Corrèze (commune)

commune française du département de la Corrèze
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Corrèze
Corrèze (commune)
La porte Margot et le clocher de l'église.
Blason de Corrèze
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tulle Agglo
Maire
Mandat
Jean-François Labbat
2020-2026
Code postal 19800
Code commune 19062
Démographie
Gentilé Corrèziens corréziennes
Population
municipale
1 162 hab. (2021 en augmentation de 3,57 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 24″ nord, 1° 52′ 33″ est
Altitude Min. 295 m
Max. 644 m
Superficie 34,16 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Tulle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Naves
Législatives Première circonscription
Localisation
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Corrèze
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Corrèze
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Corrèze
Liens
Site web Site officiel

Corrèze (Corresa en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Corrèzois.

Géographie modifier

Situation modifier

La commune est située dans le Massif central, au sud du plateau de Millevaches, aux confins du parc naturel régional de Millevaches en Limousin, à 20 kilomètres au nord-est de Tulle. Le bourg est édifié à une altitude d'environ 470 mètres (mairie), sur les pentes du versant droit de la vallée de la Corrèze, qui traverse la commune, tout comme la Menaude.

D'après des calculs de l'IGN publiés en 2016, le centre géographique du département de la Corrèze est situé dans la commune[1].

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Corrèze
Meyrignac-l'Église Vitrac-sur-Montane
 
Bar Saint-Priest-de-Gimel

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 339 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Égletons à 14 km à vol d'oiseau[5], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 428,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Corrèze est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,5 %), prairies (29,5 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), zones urbanisées (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %), eaux continentales[Note 3] (0,1 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Corrèze est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels modifier

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Tulle-Brive, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Corrèze et de la Vézère (17 dans la Corrèze et trois dans la Dordogne), un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[17]. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2001[19],[15]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Corrèze amont », approuvé le [20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Corrèze.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 30,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 678 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 182 sont en aléa moyen ou fort, soit 27 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Corrèze est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Toponymie modifier

Le bourg tire son nom de la rivière qui le traverse, la Corrèze, le franchissement de la rivière marquant une étape importante des pèlerins en route pour Saint-Jacques-de-Compostelle.

Histoire modifier

La première mention de Corrèze date du IXe siècle, lorsqu'elle n'est encore qu'une implantation ecclésiale en surplomb de la rivière. Son origine est toutefois sans doute plus ancienne, puisque la ville se situe au croisement d'anciennes voies romaines et que des traces de la période gallo-romaine ont été retrouvées.

Devenue l'une des étapes du pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle, la ville se construit autour de l'église. En 1293, Eble VII, vicomte de Ventadour, crée la châtellenie de Boussac et Corrèze. En 1350, pendant la guerre de Cent Ans, la ville est assiégée puis incendiée par les Anglais. Reconstruite, elle se constitue en ville-forte au cours du XVe siècle. Par la suite, la ville n'est pas épargnée par les guerres de Religion et en 1595, les ligueurs s'emparent des cloches de l'église pour fondre des canons. Mais c'est au cours des XVIe et XVIIe siècles qu'elle atteint son apogée, après qu'elle a accédé au statut de ville franche. Disposant de privilèges, droit de consuls, confréries, corporations de tisserands, elle est alors un des plus gros bourgs du bas pays limousin et ses foires attirent de nombreux voyageurs. Vers la fin du XVIIe siècle, quelque 200 familles vivent à Corrèze (soit environ 1 400 personnes), 40 dans les murs, pour l'essentiel des notables et leurs domestiques, 40 dans les faubourgs, principalement des artisans, et 120 dans la campagne alentour, laboureurs et journaliers[24].

La Révolution n'apporte pas de bouleversement, bien que l'église soit transformée en salpêtrière et la chapelle des Pénitents en salle de réunion, et, jusqu'à la fin du XIXe siècle, la ville continue à se développer. En revanche, la Première Guerre mondiale prélève un très lourd tribut : 103 noms figurent sur le monument aux morts. Depuis, la commune, confrontée à l'exode rural, n'a jamais retrouvé sa population d'alors.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

 
La mairie un jour de course cycliste.

.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jean Tourneix    
mars 2008 mars 2014 François Barbazange DVG  
mars 2014 En cours Jean-François Labbat DVG Sapeur-pompier professionnel, conseiller départemental depuis octobre 2020

Ancien chef-lieu du canton de Corrèze. Elle fait partie de la première circonscription de la Corrèze

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 1 162 habitants[Note 4], en augmentation de 3,57 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8001 3501 3871 6281 6841 7571 6751 6971 725
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8121 6891 6761 6591 7651 8181 8311 8141 894
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8061 8871 8561 7201 6041 6081 5371 4911 517
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 6021 5761 5281 3401 1451 1521 1751 1541 126
2021 - - - - - - - -
1 162--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

L'économie locale est principalement agricole, qu'il s'agisse de culture ou d'élevage. À côté d'activités artisanales on trouve aussi quelques sociétés plus importantes, en particulier de transformation du bois, dans la zone d'activité Le Roc Blanc et au Chêne des Bergères.

Sports modifier

L'Association Sportive Vitrac-Corrèze est l'équipe de football de la ville. Cette équipe a déjà affronté le Variétés Club de France, en juin 1999 emmené par son capitaine Michel Platini.

Corrèze a organisé le Championnat d'Europe de football pour mal-voyants en juin 2003, et la commune organise depuis plusieurs années le Critérium international de cyclisme handisport, qui compte pour le championnat du Monde.

Lieux et monuments modifier

Ville médiévale, étape sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, Corrèze conserve de nombreux vestiges de son passé.

  • La porte Margot, en souvenir de la Reine Margot, dernière trace de l'ancien chemin de ronde qui défendait l'entrée de la ville, ouvre sur la place de l'église. Elle date du XVe siècle et porte une statue de saint Martial dans une niche au-dessus de l'entrée. Elle a été inscrite aux Monuments historiques en 1927[29].
  • L'église Saint-Martial, dont les origines remontent à l'époque carolingienne. Plusieurs fois reconstruite et étendue, elle porte des marques de style roman des XIIe et XIIIe siècles sous les adjonctions plus tardives de style gothique, au XVIe siècle. Elle renferme en particulier un retable baroque du XVIIe siècle réalisé par Jean Tournié de Gourdon. Elle a été inscrite aux Monuments historiques en 1972[30].
  • La chapelle des Pénitents Blancs, inscrite aux Monuments Historiques en 1988[31], a été édifiée entre 1730 et 1781. Située à côté du cimetière, elle est dédiée à saint Jean Baptiste et renferme une chaire en bois sculpté du XVIIIe siècle elle aussi inscrite aux Monuments historiques.
  • Le hameau de L'Hospital (L'Hospital Couraise), une ancienne possession de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, membre de la commanderie de Carlat jusqu'à la Révolution française[32],[33]
  • La chapelle Notre-Dame du Pont du Salut, située en bordure de la Corrèze à côté d'un pont de pierre à deux arches du XVIIIe siècle, dont les origines remontent au XVe siècle. Elle abrite une statue de la Vierge en pierre polychrome rapportée d'Espagne par un maçon du village qui est à l'origine de sa construction. Lieu important de pèlerinage, elle a été reconstruite au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Elle accueille encore des pèlerins, du 5 au 8 septembre, pour la fête de la nativité de la Vierge.
  • Plusieurs hôtels de la Renaissance, groupés autour de l'église, tels que les hôtels Florentin (XVIIe siècle) et Terriou (1667).

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'argent à trois bandes ondées de sinople.
Détails
Armes d'office attribuées par les commis d'Hozier en 1696. Voté par la commune le 7 novembre 1980.

Philatélie modifier

Un timbre postal, d'une valeur de 4,40 francs, représentant la porte Margot qui défendait l'ancien chemin de ronde et, à l'arrière, le clocher de l'église Saint Martial de Corrèze, a été émis le 3 juin 1995[34].

Notes et références modifier

  1. Jean-François Hangouët, « Quels sont les centres des 96 départements métropolitains ? », IGN Magazine, no 82,‎ avril-mai-juin 2016, p. 15 (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Corrèze et Égletons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Egletons » (commune d'Égletons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Egletons » (commune d'Égletons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Corrèze », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Tulle-Brive », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « PPRI Corrèze amont », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Corrèze », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. Antoine Paucard, Le retable de Corrèze, Lemouzi, n°115, juillet 1990.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Notice no PA00099750, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Notice no PA00099749, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Notice no PA00099748, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Hippolyte Bouffet, « Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean en Haute-Auvergne », Revue de la Haute-Auvergne, Aurillac, t. XVI,‎ , p. 124, lire en ligne sur Gallica.
  33. Léopold Niepce, Le Grand-Prieuré d'Auvergne : Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, Lyon, Librairie Générale Henri Geors, , XI-352 p. (OCLC 422251418, présentation en ligne), p. 292
    L'Hospital Couraise, Orleat, Meyrignat
    .
  34. Le timbre.

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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