 1 à Hadancourt,
    • 2 à Bois des Puits,
    • 1 au Bout la Haut,
    • 1 pendu,
    • 1 à l'Église,
    • 1 au cimetière,
    • 1 à la Chapelle Maubert

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'argent au créquier arraché au naturel fruité de pourpre, à la filière d'azur
Détails
Création Francis Pinguet, 2001.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

  • François Pinguet, « L'église de Criquiers, une église parmi d'autres », Le Pucheux, no 95,‎ , p. 10-12 (ISSN 0248-6474)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Décédé le 07/12/1833
  3. Décédé le 12/04/1863
  4. Décédé le 06/02/1912
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a et b « Présentation de la commune », Mairie de Criquiers, (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Criquiers et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Recueil des publications, Société havraise d'études diverses, , p. 496.
  16. Archives de Seine-Maritime G 17, 1500, 3269, 1500, 740.
  17. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 287.
  18. a b c et d Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 168-169, sur Gallica.
  19. a b c d et e N.-R. Potin de La Mairie, Recherches historiques, archéologiques et biographiques sur les possessions des Sires normands de Gournay : le Bray normand et le Bray picard et sur toutes les communes de l'arrondissement de Neufchâtel, vol. 1, Gournay-en-Bray, Letailleur-Andrieux, imprimeur libraire, , 287 p. (lire en ligne), p. 186-188, sur Google Books
  20. Pierre Bauduin, « Trois cas de peuplement en franchises en Normandie orientale : Villedieu-la-Montagne, Gourchelles, Criquiers (1168-1306) », Histoire & Sociétés Rurales, vol. 15, nos 2001/1,‎ , p. 131-164 (lire en ligne, consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Archives départementales de Seine-Maritime : État civil de Criquiers de 1800 à 1914 et en mairie registre des délibérations de 1914 à 2001
  23. Vincent Beny, « Claude Michel présente sa liste à Criquiers : Claude Michel vient de présenter la liste qu’il conduira lors des élections municipales. Son nom : « l’Expérience, le renouveau et l’avenir », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Vincent Beny, « A la surprise de tous, Claude Michel laisse la place de maire à son fils à Criquiers : Surprise à Criquiers où quelques minutes avant l’élection du maire, Claude Michel, en poste depuis deux mandats, a décidé de laisser la place à son fils », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Claude Michel reste tout de même 1er adjoint ».
  25. « Le maire et son 1er adjoint décident de financer les travaux sans subventions : La municipalité de Criquiers n’a pas voulu attendre davantage les subventions du Conseil Départemental pour faire des travaux devant son église. Après avoir essuyé deux refus, elle a décidé d’aller de l’avant après un an et demi d’attente », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 37654,‎ , p. 13.
  26. « Gentilé des habitants de Criquiers », sur Habitants.fr (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. [CRiquiers - Eglise Notre-Dame - WP 20190420 15 08 63 Rich.jpg Plaque explicative placée devant l'église]
  31. « Les Anthieux - Chapelle saint lambert » [PDF], Histoire et monuments, sur criquiers.fr (consulté le ).
  32. « Histoire et monuments », sur criquiers.fr (consulté le ).
  33. « Pierre Sacquéepée », base Léonore, ministère français de la Culture.