Club Athlétique Marocain

club marocain de football

Le Club Athlétique Marocain, plus connu sous CA Casablanca[2] (en arabe : النادي الرياضي المغربي) est un ancien club sportif marocain de football fondé sous le nom de Club Athlétique de Casablanca en 1902[3] et basé dans la ville de Casablanca.

CA Marocain
Logo du CA Marocain
Généralités
Nom complet Club Athlétique Marocain
Surnoms CA Casablanca
Noms précédents Club Athlétique de Casablanca
Club Atlético de Casablanca
Fondation 1902
Disparition 1956
Statut professionnel depuis 1915
Couleurs Rouge et noir
Stade Stade Philip
(10 000 places)
Siège Casablanca
Palmarès principal
National[1] Championnat DH (1)
Coupe du Maroc (2)
Supercoupe du Maroc (1)

Il est considéré comme le 2e club sportif fondé au Maroc, le 1er club sacré vainqueur d'un titre dans l’histoire footballistique du Maroc, en remportant les 1res éditions du Championnat du Maroc - Division Honneur et de la Supercoupe du Maroc en réalisant donc le doublé national lors de la saison 1915/16, ainsi que la 2e édition de la Coupe du Maroc lors de la saison 1916/17.

Histoire modifier

Le CA de Casablanca est le premier club sportif fondé au Maroc, exactement en 1902[1]. Ce club avait changé son nom plusieurs fois, dont ont connais les noms suivants : AS Casablanca et Atletico Casablanca.

Étant le Champion du Maroc[2] lors de la 1re édition de cette 1re compétition organisée par la Fédération Marocaine des Sports Athlétiques (FMSA), à l'époque d'Empire chérifien sous le Protectorat français au Maroc, il est devenu le 1er club marocain à avoir gagné un titre dans l’histoire du Football au Maroc [3].

Palmarès modifier

Annexes modifier

Articles connexes modifier

Notes et références modifier

  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  2. « Calendrier sportif pour l'année 1916-1917 », L'Écho des sports de l'Afrique du Nord, no 19 bis,‎ , p. 1 (lire en ligne)
  3. Date de fondation du CA Marocain
  4. * Bassam Nejjar, « Le football au temps du protectorat », Zamane, no 17,‎ , p. 86-89 (lire en ligne)